MrK a écrit :Source of the postbredt a écrit :Source of the post Une place de 3ème est sans doute plus intéressante financièrement mais ce n'est pas encore une qualif directe comme Lyon l'année passée
Fixed.
Une victoire finale en Ligue Europa de l'Inter, de Séville, de Getafe, de Donetsk, voire de Leverkusen, de l'AS Rome, de Manchester, de Basaksehir, voire encore plus loin de Wolverhampton la rendrait.
C'est quand même très loin d'être de la science fiction.
Godzici a écrit :Source of the postbast a écrit :Source of the postParanormal a écrit :Tu m'étonne que Rennes est contre lool ils ont eu une chatte pas possible 10 journées apres il finissent 4 ème et nous devant à coup sur.
C'est fou d'avoir de telles certitudes. Ils ont battu le PSG, Lyon, restaient sur 3 victoires dont un tres lourd 5 a 0 contre Montpellier
31 janvier après Rennes-Nantes :
Rennes 40
Lille 31
8 mars au moment de l'arrêt
Rennes 50
Lille 49
Si on était pas confiant là...
Et oui Rennes a battu Lyon et Paris en phase aller et alors ? Y'a une phase retour.
Vous vous rendez compte que malgré ça, ils n'ont qu'1 pt d'avance et qu'ils auraient dû jouer un match au Parc (pendant qu'on recevait Amiens) et que si y'avait toujours 1 pt d'écart à ce moment là, ils auraient sans doute été obligés de GAGNER AU PARC ? Qui prend 6 pts à Paris sur une saison ?Hervé a écrit :bast a écrit :Source of the post
C'est fou d'avoir de telles certitudes. Ils ont battu le PSG, Lyon, restaient sur 3 victoires dont un tres lourd 5 a 0 contre Montpellier
Exacte. On ne peut pas affirmer que l’on aurai fini 3ème ou même 4ème. Tout était encore possible. On a notre place européenne directe, pour moi ça me va.
Le recrutement ne sera pas le même sûrement. Et peut-être des départs non prévus. Mais tant pis.
On ne peut pas connaître l’impact des 2 mois d’arrêt sur un effectif. Et prendre le risque d’éventuellement tout perdre. Trop risqué pour moi. On l’a on la garde cette place.
8 pts d'avance sur le 5ème qui n'est que Reims, 9 pts d'avance sur Lyon et Monaco, y'avait de la marge.
Pour moi y'avait 50% de chances d'améliorer le classement, 40% de garder le même et 10% de perdre des places.
Et si on regarde les résultats de Bundesliga depuis la reprise, y'a de rien farfelu.
Bayern et Dortmund ont le même rendement.
En France on a toujours peur de tout, peur de rejouer, peur de pas faire assez de préparation, peur d'enchainer les matchs, peur de jouer tous les 3 jours...
Epuisant.
Epuisant aussi les cliches sur la France, du type "on a toujours peur de tout", "c'est bien francais", etc....
Pour revenir au duel Lille/Rennes, je remettai juste en cause les certitudes affichees par Paranormal. Et ton exemple du PSG, je le trouve assez peu pertinent. J'ai pour le coup une certitude assez forte que le PSG aurait ete champion a la 37e. Rennes s'est impose a plusieurs reprises en fin de saison au parc face a un PSG deja champion, et Lille avait des resultats assez immondes face aux equipes de bas de tableau (defaites a Amiens, Toulouse, Dijon, nuls a domicile face a Metz ou Nimes).
Smith a écrit :Source of the post Bernard Caïazzo : « C'est une aberration totale de dire que c'est nous qui ne voulions pas reprendre »
La décision d'arrêter le Championnat de France 2019-2020 n'en finit pas de faire couler de l'encre et de la salive. Lors d'une conférence de presse de Première Ligue, le syndicat des grands clubs français, Bernard Caïazzo a affirmé que c'est le gouvernement qui avait fait le choix de stopper la Ligue 1, pas le football français.
