PO a écrit :Source of the post Sans compter qu'il mange des enfants le matin au petit déjeuner.
Enfin, il parait...
En les trempant dans son café bouillant !
Namtok a écrit :Source of the post Sérieusement, vous avez lu le PDF ?
C'est juste une brochure détaillée du projet du club à moyen-terme, fait par proche de Lopez, alors que le club n'était même pas encore vendu.
ça ne prouve rien, en dehors du fait que la nouvelle direction envisage de faire entrer dans le capital des tiers étrangers, ce qui a déjà été écrit depuis des semaines dans d'autres articles, sans que ça n'émeuve personne.
Autant je suis favorable au journalisme d'investigation, et je suis favorable au fait qu'on fouille, même au LOSC, mais là, pour le coup, y'a rien qui justifie de faire un article aussi détaillé.
Un truc qui m'a marqué : on présente son projet d'achat/revente de joueurs avec plus-value comme si c'était infamant. C'est juste exactement le même projet que celui qui était en place depuis 10 ans, mais à une autre échelle...
mediapart fait du buzz a qqs jours de l'audience dncg , faut bien vendre et vivre... . Encore une fois ce projet de foot business n'est pas du tout ce que je veux , et cela va changer mon club en intermédiaire de joueurs a plus valu . MAIS que d'infos bâclées !!
« La Photographie ne dit pas ce qui n’est plus, mais seulement et à coup sûr, ce qui a été" R. Barthes
Rachat du LOSC : « Créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction »
Sauf dernier retournement de situation, le rachat du LOSC par Gérard Lopez sera effectif ce mercredi soir, date du closing. Maître Kukula-Descelers, avocat spécialiste en droit des affaires, nous éclaire sur la transaction.
Par Recueilli par Yann Duploye | Publié le 24/01/2017
- Avant tout, en quoi consiste un closing ?
« Pour faire simple, c’est l’aboutissement d’un processus de cession. Cette cession se fait en plusieurs étapes. Il faut d’abord que le vendeur soir identifié. En l’occurrence, il l’est. Puis que l’acquéreur intéressé rédige une lettre d’intention avec les conditions d’acquisition, le prix proposé, etc. S’en suit une période d’audit, puis une autre pendant laquelle l’acquéreur monte son financement s’il en a besoin. Et puis la cession se termine le jour du closing. »
- Y-a-t-il une date butoir pour un closing ?
« C’est selon l’accord des deux parties. Elles peuvent se dire : on va se donner une date, à fin janvier par exemple, pour se donner un peu de temps. Si, pour une raison ou pour une autre, les conditions ne sont pas réunies à cette date, et si les deux parties sont d’accord, alors la date peut être reportée. »
- Mais faut-il s’inquiéter face à un report ?
« Il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Tout dépend des conditions sur lesquelles se sont mises d’accord les deux parties. L’une des deux peut avoir besoin d’un peu plus de temps que prévu. Si, par exemple, le vendeur demande à ce que les sociétés off-shore soient plus proches, dans ce cas, un avenant est signé. »
- Le fait que M. Lopez passe, visiblement, par des sociétés off-shore a-t-il pu semer le doute ?
« Il ne faut pas tomber dans la paranoïa. C’est vrai qu’en France, la réglementation demande toujours à avoir la traçabilité de l’origine des fonds. »
- La création d’une société française par M. Lopez va-t-elle dans ce sens ?
« Aujourd’hui, la finance est internationale. Ce n’est pas anormal d’avoir des structures dans différents pays. C’est de la fiscalité internationale. Le problème, c’est qu’à partir du moment où on a beaucoup de structures dans beaucoup de pays, ça devient de plus en plus opaque. Le fait de créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction puisque cette société est soumise à la législation française. »
- Un peu plus de trois mois pour arriver au closing, c’est long ?
