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Hors ligneMessageAlias Fr » dim. 18 oct. 2020 06:48

Namtok a écrit :Source of the post Ma petite contribution :)

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Enfoire, avec la gueule de bois de ce dimanche matin, j'ai mal a force de rire.
On est toujours libre quand on a un idéal.

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Hors ligneMessagezarko » dim. 18 oct. 2020 09:15

Smith a écrit :On le reconnaît clairement. C'est Gérard Lopez.
On s'en fout du marketing.
Carrément excellent ! :-)

Je pense aussi qu'il nous lit (impossible autrement vu ses appétences techno et rezo socio).
Alors Gégé, pour tout ce teasing d'avant Match et pour tes mots touchant sur ce que le LOSC peut représenter, surtout en cette période grand merci !

"c'est une question d'honneur"
On voit deux fois Cabaye.
Très marketing effectivement

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Hors ligneMessageSmith » dim. 18 oct. 2020 09:27

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Hors ligneMessageSmith » dim. 18 oct. 2020 09:33

Au fait, quelqu’un aurait-il moyen de mettre l’interview de Lopez parue seulement sur le site de L’Ekip.
C’est réservé aux abonnés.
https://www.lequipe.fr/Football/Article ... rs/1184578

DonnieD ? ;-)

Ou Yusuf "Nekfra" Yazici peut être ? on m’a dit qu’il était abonné :-)

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Hors ligneMessagezinecote » dim. 18 oct. 2020 09:43

lucdelil a écrit :Source of the post Mais loul
20201017_215856.jpg

celle là il faut l'encadrer
"les lensois avaient une plume dans le cul et ils croyaient qu'ils pouvaient voler" Zarko

Bab
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Hors ligneMessageBab » dim. 18 oct. 2020 10:01

Matin du match et déjà 24 pages de forum.
Faut les éclater !!!

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Hors ligneMessageDonnieD » dim. 18 oct. 2020 10:41

Gérard Lopez (Lille) et Joseph Oughourlian (Lens) : « On est les héritiers »
Gérard Lopez et Joseph Oughourlian, présidents du LOSC et de Lens, ont confronté leur vision en amont de l'un des plus séduisants derbys du Nord depuis l'après-guerre.
Joël Domenighetti

En version 2.0, pour L'Équipe, nous avons convié Gérard Lopez et Joseph Oughourlian, les propriétaires respectifs du LOSC et du RC Lens, par visioconférence ce jeudi après-midi. Impossible de les réunir à Londres, là où se trouvait le boss artésien, comme initialement prévu. Voire à New York, où l'homme d'affaires hispano-luxembourgeois a ouvert la fenêtre de discussion à 16 heures précises.

Pendant une heure quinze, les deux dirigeants, qui se fréquentent parfois au coeur de la City en qualité de « travailleurs transfrontaliers », ont échangé sur un ton complice et intéressé autour de trois thèmes : leur gouvernance, la saison en cours et le contexte sanitaire et économique. Une approche responsable et apaisée des deux « héritiers de Michel Seydoux et Gervais Martel », dixit Gérard Lopez, à l'approche du derby du Nord auquel ils ne pourront pas assister dimanche soir (21 heures).

La gouvernance

« Je n'ai jamais rêvé être président »

Joseph Oughourlian

« Avez-vous toujours voulu être président de club ?
Gérard Lopez : Non. J'ai toujours voulu être sportif de haut niveau. J'ai failli réussir avec le basket mais cela s'est arrêté au niveau universitaire aux États-Unis. J'aurais bien laissé mon poste à quelqu'un d'autre. Mais je voulais vivre un club de l'intérieur, sportivement et émotionnellement. Les clubs de foot sont devenus des entreprises avec de tels enjeux que l'on ne peut pas déléguer la totalité de nos prérogatives. Ce n'est pas le titre qui m'intéresse mais la responsabilité et le fait d'être un fan. Parce que quand ça se passe bien, c'est le club. Si ça se passe mal, c'est à cause de nous.
Joseph Oughourlian : Non. Je n'y ai jamais pensé. Je suis rentré à Lens par la petite porte, en qualité d'actionnaire minoritaire. Puis je suis devenu majoritaire. Enfin, Gervais (Martel) m'a demandé de reprendre la main. Je ne suis pas attaché à la présidence en soi. J'adore Lens et je vis des émotions décuplées que je n'aurais jamais imaginées.

