Quand il parle d'aspect contractuel c'est certainement que tout n'est pas bouclé. Certainement le passage devant la DNCG.
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
Casim' a écrit :Source of the post Quand il parle d'aspect contractuel c'est certainement que tout n'est pas bouclé. Certainement le passage devant la DNCG.
Si. C'est fait selon nos sources sûres.
sosolosc a écrit :Source of the post que veux tu qu'il annonce?! le temps joue pour lui
Je le voyait mal faire une telle annonce à la mi-temps d'un match, sur le bord du terrain......
Dimanche 16 mai 2021 : Burak Yilmaz : we will be champion, don't wory...we will be champion next week...
Me semblait qu'il devait y avoir un passage devant la DNCG aujourd'hui?
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
dans un acte de vente il y a aussi les délais à respecter, on (ne je ne sais plus qui), vous a dit que le personnel informé de la vente de son entreprise, pouvait se porter acquéreur de cette entreprise, et que pour ce faire des délais sont donnés pour formuler cette demande, même si il formule son accord, les délais eux courent quoiqu'on fasse.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Casim' a écrit :Source of the post Me semblait qu'il devait y avoir un passage devant la DNCG aujourd'hui?
C'est une fausse rumeur qui court sur les réseau sociaux dixit la vdn.
personne pour mettre l'article en ligne ? C'est quoi ce bordel !
LOCALE
15/12/2016
La valeur du domaine de Luchin s’envole juste avant la vente du LOSC
Par Marie Vandekerkhovevilleneuvedascq@lavoixdunord.fr
Les travaux de réhabiliation du centre de formation et d’entraînement du LOSC ont pris trois ans. Un investissement total à 20M€. PHOTOS ARCHIVES Philippe PAUCHET
En transformant une zone verte en zone économique, le plan local d’urbanisme de Camphin-en-Pévèle aurait fait grimper la valeur du centre de formation des Dogues de plusieurs millions d’euros. Le document est applicable depuis le 23 novembre… en pleines négociations sur la cession du club de football.
<
Camphin-en-Pévèle.
« En une journée, la valeur de Luchin a fait une bascule de 7 millions d’euros », affirme cet expert. Rien à voir pourtant avec la magie du foot. C’est par la foi d’un document administratif que le domaine de 46 ha, racheté par Michel Seydoux en 2003, aurait vu son estimation grimper, grimper…
Des équipements auraient bénéficié de la marque LOSC pour faire de Luchin la capitale métropolitaine du sport.
Depuis le 23 novembre, le nouveau plan local d’urbanisme de la commune est opposable aux tiers, c’est-à-dire applicable. Et il transforme 20 ha du site, auparavant classés en zone verte, en zone économique à vocation de loisirs. Ce sésame devait permettre à son propriétaire de lancer la phase 2 du développement de l’antre du LOSC. Nom de code : Luchin 2020.
Interrogé il y a tout juste un an, le club affirmait vouloir construire « une salle de sport, un centre de remise en forme ou un centre de soins ». Des équipements qui auraient bénéficié de la marque LOSC pour faire de l’ancienne ferme, idéalement située au vert et près d’une sortie d’autoroute, la capitale métropolitaine du sport.
Elle devait se doubler d’un centre d’affaires. L’amphithéâtre, loué à des entreprises, fait déjà le plein. Le LOSC voulait y adjoindre des hébergements sous forme de cottages. Ils auraient servi à la mise au vert des footballeurs maison, pour des séminaires ou des mariages. Officiellement, le club n’avait pas besoin d’attendre la modification du PLU pour lancer les travaux de ces bungalows. Il avait même annoncé le début des travaux dès le printemps. Depuis, rien.
Des maquettes
L’architecte lillois Laurent Hatry, orfèvre de la rénovation de Luchin, avait de nouveau été sollicité pour des esquisses. Mais aucun permis de construire pour ces cottages n’a jamais été déposé. La capitale métropolitaine du sport est restée une maquette. Mais ses nouvelles perspectives d’avenir, désormais inscrites dans le PLU, arrivent à point nommé pour valoriser le LOSC. Même si Luchin n’appartiendrait pas directement au club de foot mais à Michel Seydoux. Il vend l’ensemble à l’homme d’affaires Gérard Lopez pour un montant estimé entre 40 et 50 millions d’euros.
« Le stade Pierre-Mauroy, où joue le LOSC, ne lui appartient pas. Le capital joueurs est très difficile à valoriser : il n’y a plus de star, les résultats sportifs sont moyens. Le domaine de Luchin représente les trois quarts du montant de la vente », estime-t-on dans les milieux autorisés. Même si le PLU était en préparation depuis trois ans, son application tombe à pic avant la vente du club début janvier.
