J'ai hésité où poster ça :
https://www.francefootball.fr/news/Adam ... er/1009516
Adama Soumaoro (Lille) dans France Football : «Personne ne me dicte où je dois aller»
Jeudi dernier, FF a passé une heure avec Adama Soumaoro. Histoire de comprendre ce qu'il se cache au plus profond d'un défenseur discret, mais qui, soyez en sûr, ne se laisse pas faire. Un entretien découverte à retrouver cette semaine dans France Football.
Son caractère
«Personne ne me dicte où je dois aller. Ç'a toujours été comme ça. Je sais ce que j'ai à faire. J'ai été éduqué comme ça. J'ai toujours appris à ne pas me faire marcher dessus et à faire mes propres choix (...) Je suis quelqu'un d'assez discret, je ne parle pas souvent. Je peux comprendre qu'on ne me connaisse pas. Mais je me porte bien comme ça.»
La mort de son grand frère lorsqu'il était âgé de neuf ans
«Il avait huit ans de plus que moi. On peut dire qu'il a été mon guide. C'est lui qui me sortait et qui m'amenait jouer au foot. Il avait aussi du talent. Ça m'a marqué, bien sûr. C'est vrai que ça m'a changé. Je me suis renfermé. Aujourd'hui, penser à lui me donne de la force.»
Son pari, en primaire, avec un camarade de classe
«J'étais en cours d'anglais. Je parlais foot avec un ami. Il évoluait dans un modeste club en région parisienne, moi j'étais à l'ACBB (Boulogne-Billancourt), un club un peu plus huppé. Il était un peu surpris de me voir à ce niveau. Il me pose pas mal de questions et me disait : "De toute façon, ce sera difficile d'être pro." Je lui ai répondu : "Je te parie que je serai pro à mes dix-huit ans." On s'est perdu de vue. Mais je pense qu'il a eu l'occasion de voir où j'en étais et de se souvenir de ça.»
Les clichés sur son physique
«Ça me joue encore des tours aujourd'hui ! Comme je suis grand, black, costaud, les gens estiment que je n'ai pas de technique. Mais je sais ce que j'ai dans les pieds. Ça me fait beaucoup rire. Ça me colle à la peau, mais ça ne me dérange pas, ils peuvent penser ce qu'ils veulent.»
Ses rêves d'équipe de France
«Bien sûr que j'y crois vraiment ! J'ai été arrêté pas mal de temps, donc on en reparlera plus tard (...) J'ai grandi avec l'équipe de France. Je me souviens de la Coupe du monde 1998 et de ZInédine Zidane. J'avais vécu la compétition depuis le Mali, c'était festif. La sélection malienne, pour l'instant, ce n'est pas d'actualité. Pas du tout.»
https://www.francefootball.fr/news/Adam ... er/1009516
Adama Soumaoro (Lille) dans France Football : «Personne ne me dicte où je dois aller»
Jeudi dernier, FF a passé une heure avec Adama Soumaoro. Histoire de comprendre ce qu'il se cache au plus profond d'un défenseur discret, mais qui, soyez en sûr, ne se laisse pas faire. Un entretien découverte à retrouver cette semaine dans France Football.
Son caractère
«Personne ne me dicte où je dois aller. Ç'a toujours été comme ça. Je sais ce que j'ai à faire. J'ai été éduqué comme ça. J'ai toujours appris à ne pas me faire marcher dessus et à faire mes propres choix (...) Je suis quelqu'un d'assez discret, je ne parle pas souvent. Je peux comprendre qu'on ne me connaisse pas. Mais je me porte bien comme ça.»
La mort de son grand frère lorsqu'il était âgé de neuf ans
«Il avait huit ans de plus que moi. On peut dire qu'il a été mon guide. C'est lui qui me sortait et qui m'amenait jouer au foot. Il avait aussi du talent. Ça m'a marqué, bien sûr. C'est vrai que ça m'a changé. Je me suis renfermé. Aujourd'hui, penser à lui me donne de la force.»
