cela se fera au fur et a mesure que les creances seront versées, une avance de fonds en fait.
Tout cela montre que seydoux faisait son boulot d actionnaire, afin que le club passe à la dncg,
bien sur que lopez aurait pu ne pas reprendre ces dettes , mais si les creances restaient elles dans la poche du club la vente n'aurait pas eu lieu, et donc aussi
qu' à marseille si Gl a refusé de les reprendre dans la vente, cela signifie qu'il n'y avait pas ces contreparties.
Hors terrain, on ne s'ennuie pas cette saison, mais on préférerait plus de calme hors terrain et moins d'ennui sur le terrain. 20 minutes a fait un résumé des événements, je vais faire de même.
Le 4 août, le LOSC est éliminé de la Ligue Europa par Qabala qui perdra ses six rencontres de poule.
Pendant le mercato d'été, le LOSC perd Bouffal, Sidibé, Pavard, Guirassy..; et recrute Eder, Sankharé, De Préville, Sliti, dans des conditions curieuses pour certains.
Le 13 septembre, Antonetti est prolongé.
Le 16 octobre, Gérard Lopez entre en négociations exclusive avec Seydoux pour racheter le club.
Le 22 novembre, Antonetti est licencié, Collot le remplace.
Le 26 janvier, le rachat du LOSC est officialisé.
Le 31 janvier, le LOSC recrute 7 joueurs. Le club s'est séparé de nombreux joueurs (le même nombre?) pendant le mercato d'hiver.
Le 14 février, Passi remplace Collot.
Le 19 février, Bielsa est annoncé entraîneur du LOSC pour la saison prochaine.
Le 4 août, le LOSC est éliminé de la Ligue Europa par Qabala qui perdra ses six rencontres de poule.
Pendant le mercato d'été, le LOSC perd Bouffal, Sidibé, Pavard, Guirassy..; et recrute Eder, Sankharé, De Préville, Sliti, dans des conditions curieuses pour certains.
Le 13 septembre, Antonetti est prolongé.
Le 16 octobre, Gérard Lopez entre en négociations exclusive avec Seydoux pour racheter le club.
Le 22 novembre, Antonetti est licencié, Collot le remplace.
Le 26 janvier, le rachat du LOSC est officialisé.
Le 31 janvier, le LOSC recrute 7 joueurs. Le club s'est séparé de nombreux joueurs (le même nombre?) pendant le mercato d'hiver.
Le 14 février, Passi remplace Collot.
Le 19 février, Bielsa est annoncé entraîneur du LOSC pour la saison prochaine.
Pour moi l'épisode Bielsa est assez malsain pour le groupe.
Même si je sais très bien que les négociations ne se font pas en 3 jours ( surtout avec lui ) je ne vois pas l'intérêt d'avoir communiqué sur Bielsa juste après la nomination de Passi après avoir déjà viré 2 coachs sur la saison.
Ce n'est déjà pas top pour Passi qui débarque comme "ex futur adjoint de Bielsa" et pour une équipe qui se bat pour ne pas descendre.
Le club aurait du communiquer en fin de saison sur tout ça. Je me répète mais je n'ai pas l'impression que les nouveaux dirigeants aient pris ce maintien pas acquis au sérieux en arrivant.
Même si je sais très bien que les négociations ne se font pas en 3 jours ( surtout avec lui ) je ne vois pas l'intérêt d'avoir communiqué sur Bielsa juste après la nomination de Passi après avoir déjà viré 2 coachs sur la saison.
Ce n'est déjà pas top pour Passi qui débarque comme "ex futur adjoint de Bielsa" et pour une équipe qui se bat pour ne pas descendre.
Le club aurait du communiquer en fin de saison sur tout ça. Je me répète mais je n'ai pas l'impression que les nouveaux dirigeants aient pris ce maintien pas acquis au sérieux en arrivant.
Miladin Béca a écrit :Source of the post Même si je sais très bien que les négociations ne se font pas en 3 jours ( surtout avec lui ) je ne vois pas l'intérêt d'avoir communiqué sur Bielsa juste après la nomination de Passi après avoir déjà viré 2 coachs sur la saison.
A mon avis, c'est beaucoup plus facile pour amener les investisseurs étrangers / sponsors et pour faire parler du LOSC à l'international en vue de la saison prochaine.
Modifié en dernier par Boidus le mer. 8 mars 2017 11:30, modifié 1 fois.
Il fallait bien valider son arrivée, et ses deplacements pour voir les u1, 9 la cfa toussa, veut dite que bielsa a la responsabilité du suivi des contrats, validera ceux qui seront prolongés, ceux qui signeront pro, ceux que l'on ne conservera pas, et du coté du maintien ils sont certainement moins pessimistes que nous.
On a affaire à des pros, avec un plan industriel, de l'ambition et tout se met en place tranquillou.