« Non, c’est un délai normal dans ce genre de transaction. Il y a des cessions qui prennent beaucoup plus de temps. »
- La cession peut-elle encore tomber à l’eau dans les derniers instants ?
« Généralement, non parce qu’il y a un accord entre les deux parties. Mais les dernières heures jusqu’au closing sont toujours très intenses. C’est un travail qui se poursuit jusqu’à la dernière minute. Mais en cas de force majeure, si toutes les conditions ne sont pas réunies, la cession peut capoter. »
http://www.lavoixdunord.fr/108599/artic ... curiser-la
Sauf dernier retournement de situation, le rachat du LOSC par Gérard Lopez sera effectif ce mercredi soir, date du closing. Maître Kukula-Descelers, avocat spécialiste en droit des affaires, nous éclaire sur la transaction.
Par Recueilli par Yann Duploye | Publié le 24/01/2017
- Avant tout, en quoi consiste un closing ?
« Pour faire simple, c’est l’aboutissement d’un processus de cession. Cette cession se fait en plusieurs étapes. Il faut d’abord que le vendeur soir identifié. En l’occurrence, il l’est. Puis que l’acquéreur intéressé rédige une lettre d’intention avec les conditions d’acquisition, le prix proposé, etc. S’en suit une période d’audit, puis une autre pendant laquelle l’acquéreur monte son financement s’il en a besoin. Et puis la cession se termine le jour du closing. »
- Y-a-t-il une date butoir pour un closing ?
« C’est selon l’accord des deux parties. Elles peuvent se dire : on va se donner une date, à fin janvier par exemple, pour se donner un peu de temps. Si, pour une raison ou pour une autre, les conditions ne sont pas réunies à cette date, et si les deux parties sont d’accord, alors la date peut être reportée. »
- Mais faut-il s’inquiéter face à un report ?
« Il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Tout dépend des conditions sur lesquelles se sont mises d’accord les deux parties. L’une des deux peut avoir besoin d’un peu plus de temps que prévu. Si, par exemple, le vendeur demande à ce que les sociétés off-shore soient plus proches, dans ce cas, un avenant est signé. »
- Le fait que M. Lopez passe, visiblement, par des sociétés off-shore a-t-il pu semer le doute ?
« Il ne faut pas tomber dans la paranoïa. C’est vrai qu’en France, la réglementation demande toujours à avoir la traçabilité de l’origine des fonds. »
- La création d’une société française par M. Lopez va-t-elle dans ce sens ?
« Aujourd’hui, la finance est internationale. Ce n’est pas anormal d’avoir des structures dans différents pays. C’est de la fiscalité internationale. Le problème, c’est qu’à partir du moment où on a beaucoup de structures dans beaucoup de pays, ça devient de plus en plus opaque. Le fait de créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction puisque cette société est soumise à la législation française. »
- Un peu plus de trois mois pour arriver au closing, c’est long ?
« Non, c’est un délai normal dans ce genre de transaction. Il y a des cessions qui prennent beaucoup plus de temps. »
- La cession peut-elle encore tomber à l’eau dans les derniers instants ?
« Généralement, non parce qu’il y a un accord entre les deux parties. Mais les dernières heures jusqu’au closing sont toujours très intenses. C’est un travail qui se poursuit jusqu’à la dernière minute. Mais en cas de force majeure, si toutes les conditions ne sont pas réunies, la cession peut capoter. »
http://www.lavoixdunord.fr/108599/artic ... curiser-la
vivement que cette vente se fasse, que le passage positif devant la DNCG soit acté, et que des renforts arrivent pour relancer le sportif de ce club devenu plus que moribond.
J'en peux plus de lire tout et son contraire,je ne ne sais plus quoi penser.