Son pari, en primaire, avec un camarade de classe
«J'étais en cours d'anglais. Je parlais foot avec un ami. Il évoluait dans un modeste club en région parisienne, moi j'étais à l'ACBB (Boulogne-Billancourt), un club un peu plus huppé. Il était un peu surpris de me voir à ce niveau. Il me pose pas mal de questions et me disait : "De toute façon, ce sera difficile d'être pro." Je lui ai répondu : "Je te parie que je serai pro à mes dix-huit ans." On s'est perdu de vue. Mais je pense qu'il a eu l'occasion de voir où j'en étais et de se souvenir de ça.»
Les clichés sur son physique
«Ça me joue encore des tours aujourd'hui ! Comme je suis grand, black, costaud, les gens estiment que je n'ai pas de technique. Mais je sais ce que j'ai dans les pieds. Ça me fait beaucoup rire. Ça me colle à la peau, mais ça ne me dérange pas, ils peuvent penser ce qu'ils veulent.»
Ses rêves d'équipe de France
«Bien sûr que j'y crois vraiment ! J'ai été arrêté pas mal de temps, donc on en reparlera plus tard (...) J'ai grandi avec l'équipe de France. Je me souviens de la Coupe du monde 1998 et de ZInédine Zidane. J'avais vécu la compétition depuis le Mali, c'était festif. La sélection malienne, pour l'instant, ce n'est pas d'actualité. Pas du tout.»
Modifié en dernier par rud le mar. 16 avr. 2019 15:01, modifié 1 fois.
Article sur Thiago Mendes, du très bon Christophe Kuchly
https://www.lemonde.fr/sport/article/20 ... _3242.html
Ligue 1 : Thiago Mendes, celui que Lille n’attendait plus
Le milieu de terrain brésilien est devenu essentiel au sein du LOSC. Il affrontera avec ses coéquipiers le PSG, dimanche à 21 heures, un club qu’il a été proche de rejoindre cet hiver.
L’apport de Mendes (à gauche sur la photo, ici contre Reims) ne se ressent pas dans les statistiques. Mais ce n’est pas tout à fait un hasard si Lille a perdu les deux rencontres de championnat qu’il a ratées. FRANCOIS NASCIMBENI / AFP
C’est une histoire qui mélange beauté du jeu et bilans comptables, plans à long terme et hasards du quotidien. Un parcours qui, de moments de doutes en moment de grâce, symbolise l’évolution de Lille, passé en un an des tréfonds du championnat de France de football à la deuxième place, dauphin d’un PSG qui sera affronté dimanche 14 avril. Une évidence née d’un malentendu : Thiago Mendes, patron du milieu de terrain lillois, avait toutes les raisons de ne pas disputer la saison dans le Nord.
Dans cette version footballistique de l’effet papillon, le premier battement d’aile est venu de Gabriel. Ce défenseur central, acheté au club d’Avai le 31 janvier 2017 alors qu’il n’a que 19 ans, fait partie de la première vague de recrues de l’ère Gérard Lopez. Ce jour-là, le dernier du mercato hivernal, le nouveau propriétaire du LOSC fait venir sept joueurs de 23 ans et moins. Trop tendre, le Brésilien ne s’impose pas et part en prêt. C’est un échec : une titularisation avec Troyes, une autre avec le Dinamo Zagreb et un retour à Lille à l’été 2018.
C’est là que son destin et celui de Thiago Mendes se croisent. Son compatriote, arrivé six mois plus tard, vient lui aussi de vivre une saison compliquée. Lent à se faire à la vie en Europe, gêné par des problèmes physiques, il est testé partout sur le terrain par son entraîneur. « J’ai mis pas mal de temps pour savoir à quel poste il pouvait être le plus utile, il a été trimballé en 10, en sentinelle et même déplacé sur le côté », rappelle Christophe Galtier.