Combien de temps consacrez-vous à vos clubs et combien d'argent avez-vous investi à titre personnel ?
G.L. : Anormalement plus de temps par période de crise. J'ai tous les jours une série d'appels par rapport au LOSC. Sur le plan financier, j'ai acheté une partie du club et repris une partie de la dette pour grosso modo 60 M€.
J.O. : Ça dépend des moments. Pendant le mercato, ça peut prendre plusieurs jours de suite. Au milieu du Championnat, entre 10 et 20 % de mon temps. J'ai mis 50 M€ d'investissement.

Êtes-vous sensible à votre image très médiatisée ?
G.L. : J'y suis sensible pour le club. Mais pas pour mon image. Je connais plutôt bien les médias. On est dans la culture de l'instant avec parfois des raccourcis et du buzz. On ne peut pas répondre à tout. Mais l'image reste attachée aux résultats.
J.O. : Je suis arrivé après trente ans de présidence de Gervais Martel, un dirigeant charismatique qui incarnait son club et qui était de la région. Je ne vis pas à Lens, je ne suis pas lensois. Je me retrouve vraiment dans les valeurs du club. Mais je ne vais pas faire semblant d'être ce que je ne suis pas. J'essaie d'apporter mes compétences. J'ai constitué une équipe et c'est plutôt eux que je veux mettre en valeur médiatiquement.

« La culture du club est de donner la chance aux méritants et aux travailleurs »
Joseph Oughourlian

Comment et sur qui déléguez-vous ?
J.O. : Je m'appuie sur mon Directeur Général (Arnaud Pouille). On a une très grande complicité. C'est un super mec. Il est ce que je ne suis pas. Il connaît très bien le sport. Il est local. En revanche, on partage les valeurs d'humilité et la recherche de l'excellence. Florent Ghisolfi (coordinateur sportif) est un jeune qui n'avait pas non plus dirigé un club. La culture du club est de donner la chance aux méritants et aux travailleurs. Pas à des super stars. Je suis content de voir que ça marche bien.
G.L. : Dans mon cas, la clé de voûte est le sportif. Dans ce domaine, je m'appuie sur Luis Campos (son conseiller sportif) et le staff technique de Christophe Galtier. Tout est fait pour que cette partie fonctionne. Vu nos résultats, je n'ai pas de raison de me plaindre de leur travail. Je ne participe pas aux instances du foot français. Pendant le confinement, on m'a demandé d'aider et j'y ai été très actif. Mais je n'ai pas la capacité d'être présent toute l'année. C'est Marc Ingla (directeur général, qui devrait prendre du recul, il n'est d'ailleurs plus au Conseil d'administration de la LFP) qui nous représente.

Marc Ingla et Luis Campos ne vont pas quitter le LOSC ?
G.L. : (Rires). On sait qu'il y a quelques différences d'appréciation de certaines choses. On verra ce que le futur nous réserve. Ce qui est sûr, c'est que le club continuera d'avoir une cellule sportive qui marche bien et une représentation au niveau de la Ligue. Cela ne veut pas dire que les deux doivent travailler ensemble.

« Boavista est complètement indépendant »
Gérard Lopez

Vous êtes propriétaires de trois clubs chacun, quelle est votre logique ?
G.L. : Contrairement à Joseph, cela fait moins longtemps pour moi. J'en avais envie depuis un moment. Un tel projet ne marche qu'avec des gens de qualité. La culture d'un club est assez spécifique. Pour Mouscron (BEL), la proximité géographique nous permet de faire un peu plus. On s'attendait à des débuts compliqués avec de jeunes joueurs. On va ajuster de l'intérieur. Boavista (POR) est complètement indépendant. C'est un club important qui se doit d'avoir des résultats. Il y a des synergies par les échanges entre directeurs sportifs. Mais les gestions sont séparées.
J.O. : Je suis entré dans le foot par la Colombie (Millonarios) en 2012. Comme minoritaire. Et je suis devenu majoritaire à la suite d'un scandale financier. Ça m'a appris le football du point de vue de la gestion. J'ai un partenaire colombien et j'y mets assez rarement les pieds. Je ne suis pas non plus dans les instances à Padoue (ITA). Ce sont des investissements relativement passifs. Mon implication à Lens n'a rien à voir. Je viens à domicile. Je suis souvent à la Gaillette (le centre d'entraînement). C'est le jour et la nuit. Parfois on se croise avec Gérard à Londres.
G.L. : Ce n'est pas parce que l'on s'apprécie qu'il n'y a pas une rivalité sportive entre nous.
J.O. : Comme Gervais Martel et Michel Seydoux (les anciens présidents) qui s'entendaient très bien.
G.L. : On est leurs héritiers.