On a affaire à des pros, avec un plan industriel, de l'ambition et tout se met en place tranquillou.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Ligue 1: Oui, oui Lille peut descendre en Ligue 2! Paroles de relégués surprises...
FOOTBALL Lens en 2008 et Monaco en 2011 ne s'attendaient pas à descendre. Et pourtant...
Benzia et Lille doiivent faire attentio / AFP PHOTO / PASCAL PAVANI
Francois Launay
Publié le 08.03.2017 à 15:56
Mis à jour le 08.03.2017 à 16:03
La catastrophe n’est pas encore arrivée mais ne pas y penser serait inconscient. Seizième de Ligue 1 à dix journées de la fin, le LOSC joue clairement le maintien cette saison. Et avec trois points d’avance sur le barragiste, le club nordiste, qui joue un match extrêmement important à Nancy (17e) samedi, n’est pas encore sorti de l’auberge.
Olivier Monterrubio sous le maillto du RC Lens lors de la saison 2007/2008 - JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN / AFP
Olivier Monterrubio descendu avec le RC Lens en 2008
« Franchement, ça fait six ans que j’ai arrêté ma carrière et je me demande encore comment on a pu descendre avec Lens en 2008. Cette saison-là, malgré les mauvais résultats, il y avait une bonne ambiance entre joueurs dans le vestiaire. C’est plus au niveau du staff que ça a déconné. Déjà, l’arrivée de Guy Roux a été le premier gâchis. Ce n’était pas le bon entraîneur pour Lens. Ses méthodes dataient des années 1980 et ça n’a pas pris »
https://www.youtube.com/watch?v=dy7_Dv8VqgU
« EnsuiteJean-Pierre Papin a pris le relais. S’il était resté seul en poste, je pense qu’on ne serait pas descendu. Mais quand Daniel Leclercq est arrivé à ses côtés en janvier, c’est devenu néfaste car les deux hommes ne s’entendaient pas du tout. Et ça s’est ressenti sur tout le groupe. On a mis du temps à prendre conscience qu’on allait descendre. On pensait qu’avec les joueurs talentueux qu’on avait, on allait s’en sortir. Mais la finale de coupe de la Ligue perdue à la dernière minute contre le PSG (2-1) nous a fait très mal avec l’histoire de la banderole anti-Ch’tis. »
https://www.youtube.com/watch?v=DXj6LroNn-E&feature=player_embedded
« Toute cette histoire nous a déconcentrés. Mais on a cru jusqu’au bout que ça allait le faire. Cette descente a été dure à digérer. C’est un immense gâchis. Par contre, je ne vois pas Lille descendre cette saison. Il reste encore pas mal de matchs. Mais pour éviter la catastrophe, ils doivent battre leurs concurrents directs pour le maintien et surtout essayer de garder une bonne osmose dans le vestiaire. »
https://www.youtube.com/watch?v=V8oCPDypWjk
http://img.20mn.fr/LCYyxWXwT7ab-Q2xAhInaA/648x0
Laurent Bonnart sous le maillot de Monaco lors de la saison 2010/2011 - PASCAL PAVANI / AFP
Laurent Bonnart descendu en 2011 avec Monaco
« Quand on vise le top 8 en début de saison, ça fait bizarre d’être en difficulté à un moment donné. Et quand vous n’êtes pas préparés à ça psychologiquement, dès que les difficultés arrivent, ce n’est pas simple de relever le challenge. On voit beaucoup plus noir que si on était préparés à se battre. Quand on n’est pas en confiance, ça devient compliqué et des mauvaises choses peuvent arriver »
« Cette saison-là à Monaco, notre groupe était pléthorique. On a eu un changement d’entraîneur en janvier. C’était aussi une saison particulière car on est descendu avec 44 points alors que normalement on se maintient avec ce nombre de points. Rien n’allait dans le bon sens. On ne pensait même à pas à se sauver car pour nous, c’était logique. On se disait que c’était pour les autres. On s’est toujours dit qu’on allait se relever et puis on se rend compte que les autres équipes se battent aussi. Et au fur et à mesure que les journées avancent, on se rend compte qu’on va jouer le maintien et que ce n’est pas si simple que ça. Quand on descend, il y a beaucoup de tristesse pour nous mais aussi pour les salariés du club »
Le classement de la Ligue 1 à l'issue de la saison 2010/2011
« Pour Lille cette saison, on sent que c’est une période charnière avec un changement de présidence et l’arrivée de nouveaux joueurs qui ont très peu de vécu dans le club. Ça provoque pas mal d’instabilité à tous les niveaux et ce n’est pas évident pour les joueurs. On voit qu’il y a beaucoup d’énervement. Ça veut dire que les joueurs sont à fleur de peau. Le plus important pour s’en sortir, c’est retrouver de la lucidité et faire un peu le dos rond car à dix journées de la fin, ça peut aller vite. Vous pouvez vite tomber et après, c’est dur de se relever. Ce sont des moments où il faut vraiment être solidaire. Il doit y avoir l’union sacrée à tous les niveaux du club y compris chez les supporters »
https://www.youtube.com/watch?v=FwVlNCJC-mo
http://www.20minutes.fr/lille/2026923-2 ... or=RSS-149
FOOTBALL Lens en 2008 et Monaco en 2011 ne s'attendaient pas à descendre. Et pourtant...