Un début dans l’entrejeu par défaut
Prometteur lors de ses premières sorties, l’intéressé ne dévoile ensuite son immense talent que quand il en a envie, c’est-à-dire pas souvent. A l’approche du nouvel exercice, le coach le met sur le banc et aligne la paire Thiago Maia-Xeka lors des matches de préparation.
Le retour de Gabriel, a priori anecdotique, pose cependant un problème réglementaire : si les clubs de Ligue 1 ont droit à quatre joueurs extracommunautaires, il fait passer le compte à cinq. Dans ce cas rarissime, la règle prévoit que le dernier à avoir signé son contrat ne peut être aligné. Le malheureux se nomme Maia, et c’est Mendes qui débute la saison dans l’entrejeu. Par défaut, tant la page semble (déjà) tournée.
Lille bat Rennes 3-1 et le milieu de terrain convainc. Prêté au Celta Vigo trois jours plus tard, le Paraguayen Junior Alonso permet de régulariser le problème des extracommunautaires. Trop tard. « Thiago Maia a été victime d’une situation administrative et Mendes a sauté sur l’occasion, constate Galtier. Comme j’étais satisfait du duo Xeka-Mendes, j’ai décidé de continuer avec cette paire. »
Formule gagnante
Trouvée presque par hasard alors que le club cherchait une porte de sortie au milieu de terrain, la formule est gagnante. Titularisé 29 fois et seulement absent pour cause de suspension, Thiago Mendes n’a plus jamais pris place sur le banc depuis.
Aux côtés du Portugais Xeka, plus dur sur l’homme – recordman d’avertissements en L1 – mais moins sûr techniquement, il forme une paire lusophone complémentaire. Une courroie de transmission si efficace qu’elle est ciblée par les adversaires, avec plus ou moins de réussite.
« Notre plan de bataille était simple : anéantir la source lilloise, c’est-à-dire le duo Mendes-Xeka. Ce sont eux qui mènent les débats », avait par exemple expliqué le coach rémois David Guion en décembre 2018, lors d’un match sur le terrain du LOSC conclu sur un score de 1-1.
L’apport de Mendes (3 passes décisives dont 2 sur corner, 0 but) ne se ressent pas dans les statistiques. Mais ce n’est pas tout à fait un hasard si Lille a perdu les deux rencontres de championnat qu’il a ratées. Ni si le Paris-Saint-Germain, qui sera l’adversaire du LOSC dimanche 14 avril, s’est penché de près sur son cas cet hiver.
Sur le départ cet hiver
Car, dans sa quête du milieu de terrain idéal lors des dernières heures du mercato, le club de la capitale avait ciblé deux noms : Idrissa Gueye, désormais à Everton après avoir découvert le monde professionnel à Lille, et Thiago Mendes. Deux profils différents, le premier étant beaucoup plus défensif.
Finalement aucun transfert ne se fera, Thomas Tuchel ne validant pas l’arrivée du Brésilien. « Je profite pleinement de la présence de Thiago, même si ça m’aurait fait plaisir qu’il aille au PSG. Paris, cela ne se refuse pas », avait alors réagi Christophe Galtier.
Etre prêt à vendre un joueur clé mais se satisfaire qu’il reste : voilà tout le paradoxe du LOSC, obligé de trouver un moyen d’équilibrer ses comptes en restant compétitif. Et pour qui l’incertitude s’est prolongée en février, mois où les clubs russes et chinois, assez chauds sur le dossier, pouvaient encore recruter.
Réaction du principal intéressé : « Cela n’a pas été tous les jours facile, on peut être dans un endroit et ailleurs le lendemain mais, après avoir discuté avec ma famille, j’ai décidé de laisser au club et à mes agents ces problèmes qui ne concernent pas le terrain ».
