pfff... a écrit :Source of the post Marrant de voir que le FC Seville n' hésite pas aligner des ailiers a l'ancienne. Aujourd'hui, on tend a mette 3 def plus deux latéraux qui monte, 3 milieux et 2 attaquants. Même Wenger s y est mis je crois.
Navas est un ailier à l'ancienne, Nolito moins. Il se rapproche un peu de Lemar.
dodger a écrit :Source of the postemille a écrit : je crois qu'il ns a fait très mal avec sa phrase à la con "l'important ce n'est pas de gagner mais de participer". Ca nous colle à la peau ! Putain de loser ce mec…
Vous sortez cette phrase de son contexte historique et comme souvent dans ce cas, vous vous plantez !
Lorsque Coubertin tente de recréer les J.O., très peu de pays sont prêts à le suivre par crainte du ridicule. En effet, vers la fin du XIXéme siècle le sport n'est pas pratiqué de manière universelle. D'ailleurs certaines épreuves des premiers Jeux nous paraitraient ridicules : poèsie, tirer de corde, etc...
Elles rassuraient les nations peu ou pas sportives.
C'est dans ce contexte et pour convaincre ces pays que cette phrase, l'important n'est pas de gagner mais de participer, fut prononcée.
Par ailleurs Coubertin a également écrit la devise de l'olympisme : plus vite, plus haut, plus fort.
Cette devise n'est pourtant jamais vu comme celle d'un perdant.
Dodger, le Jean Paul Ollivier de PL.
ludvigvon88 a écrit :Source of the post bon pour Kara Mbodj ça avance bien apparemment.
Ce serait très étonnant, il ne remplit aucun des critères recherchés :
Pas gaucher.
A toujours joué en tant que défenseur central droit.
Très puissant certes, mais la vitesse n'est pas son point fort (une qualité fort appréciée par Bielsa)
Est "vieux" (dans la définition LOSCiste actuelle) puisqu'il a déjà 27 ans
Malgré son âge, il n'est pas très expérimenté, n'ayant jamais connu plus concurrentiel que le championnat de Belgique.
ludvigvon88 a écrit :Source of the post bon pour Kara Mbodj ça avance bien apparemment.
LOSC – Mercato : le dossier Mbodj pourrait se décanter rapidement !
Preuve qu’il est en partance, Kara Mbodj (27 ans), piste du LOSC, n’a pas participé à la journée « portes ouvertes » du club d’Anderlecht dimanche.
En quête d’un défenseur supplémentaire, le LOSC aurait des vues, selon L’Equipe, sur le Sénégalais d’Anderlecht, Kara Mbodj (27 ans). Un dossier qui pourrait se décanter assez rapidement selon la presse belge qui avance un indice sur son départ probable.
En effet, comme l’explique Le Quotidien, Mbodj n’était pas présent lors du traditionnel Fan Day organisé dimanche dernier avec les supporters du club bruxellois au stade Constant Vanden Stock. Officiellement, si le défenseur était absent, c’était « en raison d’une maladie ». Une « maladie » étrange qui a aussi touché le manager général Herman Van Holsbeeck, lui aussi absent.
Outre le LOSC, plusieurs autres formations européennes auraient des vues sur Kara Mbodj. Le quotidien turc Millyet évoque notamment un intérêt de Fenerbahçe pour remplacer Simon Kjaer, en partance pour l’Espagne (FC Séville).
Arnaud Carond
http://www.butfootballclub.fr/fil-infos ... apidement/
Malébolgia a écrit :Source of the posttoones a écrit :Source of the post Neymar qui apparement rentre tranquille à Barcelone pour la reprise demain loul non si c' est vrai ?
En même temps si transfert il y a , ça risque d'être d'une façon assez particulière. Les mecs doivent se blinder pour par se faire taper sur les doigts pour le FP financier,ça doit prendre du temps.
Si ils le veulent vraiment il viendra ,quitte à lui filer encore plus de pognon.
À Lille aussi avant les transferts prenaient du temps mais pas pour les mêmes raisons ;)
pc a écrit :Source of the post Navas est un ailier à l'ancienne, Nolito moins. Il se rapproche un peu de Lemar.
Je disais ça car tu parlais de 3 attaquants devant. Navas à droite, ça devrait rester collé à la ligne de touche. J imaginais que Nolito aurait de fait le même rôle. S'il a le profile d'un Lemar, c est tout bon. Je suis impatient de mater le FC Séville.
Ecarté en fin de saison passée à Saint-Etienne, Nolan Roux a choisi Metz pour se relancer. Bonne ou mauvaise idée ? Deuxième volet de notre série sur les paris des clubs de L1 cette saison.
Pourquoi doit-il se relancer ?
En deux saisons passées à Saint-Étienne, Nolan Roux s'est attiré plus d'ennuis qu'il ne s'est fait d'amis. Arrivé en 2015 dans le Forez, avec la réputation d'un joueur attachant, mais aussi nonchalant, l'attaquant avait déjà connu des hauts et des bas au LOSC, sous la direction de Rudi Garcia et Hervé Renard notamment, lequel a précipité son départ. Mais chez les Verts, son tempérament lui a encore joué des tours. Recruté par Christophe Galtier, il s'est bien adapté la première année. Très proche de certains de ses partenaires (Hamouma ou Monnet-Paquet), il a bénéficié d'une relative clémence de la part de son entraîneur, qui lui reprochait alors déjà sa maladresse et son comportement. Écarté du groupe une première fois en janvier 2016, il a failli quitter l'ASSE l'été dernier, avant d'être réintégré.
