Smith a écrit :Source of the postnicobrb a écrit :Source of the post La nature du repreneur (Gérard Lopez), qui a laissé une situation peu brillante à Lille, n'a pas inquiété la DNCG ?
Concernant Lille, trop de personnes parlent sans savoir... Le projet qui nous a été présenté à Bordeaux repose en partie sur une capacité à faire du trading de joueurs. Il n'est pas très différent de celui de certains autres clubs. La grande différence est qu'il s'agit d'une stratégie assumée. Est-ce que c'est un projet risqué ? Par nature, oui. Est-ce que c'est le plus risqué de la Ligue 1 ? Non. Est-ce qu'il a besoin, par essence, d'un marché des transferts actif ? Oui. Est-ce que c'est une garantie absolue pour Bordeaux à horizon de trois ou cinq ans ? Non. Est-ce que le risque est plus important à Bordeaux qu'ailleurs ? Nous ne le pensons pas.
Il faut mettre la question pour bien comprendre le sens de la réponse :
La nature du repreneur (Gérard Lopez), qui a laissé une situation peu brillante à Lille, n'a pas inquiété la DNCG ?
Concernant Lille, trop de personnes parlent sans savoir...
On pourrait presque en déduire que la situation n'était pas forcément aussi catastrophique que certains ont bien voulu la présenter non ?
Et c'est à mettre en relation avec l'interview de Gégé au Monde :
"Et, contrairement à ce qu’affirme la nouvelle direction du LOSC, le club n’a aucune dette bancaire et n’était pas en cessation de paiement, puisqu’un plan était prévu pour couvrir tous les engagements financiers, y compris dans le cadre de la pandémie."
#cessationdepaiement
C'est pourtant la DNCG elle-même, et son Président Jean-Michel Mickeler, qui se sont fendus en décembre 2020 d'un inhabituel communiqué pour contredire le jour-même un article du quotidien L'équipe concernant l'opération de rachat du LOSC par Merlyn.
https://www.lfp.fr/Articles/COMMUNIQU%C3%89S/2020/12/19/communique-de-la-dncg
- la DNCG confirme que le projet tel qu'il a été présenté - et contrairement à ce qui est mentionné dans l'article, comprend à la fois une réduction significative de l'endettement et un apport en capital complémentaire ;