Valeur marchande au plus haut
« Il fait une saison pleine mais il a été un peu moins bien ces derniers temps, ajoute Christophe Galtier. Automatiquement, le mercato a engendré de la réflexion, moins de concentration et une fatigue supplémentaire. Cela l’a rendu légèrement moins performant. »
Un match réussi face à Nantes fin mars (3-2) a rappelé ce qu’il pouvait faire. Le suivant, à Reims le 7 avril (1-1), a, lui, servi de contraste : tandis qu’il menait le jeu, Maia, concurrent du début de saison (et plus gros transfert de l’histoire du club) exceptionnellement aligné à ses côtés en raison d’une blessure de Xeka, ratait tout ce qu’il entreprenait.
A 27 ans, Thiago Mendes est au pic de sa carrière. Sa valeur marchande est au plus haut. Acheté 9 millions d’euros, il en vaut aujourd’hui 25, une plus-value qui légitimerait le projet d’achat-revente du club nordiste. A condition de bien le remplacer et de savoir être patient. Car son histoire prouve que même les bonnes affaires ne payent pas toujours immédiatement.
https://www.lemonde.fr/sport/article/20 ... _3242.html
Ligue 1 : Thiago Mendes, celui que Lille n’attendait plus
Le milieu de terrain brésilien est devenu essentiel au sein du LOSC. Il affrontera avec ses coéquipiers le PSG, dimanche à 21 heures, un club qu’il a été proche de rejoindre cet hiver.
L’apport de Mendes (à gauche sur la photo, ici contre Reims) ne se ressent pas dans les statistiques. Mais ce n’est pas tout à fait un hasard si Lille a perdu les deux rencontres de championnat qu’il a ratées. FRANCOIS NASCIMBENI / AFP
C’est une histoire qui mélange beauté du jeu et bilans comptables, plans à long terme et hasards du quotidien. Un parcours qui, de moments de doutes en moment de grâce, symbolise l’évolution de Lille, passé en un an des tréfonds du championnat de France de football à la deuxième place, dauphin d’un PSG qui sera affronté dimanche 14 avril. Une évidence née d’un malentendu : Thiago Mendes, patron du milieu de terrain lillois, avait toutes les raisons de ne pas disputer la saison dans le Nord.
Dans cette version footballistique de l’effet papillon, le premier battement d’aile est venu de Gabriel. Ce défenseur central, acheté au club d’Avai le 31 janvier 2017 alors qu’il n’a que 19 ans, fait partie de la première vague de recrues de l’ère Gérard Lopez. Ce jour-là, le dernier du mercato hivernal, le nouveau propriétaire du LOSC fait venir sept joueurs de 23 ans et moins. Trop tendre, le Brésilien ne s’impose pas et part en prêt. C’est un échec : une titularisation avec Troyes, une autre avec le Dinamo Zagreb et un retour à Lille à l’été 2018.
C’est là que son destin et celui de Thiago Mendes se croisent. Son compatriote, arrivé six mois plus tard, vient lui aussi de vivre une saison compliquée. Lent à se faire à la vie en Europe, gêné par des problèmes physiques, il est testé partout sur le terrain par son entraîneur. « J’ai mis pas mal de temps pour savoir à quel poste il pouvait être le plus utile, il a été trimballé en 10, en sentinelle et même déplacé sur le côté », rappelle Christophe Galtier.
Un début dans l’entrejeu par défaut
Prometteur lors de ses premières sorties, l’intéressé ne dévoile ensuite son immense talent que quand il en a envie, c’est-à-dire pas souvent. A l’approche du nouvel exercice, le coach le met sur le banc et aligne la paire Thiago Maia-Xeka lors des matches de préparation.
Le retour de Gabriel, a priori anecdotique, pose cependant un problème réglementaire : si les clubs de Ligue 1 ont droit à quatre joueurs extracommunautaires, il fait passer le compte à cinq. Dans ce cas rarissime, la règle prévoit que le dernier à avoir signé son contrat ne peut être aligné. Le malheureux se nomme Maia, et c’est Mendes qui débute la saison dans l’entrejeu. Par défaut, tant la page semble (déjà) tournée.