Mais que la vente se fasse ou non, il y aura des éléments a retenir:
- si la vente est effective, certains médias seront discrédités et on pourra se poser des questions sur les réelles intentions de cet anathème anti-Gégé
- si ça foire, si ce que dise les médias se confirment au sujet de Gégé, il sera grillé et toutes ventes de club se feront toujours dans la crainte d'un nouveau flibustier (comme Maillol ou Katkar)
J'en peux plus de lire tout et son contraire,je ne ne sais plus quoi penser.
Mais que la vente se fasse ou non, il y aura des éléments a retenir:
- si la vente est effective, certains médias seront discrédités et on pourra se poser des questions sur les réelles intentions de cet anathème anti-Gégé
- si ça foire, si ce que dise les médias se confirment au sujet de Gégé, il sera grillé et toutes ventes de club se feront toujours dans la crainte d'un nouveau flibustier (comme Maillol ou Katkar)
solid-snake a écrit :Source of the post Rachat du LOSC : « Créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction »
Sauf dernier retournement de situation, le rachat du LOSC par Gérard Lopez sera effectif ce mercredi soir, date du closing. Maître Kukula-Descelers, avocat spécialiste en droit des affaires, nous éclaire sur la transaction.
Par Recueilli par Yann Duploye | Publié le 24/01/2017
- Avant tout, en quoi consiste un closing ?
« Pour faire simple, c’est l’aboutissement d’un processus de cession. Cette cession se fait en plusieurs étapes. Il faut d’abord que le vendeur soir identifié. En l’occurrence, il l’est. Puis que l’acquéreur intéressé rédige une lettre d’intention avec les conditions d’acquisition, le prix proposé, etc. S’en suit une période d’audit, puis une autre pendant laquelle l’acquéreur monte son financement s’il en a besoin. Et puis la cession se termine le jour du closing. »
- Y-a-t-il une date butoir pour un closing ?
« C’est selon l’accord des deux parties. Elles peuvent se dire : on va se donner une date, à fin janvier par exemple, pour se donner un peu de temps. Si, pour une raison ou pour une autre, les conditions ne sont pas réunies à cette date, et si les deux parties sont d’accord, alors la date peut être reportée. »
- Mais faut-il s’inquiéter face à un report ?
« Il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Tout dépend des conditions sur lesquelles se sont mises d’accord les deux parties. L’une des deux peut avoir besoin d’un peu plus de temps que prévu. Si, par exemple, le vendeur demande à ce que les sociétés off-shore soient plus proches, dans ce cas, un avenant est signé. »
- Le fait que M. Lopez passe, visiblement, par des sociétés off-shore a-t-il pu semer le doute ?
« Il ne faut pas tomber dans la paranoïa. C’est vrai qu’en France, la réglementation demande toujours à avoir la traçabilité de l’origine des fonds. »
- La création d’une société française par M. Lopez va-t-elle dans ce sens ?
« Aujourd’hui, la finance est internationale. Ce n’est pas anormal d’avoir des structures dans différents pays. C’est de la fiscalité internationale. Le problème, c’est qu’à partir du moment où on a beaucoup de structures dans beaucoup de pays, ça devient de plus en plus opaque. Le fait de créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction puisque cette société est soumise à la législation française. »
- Un peu plus de trois mois pour arriver au closing, c’est long ?
« Non, c’est un délai normal dans ce genre de transaction. Il y a des cessions qui prennent beaucoup plus de temps. »
- La cession peut-elle encore tomber à l’eau dans les derniers instants ?
« Généralement, non parce qu’il y a un accord entre les deux parties. Mais les dernières heures jusqu’au closing sont toujours très intenses. C’est un travail qui se poursuit jusqu’à la dernière minute. Mais en cas de force majeure, si toutes les conditions ne sont pas réunies, la cession peut capoter. »
http://www.lavoixdunord.fr/108599/artic ... curiser-la
J'ai bien aimé l'interview jusqu' à la dernière phrase..
