Donne envie cette affiche.
La jeunesse au pouvoir.
Leonardo DiCaprio empêtré dans un immense scandale financier
L’acteur américain aurait profité de millions frauduleux provenant du fonds malaisien 1MDB. Il a récemment été entendu par le FBI.
Il y a six mois, Leonardo DiCaprio remportait son premier Oscar. Aujourd’hui, pour l’acteur américain, l’heure n’est plus au triomphe. La star est soupçonnée par la justice d’avoir touché de l’argent sale issu d’une des plus grandes affaires de corruption de ces dernières années.
La suite ici :
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/ar ... _3216.html
On entend sans cesse, qu'il faut savoir d'où on vient pour savoir où on va.
dans l'antiquité grecque , , dans les tribus indiennes d'amérique, ou dans les tribus africaines, les sges anciens gouvernaient.
En ces temps de prévarication, peut être que le fait qu'en vieillissant, les envies étant moindres, ils sont moins vulnérables aux tentations, En outre, 5 ans dans les septantes...
Un exemple guère plus jeune à l'époque https://fr.wikipedia.org/wiki/Dwight_D._Eisenhower
dans l'antiquité grecque , , dans les tribus indiennes d'amérique, ou dans les tribus africaines, les sges anciens gouvernaient.
En ces temps de prévarication, peut être que le fait qu'en vieillissant, les envies étant moindres, ils sont moins vulnérables aux tentations, En outre, 5 ans dans les septantes...
Un exemple guère plus jeune à l'époque https://fr.wikipedia.org/wiki/Dwight_D._Eisenhower
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Dageek a écrit :Source of the post On dirait Chirac sur cette photo
Me suis dit la même chose. C'est à se demander s'il n'y a pas eu de tentative subliminale à base de petites retouches innocentes.
Ben en tout cas ça suffit pour niquer Gaillet.lucdelil a écrit :Source of the post C'est vrai que l'actuel en impose par son charisme de feu.
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
james a écrit :Source of the post
En ces temps de prévarication, peut être que le fait qu'en vieillissant, les envies étant moindres, ils sont moins vulnérables aux tentations
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Gaillet diminutif ou masculin de gaillette, y a un rapport aVec le racle?dodger a écrit :Source of the postBen en tout cas ça suffit pour niquer Gaillet.lucdelil a écrit :Source of the post C'est vrai que l'actuel en impose par son charisme de feu.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
M'étonnerait fort que tout ces camps puissent se rassembler derrière le vainqueur de la primaire, bien qu'ils prétendent le contraire (Baroin à l'instant sur France Info). Alerte hypocrisie. Les pro-Sarko appelleraient à voter Juppé ? Pareil pour l'inverse ? Quelle belle bande de faux derches...
Ce qui compte, ce sont les électeurs, et les électeurs iront voter pour le vainqueur des primaires, c'est une évidence.
J'ajouterai que dans l'électorat de ces primaires, il n'existe pas de "camp" Juppé, Sarkozy, Le Maire ou autres. En revanche, Il existe et ce depuis toujours un certain antagonisme entre le centre qu'on appellera comme on voudra, (UDF, Modem, Giscardiens, PR, etc etc ...) et une droite classique (UDR, RPR, LR ou ce qu'on veut).
J'ajouterai que dans l'électorat de ces primaires, il n'existe pas de "camp" Juppé, Sarkozy, Le Maire ou autres. En revanche, Il existe et ce depuis toujours un certain antagonisme entre le centre qu'on appellera comme on voudra, (UDF, Modem, Giscardiens, PR, etc etc ...) et une droite classique (UDR, RPR, LR ou ce qu'on veut).
On sent quand même un malaise très perceptible sur le plateau.
Les candidats sont face caméra, mais parlent parfois à un autre candidat sans réellement le regarder (Hormis peut-être Lemaire, plus mobile). Ca donne un côté étrange aux rares échanges, puisque le format favorise le fait que chacun soit dans son "silo".
Malgré la volonté discrète, mais bien présente, des journalistes d'essayer de sortir l'exercice de sa torpeur, les candidats ressemblent un peu à des zombies drogués de coaching pour que rien ne dépasse, que tout soit sous maîtrise.