Sauf que rien n'a changé ou presque ensuite. Galtier a continué de pester contre son manque d'investissement. Roux a quand même disputé 21 matches (4 buts), avant d'être définitivement mis hors-jeu au printemps. Après avoir longtemps profité des blessures de ses concurrents (Beric et Söderlund), il a été envoyé en réserve au mois d'avril. Sous contrat jusqu'en 2018 et doté d'un des plus gros salaires de Saint-Étienne (85.000 € brut mensuels), il a été prié de se trouver un nouveau club cet été.
Épisode 1 : Jeannot à Dijon, le choix de la raison
Pourquoi a-t-il choisi Metz ?
Si Nolan Roux s'est engagé pour trois ans avec le FC Metz, c'est avant tout une question de timing. «La fin de saison dernière a été un peu difficile pour moi mentalement, mais le fait d'être contacté rapidement m'a rassuré», a expliqué l'attaquant (29 ans) à son arrivée en Lorraine. Conscient que ses déboires stéphanois n'ont pas joué en sa faveur, il n'a pas pris le risque d'attendre d'autres propositions. En rejoignant «un club ambitieux qui (lui) a affiché sa confiance très tôt», l'ancien Brestois ne regrette pas son choix. Qu'importe si, pour la première fois depuis son départ de Brest fin 2011, il devra probablement se contenter du maintien comme objectif. «J'ai envie de retrouver rapidement mon enthousiasme et le plaisir de jouer», a-t-il annoncé. Tout en faisant part de son expérience à ses jeunes partenaires. «Il peut nous aider à franchir une étape», a estimé Philippe Gaillot, directeur général adjoint des Grenats.
Notre avis
Il a fini par le comprendre : Nolan Roux n'était pas dans le bon club à Saint-Étienne pour s'épanouir. À Metz, les attentes entourant l'attaquant seront moins élevées, ce qui devrait lui permettre d'évoluer plus sereinement. Les récents exemples de Mevlut Erding et Cheick Diabaté, qui se sont relancés au stade Saint-Symphorien, montrent que le club messin, malgré ses petits moyens, offre de conditions de travail idéales. Celles dont il a besoin pour s'exprimer pleinement.
Equipe.fr
Pourquoi doit-il se relancer ?
En deux saisons passées à Saint-Étienne, Nolan Roux s'est attiré plus d'ennuis qu'il ne s'est fait d'amis. Arrivé en 2015 dans le Forez, avec la réputation d'un joueur attachant, mais aussi nonchalant, l'attaquant avait déjà connu des hauts et des bas au LOSC, sous la direction de Rudi Garcia et Hervé Renard notamment, lequel a précipité son départ. Mais chez les Verts, son tempérament lui a encore joué des tours. Recruté par Christophe Galtier, il s'est bien adapté la première année. Très proche de certains de ses partenaires (Hamouma ou Monnet-Paquet), il a bénéficié d'une relative clémence de la part de son entraîneur, qui lui reprochait alors déjà sa maladresse et son comportement. Écarté du groupe une première fois en janvier 2016, il a failli quitter l'ASSE l'été dernier, avant d'être réintégré.
Sauf que rien n'a changé ou presque ensuite. Galtier a continué de pester contre son manque d'investissement. Roux a quand même disputé 21 matches (4 buts), avant d'être définitivement mis hors-jeu au printemps. Après avoir longtemps profité des blessures de ses concurrents (Beric et Söderlund), il a été envoyé en réserve au mois d'avril. Sous contrat jusqu'en 2018 et doté d'un des plus gros salaires de Saint-Étienne (85.000 € brut mensuels), il a été prié de se trouver un nouveau club cet été.
Épisode 1 : Jeannot à Dijon, le choix de la raison
Pourquoi a-t-il choisi Metz ?
Si Nolan Roux s'est engagé pour trois ans avec le FC Metz, c'est avant tout une question de timing. «La fin de saison dernière a été un peu difficile pour moi mentalement, mais le fait d'être contacté rapidement m'a rassuré», a expliqué l'attaquant (29 ans) à son arrivée en Lorraine. Conscient que ses déboires stéphanois n'ont pas joué en sa faveur, il n'a pas pris le risque d'attendre d'autres propositions. En rejoignant «un club ambitieux qui (lui) a affiché sa confiance très tôt», l'ancien Brestois ne regrette pas son choix. Qu'importe si, pour la première fois depuis son départ de Brest fin 2011, il devra probablement se contenter du maintien comme objectif. «J'ai envie de retrouver rapidement mon enthousiasme et le plaisir de jouer», a-t-il annoncé. Tout en faisant part de son expérience à ses jeunes partenaires. «Il peut nous aider à franchir une étape», a estimé Philippe Gaillot, directeur général adjoint des Grenats.
Notre avis
Il a fini par le comprendre : Nolan Roux n'était pas dans le bon club à Saint-Étienne pour s'épanouir. À Metz, les attentes entourant l'attaquant seront moins élevées, ce qui devrait lui permettre d'évoluer plus sereinement. Les récents exemples de Mevlut Erding et Cheick Diabaté, qui se sont relancés au stade Saint-Symphorien, montrent que le club messin, malgré ses petits moyens, offre de conditions de travail idéales. Celles dont il a besoin pour s'exprimer pleinement.
Equipe.fr
pfff... a écrit :Source of the postlenormal a écrit :Source of the post Et encore pire avec Poulidor, le summum de la loose, moi qui étais anquetiliste à mort, ça me foutait les boules !
Oh putain oui, Poulidor, le dieu de la lose vivant.
Un gars qui a fait autant de podium sur un tour de France, c'est tout sauf un loser.
Et si Poulidor était adulé tandis qu'Anquetil était chahuté, ce n'est pas seulement pour les histoires de "perdant magnifique".