La saison en cours et le derby

« Même nous, on aurait envie de chambrer »

Gérard Lopez

Comment appréciez-vous alors les tensions qui escortent les supporters avant le derby ?
G.L. : Ça me fait sourire. Cela ne veut pas dire que je cautionne les banderoles. Les passions sont exacerbées. Il ne faut surtout pas que les choses dérapent. Même nous, on aurait envie de chambrer. Sportivement, c'est dommage de ne pas avoir les fans. Après autant d'années, un tel derby entre deux clubs qui ne s'aiment pas et qui jouent le haut du tableau est exceptionnel. C'était une chance inouïe en termes d'ambiance. Le perdant d'un derby perd plus qu'un match. Mais sans les supporters, c'est difficile de l'inculquer. Après, on est bien, avec une bonne assise défensive. Et devant ça va mieux. Lens a fait un saut qualitatif important entre la L2 et la L1. J'ai vu un bon foot hyper organisé.
J.O. : Sportivement, il y a un enjeu. Notre début de saison est très au-delà de nos attentes. On a des absents, notamment Medina, Ganago et Sylla. Mais on a une équipe soudée et un bon esprit. Un derby, ça se gagne. On peut tout attendre. Le groupe va y aller en connaissance de cause. Sur les banderoles, comme dit Gérard, ça fait partie du folklore. Tant que ça ne dégénère pas.

Que pensez-vous de votre effectif et de votre mercato estival ?
G.L. : C'est peut-être l'effectif le plus complet depuis que je suis là (2017). Quand je regarde notre banc, les joueurs seraient quasiment titulaires partout en L1. Je suis très satisfait. Même s'il faudra gérer les attentes des uns et des autres. Quant au recrutement, les achats et les ventes ont été exceptionnels compte tenu du covid-19. On a eu les prix que l'on voulait pour des joueurs de qualité. On aurait pu perdre deux ou trois joueurs lors des dix derniers jours du mercato. A priori, celui hivernal sera hyper actif. Comme on a trop de joueurs, il y aura éventuellement un ou deux départs cet hiver.
J.O. : Pour nous, ce mercato devait nous permettre de nous maintenir en L1. Un très bon travail d'acheteur, entamé en janvier, a été fait. On est très contents de l'effectif. On fait très attention à la personnalité des recrues. Pour ne prendre que deux exemples, Kakuta avait vraiment envie de revenir dans son club formateur. Medina, qui ne parlait pas français, est presque devenu un leader de groupe.

Comment appréciez-vous le travail et la façon dont votre entraîneur fait jouer votre équipe ?
G.L. : Ça fait un moment que Christophe (Galtier) est là. Il connaît l'essence même du projet et la rigueur du système pour intégrer les jeunes rapidement. Comme le fait que tous les ans, trois ou quatre éléments peuvent partir mais que des choix équivalents lui seront proposés pour les remplacer. Et qu'il aura un joueur d'expérience par ligne.
J.O. : On a promu Franck Haise avec l'idée de monter en L1 et de faire jouer les jeunes, l'ADN du club. Ce qu'il fait. Il a un super esprit d'équipe. On n'est pas un club d'ego. Il collabore avec tout le monde. On se sent bien avec lui. Il nous surprend avec un gros panel de choix tactiques, par exemple en cours de match.

Le contexte

« J'ai du mal à comprendre certaines règles comme la jauge à 5 000 »

Joseph Oughourlian

La coexistence du coronavirus et des incertitudes liées à Mediapro mettent-elles en péril le foot français ?
G.L. : Concernant Mediapro, il y a des discussions à la LFP que l'on soutiendra. On vit une situation très particulière. Le coronavirus impacte tout ce qui tourne autour du club. La variable de l'incertitude est devenue très importante. Le foot a une importance par rapport à cet environnement anxiogène. On a une responsabilité de dirigeant en continuant à proposer des choses auxquelles les gens peuvent s'identifier et pour les faire vibrer. Et peut-être oublier le temps du match ce qu'ils vivent.
J.O. : La pandémie nous affecte d'autant plus que cela faisait des années que nous étions en L2 et que nos supporters attendaient de célébrer le match face au PSG puis le derby avec ferveur. C'est un immense regret. S'il y a un club représenté en France par ses supporters, c'est Lens. Les avoir avec nous, c'était prolonger ce ciment social dans une des régions les plus pauvres de France. J'ai du mal à comprendre certaines règles comme la jauge à 5 000 qui s'applique à toutes les salles. Ce serait plus intelligent d'utiliser un pourcentage du stade. Sur le plan économique, c'est un manque à gagner énorme. C'est la vie et il faut faire avec. Mais on a l'avantage d'une baisse de coûts en venant de L2. On est un club sans dette, ce dont j'ai une sainte horreur.