Benzia et Lille doiivent faire attentio / AFP PHOTO / PASCAL PAVANI
Francois Launay
Publié le 08.03.2017 à 15:56
Mis à jour le 08.03.2017 à 16:03
La catastrophe n’est pas encore arrivée mais ne pas y penser serait inconscient. Seizième de Ligue 1 à dix journées de la fin, le LOSC joue clairement le maintien cette saison. Et avec trois points d’avance sur le barragiste, le club nordiste, qui joue un match extrêmement important à Nancy (17e) samedi, n’est pas encore sorti de l’auberge.
Si beaucoup pensent que Lille ne peut pas descendre… parce que c’est Lille, ils se mettent le doigt dans l’œil. Lens en 2008, Monaco en 2011 et Auxerre en 2012 n’avaient pas prévu de se retrouver en Ligue 2. Et pourtant, l’inimaginable est arrivé. D’anciens joueurs nous expliquent comment on peut tomber sans s’y attendre et donnent leurs conseils aux Lillois pour éviter le pire.
Olivier Monterrubio sous le maillto du RC Lens lors de la saison 2007/2008 - JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN / AFP
Olivier Monterrubio descendu avec le RC Lens en 2008
« Franchement, ça fait six ans que j’ai arrêté ma carrière et je me demande encore comment on a pu descendre avec Lens en 2008. Cette saison-là, malgré les mauvais résultats, il y avait une bonne ambiance entre joueurs dans le vestiaire. C’est plus au niveau du staff que ça a déconné. Déjà, l’arrivée de Guy Roux a été le premier gâchis. Ce n’était pas le bon entraîneur pour Lens. Ses méthodes dataient des années 1980 et ça n’a pas pris »
https://www.youtube.com/watch?v=dy7_Dv8VqgU
« EnsuiteJean-Pierre Papin a pris le relais. S’il était resté seul en poste, je pense qu’on ne serait pas descendu. Mais quand Daniel Leclercq est arrivé à ses côtés en janvier, c’est devenu néfaste car les deux hommes ne s’entendaient pas du tout. Et ça s’est ressenti sur tout le groupe. On a mis du temps à prendre conscience qu’on allait descendre. On pensait qu’avec les joueurs talentueux qu’on avait, on allait s’en sortir. Mais la finale de coupe de la Ligue perdue à la dernière minute contre le PSG (2-1) nous a fait très mal avec l’histoire de la banderole anti-Ch’tis. »
https://www.youtube.com/watch?v=DXj6LroNn-E&feature=player_embedded
« Toute cette histoire nous a déconcentrés. Mais on a cru jusqu’au bout que ça allait le faire. Cette descente a été dure à digérer. C’est un immense gâchis. Par contre, je ne vois pas Lille descendre cette saison. Il reste encore pas mal de matchs. Mais pour éviter la catastrophe, ils doivent battre leurs concurrents directs pour le maintien et surtout essayer de garder une bonne osmose dans le vestiaire. »
https://www.youtube.com/watch?v=V8oCPDypWjk
http://img.20mn.fr/LCYyxWXwT7ab-Q2xAhInaA/648x0
Laurent Bonnart sous le maillot de Monaco lors de la saison 2010/2011 - PASCAL PAVANI / AFP
Laurent Bonnart descendu en 2011 avec Monaco
« Quand on vise le top 8 en début de saison, ça fait bizarre d’être en difficulté à un moment donné. Et quand vous n’êtes pas préparés à ça psychologiquement, dès que les difficultés arrivent, ce n’est pas simple de relever le challenge. On voit beaucoup plus noir que si on était préparés à se battre. Quand on n’est pas en confiance, ça devient compliqué et des mauvaises choses peuvent arriver »
« Cette saison-là à Monaco, notre groupe était pléthorique. On a eu un changement d’entraîneur en janvier. C’était aussi une saison particulière car on est descendu avec 44 points alors que normalement on se maintient avec ce nombre de points. Rien n’allait dans le bon sens. On ne pensait même à pas à se sauver car pour nous, c’était logique. On se disait que c’était pour les autres. On s’est toujours dit qu’on allait se relever et puis on se rend compte que les autres équipes se battent aussi. Et au fur et à mesure que les journées avancent, on se rend compte qu’on va jouer le maintien et que ce n’est pas si simple que ça. Quand on descend, il y a beaucoup de tristesse pour nous mais aussi pour les salariés du club »
Le classement de la Ligue 1 à l'issue de la saison 2010/2011
« Pour Lille cette saison, on sent que c’est une période charnière avec un changement de présidence et l’arrivée de nouveaux joueurs qui ont très peu de vécu dans le club. Ça provoque pas mal d’instabilité à tous les niveaux et ce n’est pas évident pour les joueurs. On voit qu’il y a beaucoup d’énervement. Ça veut dire que les joueurs sont à fleur de peau. Le plus important pour s’en sortir, c’est retrouver de la lucidité et faire un peu le dos rond car à dix journées de la fin, ça peut aller vite. Vous pouvez vite tomber et après, c’est dur de se relever. Ce sont des moments où il faut vraiment être solidaire. Il doit y avoir l’union sacrée à tous les niveaux du club y compris chez les supporters »
https://www.youtube.com/watch?v=FwVlNCJC-mo
http://www.20minutes.fr/lille/2026923-2 ... or=RSS-149
chbombe a écrit :Source of the post Merchandising : 0,4 M E ! seulement 400 000 euros ... ca fait peur ...