Lille bat Rennes 3-1 et le milieu de terrain convainc. Prêté au Celta Vigo trois jours plus tard, le Paraguayen Junior Alonso permet de régulariser le problème des extracommunautaires. Trop tard. « Thiago Maia a été victime d’une situation administrative et Mendes a sauté sur l’occasion, constate Galtier. Comme j’étais satisfait du duo Xeka-Mendes, j’ai décidé de continuer avec cette paire. »
Formule gagnante
Trouvée presque par hasard alors que le club cherchait une porte de sortie au milieu de terrain, la formule est gagnante. Titularisé 29 fois et seulement absent pour cause de suspension, Thiago Mendes n’a plus jamais pris place sur le banc depuis.
Aux côtés du Portugais Xeka, plus dur sur l’homme – recordman d’avertissements en L1 – mais moins sûr techniquement, il forme une paire lusophone complémentaire. Une courroie de transmission si efficace qu’elle est ciblée par les adversaires, avec plus ou moins de réussite.
« Notre plan de bataille était simple : anéantir la source lilloise, c’est-à-dire le duo Mendes-Xeka. Ce sont eux qui mènent les débats », avait par exemple expliqué le coach rémois David Guion en décembre 2018, lors d’un match sur le terrain du LOSC conclu sur un score de 1-1.
L’apport de Mendes (3 passes décisives dont 2 sur corner, 0 but) ne se ressent pas dans les statistiques. Mais ce n’est pas tout à fait un hasard si Lille a perdu les deux rencontres de championnat qu’il a ratées. Ni si le Paris-Saint-Germain, qui sera l’adversaire du LOSC dimanche 14 avril, s’est penché de près sur son cas cet hiver.
Sur le départ cet hiver
Car, dans sa quête du milieu de terrain idéal lors des dernières heures du mercato, le club de la capitale avait ciblé deux noms : Idrissa Gueye, désormais à Everton après avoir découvert le monde professionnel à Lille, et Thiago Mendes. Deux profils différents, le premier étant beaucoup plus défensif.
Finalement aucun transfert ne se fera, Thomas Tuchel ne validant pas l’arrivée du Brésilien. « Je profite pleinement de la présence de Thiago, même si ça m’aurait fait plaisir qu’il aille au PSG. Paris, cela ne se refuse pas », avait alors réagi Christophe Galtier.
Etre prêt à vendre un joueur clé mais se satisfaire qu’il reste : voilà tout le paradoxe du LOSC, obligé de trouver un moyen d’équilibrer ses comptes en restant compétitif. Et pour qui l’incertitude s’est prolongée en février, mois où les clubs russes et chinois, assez chauds sur le dossier, pouvaient encore recruter.
Réaction du principal intéressé : « Cela n’a pas été tous les jours facile, on peut être dans un endroit et ailleurs le lendemain mais, après avoir discuté avec ma famille, j’ai décidé de laisser au club et à mes agents ces problèmes qui ne concernent pas le terrain ».
Valeur marchande au plus haut
« Il fait une saison pleine mais il a été un peu moins bien ces derniers temps, ajoute Christophe Galtier. Automatiquement, le mercato a engendré de la réflexion, moins de concentration et une fatigue supplémentaire. Cela l’a rendu légèrement moins performant. »
Un match réussi face à Nantes fin mars (3-2) a rappelé ce qu’il pouvait faire. Le suivant, à Reims le 7 avril (1-1), a, lui, servi de contraste : tandis qu’il menait le jeu, Maia, concurrent du début de saison (et plus gros transfert de l’histoire du club) exceptionnellement aligné à ses côtés en raison d’une blessure de Xeka, ratait tout ce qu’il entreprenait.
A 27 ans, Thiago Mendes est au pic de sa carrière. Sa valeur marchande est au plus haut. Acheté 9 millions d’euros, il en vaut aujourd’hui 25, une plus-value qui légitimerait le projet d’achat-revente du club nordiste. A condition de bien le remplacer et de savoir être patient. Car son histoire prouve que même les bonnes affaires ne payent pas toujours immédiatement.