Encore un nouvel article sur lequipe.fr ... de JD je suppose !!!
http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Rachat-du-losc-les-droles-de-manoeuvres-d-un-proche-de-gerard-lopez/771783
Rachat du Losc : les drôles de manoeuvres d'un proche de Gérard Lopez
Mediapart, Médiacités et France 3 révèlent des messages d'un proche de Gérard Lopez, le repreneur du Losc, pour convaincre de potentiels investisseurs. Marcelo Bielsa y est présenté comme le «conseiller football» d'un club qui permettrait de juteuses plus-values en matière de transferts.
C'est une présentation de 25 pages dans laquelle Marcelo Bielsa est présenté comme le «conseiller football» de Lille, un club également vanté pour avoir «le meilleur bilan sur dix ans en Ligue 1 en matière de transferts, avec le solde le plus élevé entre vente et achat de joueurs, avec 199 millions d'euros de profit».
Cette «brochure» fait partie des documents obtenus par Mediapart, Médiacités et France 3, et qui posent certaines questions sur la reprise du club par Gérard Lopez. Ces documents montrent en effet les démarches effectuées par un proche de l'homme d'affaires pour séduire des investisseurs potentiels, alors que Lopez a toujours assuré qu'il avait la capacité de racheter seul le club. Pour rappel, dix jours après la passation de pouvoir avec Michel Seydoux, l'actuel propriétaire, le rachat n'est pas encore bouclé.
Le prix du club évalué à 200 M€
En novembre dernier, alors que les négociations exclusives ont été ouvertes le 17 octobre, Laurent Pichonnier, ami de Lopez, adresse d'abord une proposition par mail à un partenaire potentiel en proposant une participation de 33% à un montant total de 200 M€, alors que Lopez a évalué le prix du club à 80 M€.
Plus tard, juste avant la passation de pouvoir du 13 janvier, le même Laurent Pichonnier assure que Lopez «a racheté 95% du Losc» et explique que ce dernier cherche à vendre «20 à 25% des actions de la holding». C'est là qu'il joint à son message la fameuse «plaquette» intitulée «Losc : renforcer l'excellence du football pour le succès».
«Le meilleur potentiel pour multiplier le retour sur investissement»
Outre le nom de Bielsa, qui n'a encore rien signé avec Lille, est donc mise en avant la capacité du club à tirer profit de la vente de ses joueurs : «Le Losc a le meilleur potentiel en Europe pour multiplier le retour sur investissement avec Porto et une poignée d'autres», souligne le document.
Joint par Mediapart, Lopez assure que ce démarchage a été fait à son insu et qu'il a saisi ses avocats. Pichonnier, lui, reconnaît l'authenticité des mails mais affirme que les textes ont été «retravaillés» pour y ajouter de fausses informations.
http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Rachat-du-losc-les-droles-de-manoeuvres-d-un-proche-de-gerard-lopez/771783
Rachat du Losc : les drôles de manoeuvres d'un proche de Gérard Lopez
Mediapart, Médiacités et France 3 révèlent des messages d'un proche de Gérard Lopez, le repreneur du Losc, pour convaincre de potentiels investisseurs. Marcelo Bielsa y est présenté comme le «conseiller football» d'un club qui permettrait de juteuses plus-values en matière de transferts.
C'est une présentation de 25 pages dans laquelle Marcelo Bielsa est présenté comme le «conseiller football» de Lille, un club également vanté pour avoir «le meilleur bilan sur dix ans en Ligue 1 en matière de transferts, avec le solde le plus élevé entre vente et achat de joueurs, avec 199 millions d'euros de profit».
Cette «brochure» fait partie des documents obtenus par Mediapart, Médiacités et France 3, et qui posent certaines questions sur la reprise du club par Gérard Lopez. Ces documents montrent en effet les démarches effectuées par un proche de l'homme d'affaires pour séduire des investisseurs potentiels, alors que Lopez a toujours assuré qu'il avait la capacité de racheter seul le club. Pour rappel, dix jours après la passation de pouvoir avec Michel Seydoux, l'actuel propriétaire, le rachat n'est pas encore bouclé.