Gérard Lopez estime que l'endettement permet de créer de la richesse...
G.L. : Si on pouvait se permettre de ne pas en avoir, on n'en aurait pas. Lens vient de L2. Lille a fait le doublé en 2011. Nos coûts d'opération sont nettement plus élevés. Notre budget dépasse largement les 120 M€. À moins de commencer à couper dans les dépenses, il faut développer des joueurs et en vendre entre deux à quatre par an. La dette du LOSC, et Joseph le sait aussi bien que moi, n'est pas opérationnelle. Elle doit être mise en face du deuxième effectif le plus riche de France.
J.O. : Gérard a bien résumé nos deux modèles économiques, nos deux cultures différentes. On a 60 M€ de revenus dans notre budget DNCG, la moitié du LOSC.

« Mediapro, c'est très préoccupant »
Joseph Oughourlian

Vous n'êtes pas très offensifs concernant l'affaire Mediapro...
J.O. : C'est évident qu'il y a urgence. Les droits télés, c'est le coeur du réacteur nucléaire du foot français. C'est très préoccupant ! Maintenant, c'est le boulot des instances dirigeantes. J'ai confiance en elles.
G.L. : On fait suffisamment d'affaires tous les jours pour savoir qu'il y a un contrat en place et qu'il faut essayer de le faire respecter.

Quelles sont vos perspectives de développement ?
G.L. : On a l'envie d'être européens tous les ans. Ma grande fierté est d'avoir fait la couverture de Marca. On commence à être reconnus en Europe dans le développement des jeunes. On a une culture de jeu comme une équipe de basket qui porte vite le danger chez l'adversaire. On aurait voulu lancer des réflexions plus poussées sur le stade, mais il est vide actuellement. On a beaucoup investi sur Luchin (le centre d'entraînement), entre 5 à 6 M€ de plus sur les six derniers mois, un remboursement de quasiment 20 M€ sur la dette. L'outil est remboursé mais on continue d'y investir et de travailler sur la post-formation. Il faut deux générations pour sortir des joueurs en L1, soit cinq à sept ans. On a ouvert une académie en Chine mais on va réfléchir sur ce qui se passe dans le monde avant d'aller plus loin. Concernant la communication, on travaille sur une plus grande ouverture mais la façon dont on a été accueillis à notre arrivée a un peu échaudé tout le monde. Une méfiance s'est installée.
J.O. : On a cette maxime ''fier d'être lensois''. On l'a retrouvé en passant en L1. On veut conserver cet acquis. Il faut mettre le club à niveau et s'y stabiliser. On a du travail sur le sponsoring, le merchandising, la communication sur les réseaux sociaux. Ça va nous prendre deux-trois ans pour avoir une vitesse de croisière. Sur le plan sportif, on va essayer de développer nos jeunes talents locaux et les promouvoir. C'est un chantier très long. Gervais l'avait commencé en construisant la Gaillette il y a vingt ans.

Lille attache-t-il autant d'importance à sa section féminine que Lens ?
G.L. : On a un budget d'1,4 M€, ce qui reste conséquent. On était en D1. On lui donne de l'importance avec l'idée de remonter au plus vite.
J.O. : C'est très important pour nous. Le futur du football passe par le foot féminin. On y croit. Cela me rappelle le foot de mon enfance, avec des filles qui bossent, qui vont s'entraîner tous les soirs et qui ne roulent pas en Ferrari. J'aime beaucoup. On a décidé de fusionner avec la section féminine d'Arras, qui nous permet de nous rattacher à une partie du Pas-de-Calais qui n'est pas stricto sensu celle du bassin minier.

« Ce qui m'emmerde, c'est que tu risques d'avoir tout ton public au retour »
Gérard Lopez

Allez-vous rester longtemps président actionnaire ?
J.O. : J'aimerais rester impliqué dans l'histoire du RC Lens le plus longtemps possible. J'ai découvert une région, une population, des supporteurs, des collaborateurs qui me plaisent bien. Je me retrouve dans cette culture.
G.L. : Pareil pour moi. Je suis addict. Les week-ends de sélection me posent problème. C'est comme si quelque chose me manquait. Je n'ai pas le stress d'avant-match. Je suis amoureux de mon club et j'espère y vibrer le plus longtemps possible.