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
Selon les informations de Buzzsport, Sébastien Haller fait partie des cibles du LOSC pour la saison prochaine.
La vente de Nicolas Pepe est quasiment actée. Que ce soit au Bayern Munich, la plus forte probabilité, ou dans une autre écurie européenne, le LOSC construit déjà l’avenir sans lui. Et parmi les cibles des Dogues, il y a un attaquant de Bundesliga qui séduit clairement.
En pensant à l’Euro ?
Attaquant de l’équipe de France Espoir, Sébastien Haller est suivi par de nombreux clubs, en France comme en Europe. Lille songe à le faire venir en Ligue 1, lui qui a quitté l’Hexagone très tôt (20 ans). Buteur vedette de l’Eintract Francfort, il pourrait devenir celui du LOSC et optimiser ses chances de pouvoir disputer le prochain Euro avec les Bleus de Didier Deschamps
La vente de Nicolas Pepe est quasiment actée. Que ce soit au Bayern Munich, la plus forte probabilité, ou dans une autre écurie européenne, le LOSC construit déjà l’avenir sans lui. Et parmi les cibles des Dogues, il y a un attaquant de Bundesliga qui séduit clairement.
En pensant à l’Euro ?
Attaquant de l’équipe de France Espoir, Sébastien Haller est suivi par de nombreux clubs, en France comme en Europe. Lille songe à le faire venir en Ligue 1, lui qui a quitté l’Hexagone très tôt (20 ans). Buteur vedette de l’Eintract Francfort, il pourrait devenir celui du LOSC et optimiser ses chances de pouvoir disputer le prochain Euro avec les Bleus de Didier Deschamps
Namtok a écrit :Source of the post Ce serait un énorme coup.
Difficile par contre de l'imaginer jouer dans le même 11 que Leão.
Leao qui tourne autour de Haller, j'achète.
Ursulet a écrit :Source of the post c'est qui?
Probablement le joueur qui va remplacer Giroud en EDF à moyen-terme. Même profil du joueur qu'il était il y a quelques années : efficace dans les airs et en particulier dans la surface et très mobile pour sa taille.
Pedro_Henrique a écrit :Source of the postNamtok a écrit :Source of the post Ce serait un énorme coup.
Difficile par contre de l'imaginer jouer dans le même 11 que Leão.
Leao qui tourne autour de Haller, j'achète.
Pourquoi pas, mais ça voudrait dire qu'on changerait de système. Je ne vois pas trop Leão installé sur un côté pour toute une saison. ça sortirait Ikoné de son rôle de 10 ou ça pousserait carrément Bamba sur le banc.
Après, ça peut être simplement l'ambition d'avoir deux pointes performantes pour être compétitif sur tous les tableaux la saison prochaine, et intégrer Haller tranquillement derrière un Leão destiné à quitter le club contre un énorme chèque en Juin 2020. A voir aussi la crédibilité de cette piste, mais une arrivée de ce calibre, ça enverrait un signal très fort sur les ambitions des dirigeants.
Après la déroute de bielsa , G Lopez a adapté son projet, régularié lla situation du club avec la dncg, il n'est pas encore au stade des gros achats, pour essayer de jouer un rôle intéressant en LDC.
Pour l'instant avec L Campos et son fichier, dans les achats, il dépassera rarement les 5/6 millions, une fois le club assis dans les plus hautes marches, si les rentrées perdurent, il montera d un cran.
Sinon des saison comme celle ci lui conviennent, on voit bien qu'il kiffe, et ne laisse pas le coté financier le déborder
Pour l'instant avec L Campos et son fichier, dans les achats, il dépassera rarement les 5/6 millions, une fois le club assis dans les plus hautes marches, si les rentrées perdurent, il montera d un cran.
Sinon des saison comme celle ci lui conviennent, on voit bien qu'il kiffe, et ne laisse pas le coté financier le déborder
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.