Le prix du club évalué à 200 M€
En novembre dernier, alors que les négociations exclusives ont été ouvertes le 17 octobre, Laurent Pichonnier, ami de Lopez, adresse d'abord une proposition par mail à un partenaire potentiel en proposant une participation de 33% à un montant total de 200 M€, alors que Lopez a évalué le prix du club à 80 M€.
Plus tard, juste avant la passation de pouvoir du 13 janvier, le même Laurent Pichonnier assure que Lopez «a racheté 95% du Losc» et explique que ce dernier cherche à vendre «20 à 25% des actions de la holding». C'est là qu'il joint à son message la fameuse «plaquette» intitulée «Losc : renforcer l'excellence du football pour le succès».
«Le meilleur potentiel pour multiplier le retour sur investissement»
Outre le nom de Bielsa, qui n'a encore rien signé avec Lille, est donc mise en avant la capacité du club à tirer profit de la vente de ses joueurs : «Le Losc a le meilleur potentiel en Europe pour multiplier le retour sur investissement avec Porto et une poignée d'autres», souligne le document.
Joint par Mediapart, Lopez assure que ce démarchage a été fait à son insu et qu'il a saisi ses avocats. Pichonnier, lui, reconnaît l'authenticité des mails mais affirme que les textes ont été «retravaillés» pour y ajouter de fausses informations.
Un document confidentiel de 25 pages met en lumière certains projets de Gérard Lopez, nouveau propriétaire du LOSC. Certains peuvent faire tiquer.
C’est normalement en fin de semaine, après le passage du club devant la DNCG, que Gérard Lopez devrait avoir les coudées franches. Le nouveau propriétaire du LOSC enregistrera dans la foulée l’arrivée de plusieurs recrues telles que Junior Alonso et Anwar El-Ghazi.
Mais il ne s’agit-là que de la face visible de l’iceberg. Le site de France 3 Nord Pas-de-Calais, épaulé par Mediapart et Mediacités, s’est procuré un document de 25 pages attribué à Marc Ingla, le bras droit de l’homme d’affaire luxembourgeois. On y découvre certains projets parallèles que ce dernier entend mener avec les Dogues.
Des jeunes recrutés pour mieux être vendus ?
En s’attachant les services de Luis Campos, futur conseiller au recrutement, le LOSC semble vouloir se hisser à la pointe de la détection de jeunes talents. Ce que confirme le document : l’objectif de superviser 600 joueurs par an au lieu de 200 y est fixé. De nouveaux réseaux en Amérique Latine, en Europe du Nord et en Europe de l’Est devraient également être mis en place.
Mais dans quel but ? Certains éléments de cette présentation semblent trahir la volonté de faire du club nordiste un simple lieu de passage pour des joueurs à fort potentiel, dans l’espoir de générer les plus-values les plus intéressantes. L’avenir dira si cette politique ne risque pas d’affaiblir le secteur sportif.
Un autre partenaire aux côtés de Gérard Lopez ?
À en juger par certains éléments de cette feuille de route, Gérard Lopez cherche un associé, notamment du côté de la Chine. Contacté par le site de France 3, Lopez assure pourtant disposer de la surface financière suffisante pour gérer le club. La quête d’un co-actionnaire n’aurait pour objectif que de permettre l’ouverture d’académies de football sur le continent asiatique.
« Je n’ai jamais cherché à avoir un partenaire là maintenant, puisque je veux détenir 100% du club. Par contre, ce que je cherche c’est un partenaire qui soit capable de développer des académies de football en Chine. Soyons clair, moi je veux trouver un jour un investisseur qui devienne actionnaire minoritaire au LOSC, tel que je l’ai dit à différentes reprises, mais qui apporte la capacité d’ouvrir des académies en Asie. »
Bielsa déjà acteur de l’ombre ?