15/12/2016
La valeur du domaine de Luchin s’envole juste avant la vente du LOSC
Par Marie Vandekerkhovevilleneuvedascq@lavoixdunord.fr
Les travaux de réhabiliation du centre de formation et d’entraînement du LOSC ont pris trois ans. Un investissement total à 20M€. PHOTOS ARCHIVES Philippe PAUCHET
En transformant une zone verte en zone économique, le plan local d’urbanisme de Camphin-en-Pévèle aurait fait grimper la valeur du centre de formation des Dogues de plusieurs millions d’euros. Le document est applicable depuis le 23 novembre… en pleines négociations sur la cession du club de football.
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Camphin-en-Pévèle.
« En une journée, la valeur de Luchin a fait une bascule de 7 millions d’euros », affirme cet expert. Rien à voir pourtant avec la magie du foot. C’est par la foi d’un document administratif que le domaine de 46 ha, racheté par Michel Seydoux en 2003, aurait vu son estimation grimper, grimper…
Des équipements auraient bénéficié de la marque LOSC pour faire de Luchin la capitale métropolitaine du sport.
Depuis le 23 novembre, le nouveau plan local d’urbanisme de la commune est opposable aux tiers, c’est-à-dire applicable. Et il transforme 20 ha du site, auparavant classés en zone verte, en zone économique à vocation de loisirs. Ce sésame devait permettre à son propriétaire de lancer la phase 2 du développement de l’antre du LOSC. Nom de code : Luchin 2020.
Interrogé il y a tout juste un an, le club affirmait vouloir construire « une salle de sport, un centre de remise en forme ou un centre de soins ». Des équipements qui auraient bénéficié de la marque LOSC pour faire de l’ancienne ferme, idéalement située au vert et près d’une sortie d’autoroute, la capitale métropolitaine du sport.
Elle devait se doubler d’un centre d’affaires. L’amphithéâtre, loué à des entreprises, fait déjà le plein. Le LOSC voulait y adjoindre des hébergements sous forme de cottages. Ils auraient servi à la mise au vert des footballeurs maison, pour des séminaires ou des mariages. Officiellement, le club n’avait pas besoin d’attendre la modification du PLU pour lancer les travaux de ces bungalows. Il avait même annoncé le début des travaux dès le printemps. Depuis, rien.
Des maquettes
L’architecte lillois Laurent Hatry, orfèvre de la rénovation de Luchin, avait de nouveau été sollicité pour des esquisses. Mais aucun permis de construire pour ces cottages n’a jamais été déposé. La capitale métropolitaine du sport est restée une maquette. Mais ses nouvelles perspectives d’avenir, désormais inscrites dans le PLU, arrivent à point nommé pour valoriser le LOSC. Même si Luchin n’appartiendrait pas directement au club de foot mais à Michel Seydoux. Il vend l’ensemble à l’homme d’affaires Gérard Lopez pour un montant estimé entre 40 et 50 millions d’euros.
« Le stade Pierre-Mauroy, où joue le LOSC, ne lui appartient pas. Le capital joueurs est très difficile à valoriser : il n’y a plus de star, les résultats sportifs sont moyens. Le domaine de Luchin représente les trois quarts du montant de la vente », estime-t-on dans les milieux autorisés. Même si le PLU était en préparation depuis trois ans, son application tombe à pic avant la vente du club début janvier.
Modifié en dernier par james le jeu. 15 déc. 2016 11:56, modifié 1 fois.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Racheté en 2003 à un Grimonprez (parent de Grimonprez-Jooris qui avait donné son nom à l’ex-stade du LOSC), le domaine avait accueilli un château rasé dans les années 1970. Ne restait que la ferme, en ruines. Michel Seydoux avait racheté 46 ha du domaine pour y bâtir le Clairefontaine du LOSC. Et rénové 7 000m 2 de locaux, construit des terrains de foot pour 20 M €.
Pour boucler l’opération, l’ancien propriétaire avait pu aménager un lotissement « avec des parcelles de 1 000 m 2 se vendant 300 000 € », se souvient un promoteur. Aujourd’hui, le passage de la zone verte en zone économique est dix fois moins lucratif, à environ 35 € le m 2 … mais dix fois plus qu’une zone verte, à 3 ou 4 € le m 2 .
Pour boucler l’opération, l’ancien propriétaire avait pu aménager un lotissement « avec des parcelles de 1 000 m 2 se vendant 300 000 € », se souvient un promoteur. Aujourd’hui, le passage de la zone verte en zone économique est dix fois moins lucratif, à environ 35 € le m 2 … mais dix fois plus qu’une zone verte, à 3 ou 4 € le m 2 .