Qu'est-ce que vous enviez à l'autre ?
J.O. : Envier n'est pas le mot. J'ai beaucoup d'admiration pour ce que Gérard a fait sportivement. Il a mis le LOSC à un niveau très élevé. On est très loin de ce niveau-là. Notre objectif reste le maintien.
G.L. : J'apprécie et je valorise à sa juste valeur le fait que Lens n'est pas un club de L2. Pas mal de gens ont essayé de le faire remonter. Joseph l'a fait de manière structurelle. Quand on regarde le contenu des matches, il n'y a pas de quoi être surpris. Ce n'était pas facile de prendre le temps dans un club historique avec la pression des attentes. Ça dénote avec ce qui a été fait auparavant.
J.O. : Tu viendras à Lens au match retour, j'espère ?
G.L. : Ce qui m'emmerde, c'est que tu risques d'avoir tout ton public (rires). Mais la réponse est oui, je serai là.
J.O. : On ira manger une frite ensemble.
G.L. : Quelle est la vraie ambition de Lens cette saison ?
J.O. : On aimerait terminer en milieu de tableau. Et surtout battre Lille. Peut-être pas ce coup-là, mais à Bollaert, dans un stade en ébullition. Ça ferait mon année, peu importe le classement.
G.L. : L'inverse serait pas mal non plus, avec un but un peu chelou à la 95e minute avec poteau rentrant. Je prendrais aussi. »

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Hors ligneMessageBAC ou NIN » dim. 18 oct. 2020 10:51

merci à tous pour les articles !!
"All the good music has already been written by people with wigs and stuff."
Frank Zappa

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Hors ligneMessageSmith » dim. 18 oct. 2020 10:56

Grand merci DonnieD :-)

Je savais bien qu’on pouvait compter sur toi, pas comme sur celui qui partage jamais une ligne de son abo à l’Ekip. Pas besoin de le nommer, on sait tous kissai Nekfra

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Hors ligneMessageSmith » dim. 18 oct. 2020 11:15

TREMBLEZ LENSOIS !!!

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Hors ligneMessagehazardinho » dim. 18 oct. 2020 11:17

il va faire cette tête la depuis le banc de touche ??

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Hors ligneMessageSmith » dim. 18 oct. 2020 11:19

hazardinho a écrit :Source of the post il va faire cette tête la depuis le banc de touche ??

Le regard ténébreux, le noir, le blanc, le gris, le décor minéral, les lettres gothiques....Brrr...
Il fait bien peur hein !

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Hors ligneMessageNekfra » dim. 18 oct. 2020 11:29

Smith a écrit :Source of the post Grand merci DonnieD :-)

Je savais bien qu’on pouvait compter sur toi, pas comme sur celui qui partage jamais une ligne de son abo à l’Ekip. Pas besoin de le nommer, on sait tous kissai Nekfra

J'ai pas d'abonnement L'EQUIPE. Et SFR Presse n'est plus inclus dans mon forfait internet depuis qqs semaines. Drahi démission !

Merci DonnieD au passage ^^
"Yusuf est de retour. Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la Création."

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Hors ligneMessageSmith » dim. 18 oct. 2020 11:31


https://twitter.com/losclive/status/1317738184814583809

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Hors ligneMessagedodger » dim. 18 oct. 2020 12:12

nicobrb a écrit :Source of the post Énorme!

comme ils sont deux, t'aurais pu mettre énorme au pluriel !
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo

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Hors ligneMessageŞükür » dim. 18 oct. 2020 12:21

Au vu des semaines qui nous attendent, je pense que C. Galtier va faire souffler Yilmaz qui a joué 2 fois en sélection et le remplacer.
C'est un peu ce qu'il a dit cette semaine : Laisser Araujo à droite et essayer Ikoné devant pour ce match ?
Et un grand merci pour la presse !

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Hors ligneMessagezarko » dim. 18 oct. 2020 12:24

Merci pour les articles

Toujours égal à lui même le JD. Les titres des paragraphes sont JDésiens
"La culture du club est de donner la chance aux méritants et aux travailleurs" pour le président lensois
"Boavista est complètement indépendant" pour Lopez

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Hors ligneMessageGooze » dim. 18 oct. 2020 13:12

Je crois qu'est venu le moment de ressortir quelques unes de mes photos préférées !
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Lillois tu étais, Lillois tu es, Lillois tu seras

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Hors ligneMessageGooze » dim. 18 oct. 2020 13:15

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Hors ligneMessageGooze » dim. 18 oct. 2020 13:18

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