Le plus surprenant dans ces 25 pages, c’est de voir Marcelo Bielsa déjà présenté comme consultant technique du LOSC. De l’aveu-même de Gérard Lopez, El Loco n’a pourtant rien signé. Interrogé par France 3, l’ancien patron de l’écurie Lotus F1 révèle que le technicien argentin joue en effet déjà un rôle dans les orientations prises actuellement.
« M. Bielsa est tout à fait au courant d’un contrat qui a juste à être signé. Et il doit juste prendre sa décision par rapport à des raisons privées. Sur le fait qu’il ou qu’il ne vienne pas comme entraîneur. (…) M. Bielsa, je l’ai au téléphone tous les jours ou tous les deux jours. Et Luis Campos l’a au téléphone. Ce n’est pas un rôle que je lui fais assumer, c’est un rôle qu’il joue. Aujourd’hui, c’est une des personnes de référence dans le projet, quand on parle de foot. Tous les jours ! Pas tous les trois jours, pas une fois par semaine, tous les jours ! Ce qui est écrit dans cette présentation est absolument vrai. »
Le stade Pierre-Mauroy racheté
Dernière curiosité, le LOSC étudierait la possibilité, à plus long terme, de devenir propriétaire du stade Pierre-Mauroy afin d’augmenter ses recettes. « On n’en est pas du tout là pour l’instant, tempère Lopez au micro de France 3. Mais effectivement, vous ne pouvez pas reprendre un club comme le LOSC qui joue dans un stade où il loue, sans réfléchir à ce qu’un jour, le LOSC ait son propre stade ou qu’en tout cas, on réfléchisse à être en partie partenaire du stade qui existe. C’est même bête de ne pas dire ça. »
C’est normalement en fin de semaine, après le passage du club devant la DNCG, que Gérard Lopez devrait avoir les coudées franches. Le nouveau propriétaire du LOSC enregistrera dans la foulée l’arrivée de plusieurs recrues telles que Junior Alonso et Anwar El-Ghazi.
Mais il ne s’agit-là que de la face visible de l’iceberg. Le site de France 3 Nord Pas-de-Calais, épaulé par Mediapart et Mediacités, s’est procuré un document de 25 pages attribué à Marc Ingla, le bras droit de l’homme d’affaire luxembourgeois. On y découvre certains projets parallèles que ce dernier entend mener avec les Dogues.
Des jeunes recrutés pour mieux être vendus ?
En s’attachant les services de Luis Campos, futur conseiller au recrutement, le LOSC semble vouloir se hisser à la pointe de la détection de jeunes talents. Ce que confirme le document : l’objectif de superviser 600 joueurs par an au lieu de 200 y est fixé. De nouveaux réseaux en Amérique Latine, en Europe du Nord et en Europe de l’Est devraient également être mis en place.
Mais dans quel but ? Certains éléments de cette présentation semblent trahir la volonté de faire du club nordiste un simple lieu de passage pour des joueurs à fort potentiel, dans l’espoir de générer les plus-values les plus intéressantes. L’avenir dira si cette politique ne risque pas d’affaiblir le secteur sportif.
Un autre partenaire aux côtés de Gérard Lopez ?
À en juger par certains éléments de cette feuille de route, Gérard Lopez cherche un associé, notamment du côté de la Chine. Contacté par le site de France 3, Lopez assure pourtant disposer de la surface financière suffisante pour gérer le club. La quête d’un co-actionnaire n’aurait pour objectif que de permettre l’ouverture d’académies de football sur le continent asiatique.
« Je n’ai jamais cherché à avoir un partenaire là maintenant, puisque je veux détenir 100% du club. Par contre, ce que je cherche c’est un partenaire qui soit capable de développer des académies de football en Chine. Soyons clair, moi je veux trouver un jour un investisseur qui devienne actionnaire minoritaire au LOSC, tel que je l’ai dit à différentes reprises, mais qui apporte la capacité d’ouvrir des académies en Asie. »
Bielsa déjà acteur de l’ombre ?