Je ne pense pas que cela corresponde au CA du merchandising, mais aux royalties payées au LOSC par la société qui gère les boutiques et le merchandising. Sinon c'est plus que maigre
En même temps, ce n'est un secret pour personne que le supporter losciste n'aime pas être déguisé en sapin de Noël, comme certains.
Qui mange du feu chie des étincelles.
(proverbe flamand)
(proverbe flamand)
cubi' a écrit :Source of the post On n'a jamais été aussi bons que lorsqu'on avait de la stabilité au poste d'entraîneur (Puel puis Garcia).
Bon faut avouer aussi que les joueurs d'alors étaient au niveau...
Tu crois que Chalmé , Tafforeau , Dernis , Moussilou c'était très fort ou tout au moins plus fort que ceux qu'on a aujourd'hui ? Moi , je pense que non , mais par contre Puel savait trouver les mots pour qu'ils se transcendent ! Et je cite ces 4 parce que malgré toute la sympathie que l'on peut avoir pour eux , ce n'était que des joueurs moyens de L1 , mais que néanmoins , ils étaient titulaires dans l'équipe qui avait battu le grand Manchester au SDF .
L'homme d'affaires hispano-luxembourgeois Gérard Lopez, propriétaire de Lille depuis janvier, a abandonné la présidence du Fola Esch, le plus vieux club du Luxembourg, avec lequel il a remporté deux titres de champion national.
Celui qui a succédé à Michel Seydoux au Losc laisse sa place à Esch à son ami et bras droit Mauro Mariani, après 10 ans de présidence, a annoncé le club luxembourgeois. Gérard Lopez, 45 ans, a grandi à Esch-sur-Alzette, ville ouvrière du sud du Luxembourg proche de la frontière avec la France. Mais il ne pouvait plus diriger de concert le club nordiste et celui de sa ville de coeur, dont il restera toutefois le président d'honneur.
Plus ancien club luxembourgeois, fondé en 1906, le Fola Esch a remporté sept fois le titre de champion du Luxembourg, dont deux fois sous la présidence de Lopez, après 83 ans de disette. Il occupe actuellement la troisième place du championnat.
M. Lopez, fan de sport, également passé auparavant à la tête de Lotus, écurie de Formule 1, est officiellement devenu le propriétaire du Losc le 26 janvier après avoir déboursé quelque 80 millions d'euros (reprise de dettes incluses).
Avec AFP
Celui qui a succédé à Michel Seydoux au Losc laisse sa place à Esch à son ami et bras droit Mauro Mariani, après 10 ans de présidence, a annoncé le club luxembourgeois. Gérard Lopez, 45 ans, a grandi à Esch-sur-Alzette, ville ouvrière du sud du Luxembourg proche de la frontière avec la France. Mais il ne pouvait plus diriger de concert le club nordiste et celui de sa ville de coeur, dont il restera toutefois le président d'honneur.
Plus ancien club luxembourgeois, fondé en 1906, le Fola Esch a remporté sept fois le titre de champion du Luxembourg, dont deux fois sous la présidence de Lopez, après 83 ans de disette. Il occupe actuellement la troisième place du championnat.
M. Lopez, fan de sport, également passé auparavant à la tête de Lotus, écurie de Formule 1, est officiellement devenu le propriétaire du Losc le 26 janvier après avoir déboursé quelque 80 millions d'euros (reprise de dettes incluses).
Avec AFP
IKEA est le meilleur prénom pour une femme :
suédoise, bon marché, à emmener aussitôt chez soi et facile à monter
suédoise, bon marché, à emmener aussitôt chez soi et facile à monter
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