Sinon pas grand chose sur le fond. On a l'impression d'assister à la fin d'une étape du tour de France quand un groupe d'une dizaine de coureurs est suffisamment détaché pour ne plus craindre le retour du peloton, et que donc au sein de ce groupe chacun mitonne une stratégie pour en sortir vainqueur, en attaquant avec prudence, de façon à ne pas emmener un autre dans sa roue.
- Juppé est clairement dans le "Moins j'en dis, et mieux je me porte", puisqu'en tête des sondages.
- Sarkozy n'a de cesse de rappeler par touches régulières qu'il a été le patron des autres, et s'adresse d'ailleurs encore à eux comme si c'était toujours le cas actuellement. Mais il ne parvient pas, notamment avec une caméra qui le fixe, à masquer sa frustration, son énervement, d'être là debout au même niveau que ses anciens "collaborateurs".
- Le Maire est totalement empêtré dans sa communication du rénovateur qui ne rénove rien. Transparent. La grosse déception de cette primaire.
- NKM est pas mal. C'est la seule qui apporte un peu de nouveauté dans les idées, à tort ou a raison.
- Copé, comment dire... On sent bien qu'il est là sans aucun espoir de quoi que ce soit, hormis de faire consciencieusement chier les autres, ce qui visiblement l'amuse beaucoup.
- Fillon est sobre, d'aucuns diraient austère. Je trouve qu'il ne s'en sort pas mal, coincé entre sa volonté de ne se rallier à personne, tout en devant assumer son bilan aux côtés de Sarkozy, qu'il dépeint comme un réformateur mou. Selon moi, c'est le seul, avec Juppé qui lui a juste à gérer son avance, à qui profite ces débats des primaires.
- Poisson est bon communicant, aucun doute. Il est le passant qui passe. L'invité imprévu pour qui on garde un bol de soupe. Mais on sait très bien que le parti chrétien se ralliera sans état d'âme au vainqueur, comme Boutin l'a toujours fait, et même de façon pécuniaire en 2012.
Les candidats sont face caméra, mais parlent parfois à un autre candidat sans réellement le regarder (Hormis peut-être Lemaire, plus mobile). Ca donne un côté étrange aux rares échanges, puisque le format favorise le fait que chacun soit dans son "silo".
Malgré la volonté discrète, mais bien présente, des journalistes d'essayer de sortir l'exercice de sa torpeur, les candidats ressemblent un peu à des zombies drogués de coaching pour que rien ne dépasse, que tout soit sous maîtrise.
Sinon pas grand chose sur le fond. On a l'impression d'assister à la fin d'une étape du tour de France quand un groupe d'une dizaine de coureurs est suffisamment détaché pour ne plus craindre le retour du peloton, et que donc au sein de ce groupe chacun mitonne une stratégie pour en sortir vainqueur, en attaquant avec prudence, de façon à ne pas emmener un autre dans sa roue.
- Juppé est clairement dans le "Moins j'en dis, et mieux je me porte", puisqu'en tête des sondages.
- Sarkozy n'a de cesse de rappeler par touches régulières qu'il a été le patron des autres, et s'adresse d'ailleurs encore à eux comme si c'était toujours le cas actuellement. Mais il ne parvient pas, notamment avec une caméra qui le fixe, à masquer sa frustration, son énervement, d'être là debout au même niveau que ses anciens "collaborateurs".
- Le Maire est totalement empêtré dans sa communication du rénovateur qui ne rénove rien. Transparent. La grosse déception de cette primaire.
- NKM est pas mal. C'est la seule qui apporte un peu de nouveauté dans les idées, à tort ou a raison.
- Copé, comment dire... On sent bien qu'il est là sans aucun espoir de quoi que ce soit, hormis de faire consciencieusement chier les autres, ce qui visiblement l'amuse beaucoup.
- Fillon est sobre, d'aucuns diraient austère. Je trouve qu'il ne s'en sort pas mal, coincé entre sa volonté de ne se rallier à personne, tout en devant assumer son bilan aux côtés de Sarkozy, qu'il dépeint comme un réformateur mou. Selon moi, c'est le seul, avec Juppé qui lui a juste à gérer son avance, à qui profite ces débats des primaires.
- Poisson est bon communicant, aucun doute. Il est le passant qui passe. L'invité imprévu pour qui on garde un bol de soupe. Mais on sait très bien que le parti chrétien se ralliera sans état d'âme au vainqueur, comme Boutin l'a toujours fait, et même de façon pécuniaire en 2012.