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Comme prévu, deux jours après l’avis favorable du comité d’entreprise pour la vente du club à Gérard Lopez, les actionnaires du LOSC se sont réunis en assemblée générale ce mercredi matin au centre de vie du club. Histoire de faire le point sur le dossier et d’entendre le président Michel Seydoux répéter toute sa confiance dans la transaction qui devrait, a priori, se conclure au début du mois de janvier.
Rumeurs
Les négociations, en tout cas, ne sont toujours pas complètement achevées et le rachat du club par l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois n’est pas encore définitivement bouclé. « Il y a une partie contractuelle qui n’est pas terminée », a expliqué Michel Seydoux au micro de France 3 ce mercredi soir. Pas d’inquiétude, nous a-t-on assuré dans l’entourage de M. Lopez.
Une affaire qui suit son – long – cours et laisse inévitablement la place aux rumeurs. Ce mercredi, sur les réseaux sociaux, un bruit a couru annonçant le passage de Gérard Lopez devant la DNCG et une décision contraire rendue par le gendarme financier du football français. Faux, puisque le passage du futur propriétaire du club ne se fera justement que quand il sera… propriétaire. Sans doute courant janvier. Le temps de laisser passer les fêtes et l’entrée dans la nouvelle année.
Rumeurs
Les négociations, en tout cas, ne sont toujours pas complètement achevées et le rachat du club par l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois n’est pas encore définitivement bouclé. « Il y a une partie contractuelle qui n’est pas terminée », a expliqué Michel Seydoux au micro de France 3 ce mercredi soir. Pas d’inquiétude, nous a-t-on assuré dans l’entourage de M. Lopez.
Une affaire qui suit son – long – cours et laisse inévitablement la place aux rumeurs. Ce mercredi, sur les réseaux sociaux, un bruit a couru annonçant le passage de Gérard Lopez devant la DNCG et une décision contraire rendue par le gendarme financier du football français. Faux, puisque le passage du futur propriétaire du club ne se fera justement que quand il sera… propriétaire. Sans doute courant janvier. Le temps de laisser passer les fêtes et l’entrée dans la nouvelle année.
IKEA est le meilleur prénom pour une femme :
suédoise, bon marché, à emmener aussitôt chez soi et facile à monter
suédoise, bon marché, à emmener aussitôt chez soi et facile à monter
bbl a écrit :Source of the post Faux, puisque le passage du futur propriétaire du club ne se fera justement que quand il sera… propriétaire. Sans doute courant janvier. Le temps de laisser passer les fêtes et l’entrée dans la nouvelle année.
Donc, pas de signature de joueurs avant ce passage à la DNCG, lui-même corrélé au changement de propriétaire, qui, apparemment, devrait avoir lieu autour de Saint-Etienne (si ce qui est écrit au-dessus) est vrai, soit la mi-janvier.
Ca signifierait donc que les éventuelles recrues ne seraient là, au mieux, qu'au match de Dijon (le 21), voire de Lyon (le 28) ? C'est vraiment dommage, car, il faudra ensuite le temps d'adaptation, de remise en forme si ce sont des gars qui jouent peu depuis le début de saison, le temps de qualification par la LFP et au mois de janvier, on va être très affaibli par la CAN...
Félix Grimonprez,et Henri Jooris éraient DEUX personnes différentes même si leur nom était associé à l'ancien stade du LOSC !Racheté en 2003 à un Grimonprez (parent de Grimonprez-Jooris qui avait donné son nom à l’ex-stade du LOSC)
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
bbl a écrit :Source of the post Comme prévu, deux jours après l’avis favorable du comité d’entreprise pour la vente du club à Gérard Lopez, les actionnaires du LOSC se sont réunis en assemblée générale ce mercredi matin au centre de vie du club. Histoire de faire le point sur le dossier et d’entendre le président Michel Seydoux répéter toute sa confiance dans la transaction qui devrait, a priori, se conclure au début du mois de janvier.
Rumeurs
Les négociations, en tout cas, ne sont toujours pas complètement achevées et le rachat du club par l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois n’est pas encore définitivement bouclé. « Il y a une partie contractuelle qui n’est pas terminée », a expliqué Michel Seydoux au micro de France 3 ce mercredi soir. Pas d’inquiétude, nous a-t-on assuré dans l’entourage de M. Lopez.
Une affaire qui suit son – long – cours et laisse inévitablement la place aux rumeurs. Ce mercredi, sur les réseaux sociaux, un bruit a couru annonçant le passage de Gérard Lopez devant la DNCG et une décision contraire rendue par le gendarme financier du football français. Faux, puisque le passage du futur propriétaire du club ne se fera justement que quand il sera… propriétaire. Sans doute courant janvier. Le temps de laisser passer les fêtes et l’entrée dans la nouvelle année.
Michou veut seulement que tout ce fasse en bonne et due forme afin de n'avoir aucuns soucis par la suite, et je peux le comprendre.
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