Le plus surprenant dans ces 25 pages, c’est de voir Marcelo Bielsa déjà présenté comme consultant technique du LOSC. De l’aveu-même de Gérard Lopez, El Loco n’a pourtant rien signé. Interrogé par France 3, l’ancien patron de l’écurie Lotus F1 révèle que le technicien argentin joue en effet déjà un rôle dans les orientations prises actuellement.
« M. Bielsa est tout à fait au courant d’un contrat qui a juste à être signé. Et il doit juste prendre sa décision par rapport à des raisons privées. Sur le fait qu’il ou qu’il ne vienne pas comme entraîneur. (…) M. Bielsa, je l’ai au téléphone tous les jours ou tous les deux jours. Et Luis Campos l’a au téléphone. Ce n’est pas un rôle que je lui fais assumer, c’est un rôle qu’il joue. Aujourd’hui, c’est une des personnes de référence dans le projet, quand on parle de foot. Tous les jours ! Pas tous les trois jours, pas une fois par semaine, tous les jours ! Ce qui est écrit dans cette présentation est absolument vrai. »
Le stade Pierre-Mauroy racheté
Dernière curiosité, le LOSC étudierait la possibilité, à plus long terme, de devenir propriétaire du stade Pierre-Mauroy afin d’augmenter ses recettes. « On n’en est pas du tout là pour l’instant, tempère Lopez au micro de France 3. Mais effectivement, vous ne pouvez pas reprendre un club comme le LOSC qui joue dans un stade où il loue, sans réfléchir à ce qu’un jour, le LOSC ait son propre stade ou qu’en tout cas, on réfléchisse à être en partie partenaire du stade qui existe. C’est même bête de ne pas dire ça. »
Namtok a écrit :Source of the post A la lecture de l'article, j'ai du mal à comprendre ce qu'on reproche à Lopez.
De faire du business là où d'autres ne voient qu'un amusement sportif.
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
tout ce qu'il y a d'écrit, on le savait déjà.
bref, on dirait l'article de quelqu'un qui découvre ce qu'est le foot business. S'emporter de la sorte alors que partout en europe, le business est roi...
bidon
bref, on dirait l'article de quelqu'un qui découvre ce qu'est le foot business. S'emporter de la sorte alors que partout en europe, le business est roi...
bidon
"Le système ne choisit pas les meilleurs, il choisit les plus conformes, c'est dangereux" AJ
Zappa a écrit :Roooô putain je la sens de moins en moins cette histoire :-(
Vous imaginez qu'il nous arrive tout ce qu'on a souhaité aux racleux avec le feuilleton Mamadov ?
ouais ça sent mauvais, je crains de revoir Seydoux dans les tribunes prochainement, on va avoir l'air malin
Zappa a écrit :Source of the post Roooô putain je la sens de moins en moins cette histoire :-(
Vous imaginez qu'il nous arrive tout ce qu'on a souhaité aux racleux avec le feuilleton Mamadov ?
.??? Le projet dit
- création d'académie de foot en chine d'or recherche d'investisseurs chinois
- projet jeunes
- étude de faisabilité du rachat du GSPM
- projet immobilier tournant autour du sport à Luchin
- LOSC équipe reconnu mondialement
- sur le projet financier si tu connais un investisseur qui met de l'argent pour en perdre tu me fais signe j'ai plein de projets
- Bon le souci est que des joueurs chtis yen aura pas beaucoup
Sinon super projet LOSC CLUB MONDIALEMENT CONNU
mediapart qui s'étonne du projet de luchin, alors que dès le départ de la reclassification des terrains de camphin, seydoux a annoncé ce projet, qui est , donc inclus dans le prix du rachat du club, et GL l'entérine en le reprenant à son compte.
Ah au fait il semble que mediapert a créé une succursale à lille, ceci explique cela.
Ah au fait il semble que mediapert a créé une succursale à lille, ceci explique cela.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
et donc c'est bien seydoux qui est au départ de ce projet, que GL reprend à son compte, et qu'il vend pour attirer de nouveaux partenaires pour agrandir son " empire" .
en conséquence ce sujet n'est pas à reprocher à GL,( y a t il quelque chose à reprocher à ça ?) et mediapart fait fausse route, la dessus.
en conséquence ce sujet n'est pas à reprocher à GL,( y a t il quelque chose à reprocher à ça ?) et mediapart fait fausse route, la dessus.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
gglopeze a écrit :Source of the postsolid-snake a écrit :Source of the post Rachat du LOSC : « Créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction »
Sauf dernier retournement de situation, le rachat du LOSC par Gérard Lopez sera effectif ce mercredi soir, date du closing. Maître Kukula-Descelers, avocat spécialiste en droit des affaires, nous éclaire sur la transaction.
Par Recueilli par Yann Duploye | Publié le 24/01/2017
- Avant tout, en quoi consiste un closing ?
« Pour faire simple, c’est l’aboutissement d’un processus de cession. Cette cession se fait en plusieurs étapes. Il faut d’abord que le vendeur soir identifié. En l’occurrence, il l’est. Puis que l’acquéreur intéressé rédige une lettre d’intention avec les conditions d’acquisition, le prix proposé, etc. S’en suit une période d’audit, puis une autre pendant laquelle l’acquéreur monte son financement s’il en a besoin. Et puis la cession se termine le jour du closing. »
- Y-a-t-il une date butoir pour un closing ?
« C’est selon l’accord des deux parties. Elles peuvent se dire : on va se donner une date, à fin janvier par exemple, pour se donner un peu de temps. Si, pour une raison ou pour une autre, les conditions ne sont pas réunies à cette date, et si les deux parties sont d’accord, alors la date peut être reportée. »
- Mais faut-il s’inquiéter face à un report ?
« Il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Tout dépend des conditions sur lesquelles se sont mises d’accord les deux parties. L’une des deux peut avoir besoin d’un peu plus de temps que prévu. Si, par exemple, le vendeur demande à ce que les sociétés off-shore soient plus proches, dans ce cas, un avenant est signé. »
- Le fait que M. Lopez passe, visiblement, par des sociétés off-shore a-t-il pu semer le doute ?
« Il ne faut pas tomber dans la paranoïa. C’est vrai qu’en France, la réglementation demande toujours à avoir la traçabilité de l’origine des fonds. »
- La création d’une société française par M. Lopez va-t-elle dans ce sens ?
« Aujourd’hui, la finance est internationale. Ce n’est pas anormal d’avoir des structures dans différents pays. C’est de la fiscalité internationale. Le problème, c’est qu’à partir du moment où on a beaucoup de structures dans beaucoup de pays, ça devient de plus en plus opaque. Le fait de créer une société en France, ça permet surtout de sécuriser la transaction puisque cette société est soumise à la législation française. »
- Un peu plus de trois mois pour arriver au closing, c’est long ?
« Non, c’est un délai normal dans ce genre de transaction. Il y a des cessions qui prennent beaucoup plus de temps. »
- La cession peut-elle encore tomber à l’eau dans les derniers instants ?
« Généralement, non parce qu’il y a un accord entre les deux parties. Mais les dernières heures jusqu’au closing sont toujours très intenses. C’est un travail qui se poursuit jusqu’à la dernière minute. Mais en cas de force majeure, si toutes les conditions ne sont pas réunies, la cession peut capoter. »
http://www.lavoixdunord.fr/108599/artic ... curiser-la
J'ai bien aimé l'interview jusqu' à la dernière phrase..
Article plutôt rassurant pour ma part! Je suis prêt à parier que ce même article sur la Team et posté par un certain JD se serai appelé: "La cession peut capoter"
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