« Avant le 28 avril, on commençait à regarder comment reprendre, on était tous sur le pont, a expliqué le président du conseil de surveillance de Saint-Etienne. Waldemar (Kita, président de Nantes) avait proposé plusieurs idées, moi-même j'avais demandé des informations à Patrick Guillou pour savoir comment ça se passait en Allemagne. Tout le monde se préparait à reprendre et le 28 avril. Quelle ne fut pas notre surprise d'entendre le Premier ministre dire que "la saison 2019-2020 ne pourra [ait] pas reprendre". Est-ce qu'il y a eu concertation avec les autres pays ? Non. Est-ce qu'il y a eu concertation avec les grands clubs de football ? Non. Moi je peux dire au nom de Première Ligue qu'il n'y a eu aucune concertation avec nous. »
« Il y a mille preuves pour le démontrer »
Sur sa lancée, le dirigeant stéphanois a précisé sa pensée de façon incisive. « Je veux juste rétablir les faits, c'est une aberration totale de dire que c'est nous qui ne voulions pas reprendre. Personne ne se saborde, personne ne se suicide, personne dans le football n'avait envie de tuer notre économie et d'avoir 600 ou 700 millions de manques à gagner pour soi-disant protéger un classement. C'est une erreur. Ceux qui veulent vous faire comprendre une autre réalité en disant que c'est la Ligue qui a pris la décision d'arrêter, c'est entièrement faux, et il y a mille preuves pour le démontrer. »
https://www.lequipe.fr/Football/Actuali ... re/1139400
Je complète avec celui de Lopez :
« Depuis que je suis dans le foot français on dit qu’on essaie de rattraper notre retard, commercial et sportif, sur les autres, et là on donne le bâton pour se faire battre à un moment stratégique. On est à la réception d’une décision gouvernementale qui va aujourd’hui nous ralentir encore plus par rapport aux autres championnats. On va envoyer deux clubs en Europe pas préparés par rapport à tous les autres. Le foot français dans sa totalité se retrouve lésé. »
[i][b]Cette résultante me fait mal, et elle me fait mal au-delà de mon club. Si jamais on voulait savoir pourquoi on est en retard par rapport aux autres championnats, voilà une raison de plus. »
[/b][/i]
«ON A ÉTÉ MIS DEVANT LE FAIT ACCOMPLI» : DES PRÉSIDENTS DE L1 REMONTÉS CONTRE LE GOUVERNEMENT
Au cours d'une conférence de presse ce lundi, trois présidents de Ligue 1 ont tenu un discours offensif quant à la décision du gouvernement d'arrêter la saison de championnat en raison de la crise du Covid-19.
Les langues se délient. Si la saison de Ligue 1 est définitivement entérinée – en dépit du baroud d’honneur quotidien de Jean-Michel Aulas - les rancoeurs restent vives et tenaces. Au cours d’une conférence de presse ce lundi de Première Ligue, le syndicat des grands clubs français, Bernard Caiazzo (Saint-Etienne), Gérard Lopez (Lille) et Waldemar Kita (Nantes) ont tenu à délivrer leur vérité. Et notamment une : le gouvernement français, par l’intermédiaire du président de la République Emmanuel Macron et de son Premier ministre, Edouard Philippe, est responsable de la décision d’arrêter l’exercice 2019-2020 en France en raison du Covid-19. Personne d'autre. Un choix fort non digéré aujourd’hui par les trois présidents, encore plus avec la reprise du foot déjà acté en Allemagne et en passe de l’être en Angleterre, Espagne et Italie.
Peut-être qu’on ne met pas le football au même niveau que dans les autres pays
Gérard Lopez, président du LOSC
«Avant le 28 avril (date de l’allocution d’Edouard Philippe à l’Assemblée nationale), on commençait à regarder comment reprendre, on était tous sur le pont, plante le président du conseil de surveillance de l’ASSE. Tout le monde se préparait à reprendre et le 28 avril. Quelle ne fut pas notre surprise d'entendre le Premier ministre dire que "la saison 2019-2020 ne pourra [ait] pas reprendre". Est-ce qu'il y a eu concertation avec les autres pays ? Non. Est-ce qu'il y a eu concertation avec les grands clubs de football ? Non. Moi je peux dire au nom de Première Ligue qu'il n'y a eu aucune concertation avec nous.» Gérard Lopez précise non sans une pointe de dépit et de fatalisme : «On a été invité (7/8 présidents de L1) à la consultation le lendemain de la décision par le Ministère des sports… On nous a mis devant le fait accompli.» Sentiment d’impuissance partagé par son homologue nantais. «C’est là-dessus qu’on est pas très bon (lobbying) et il faut qu’on s’améliore. La communication est tellement importante dans le monde d’aujourd’hui.»
La faute rejetée sur le gouvernement français
Sur la décision de l’arrêt de la saison en cours, validée par le Conseil d’Administration de la LFP le 30 avril dernier, Bernard Caiazzo tente de rétablir les faits. «C'est une aberration totale de dire que c'est nous qui ne voulions pas reprendre, peste-t-il avec vigueur. Personne ne se saborde, personne ne se suicide, personne dans le football n'avait envie de tuer notre économie et d'avoir 600 ou 700 millions d’euros de manques à gagner pour soi-disant protéger un classement. C'est une erreur. Ceux qui veulent vous faire comprendre une autre réalité en disant que c'est la Ligue qui a pris la décision d'arrêter, c'est entièrement faux, et il y a mille preuves pour le démontrer. On n’avait aucun moyen d’influer sur la décision gouvernementale qui a été trop rapide.»
Relancé sur la volonté du gouvernement français à l’époque, de faire du football un exemple et d’éviter d’offrir l’image de passe-droit quant à l’utilisation des tests de dépistage à un moment critique de la crise sanitaire fin avril, les présidents ne cachent pas leur stupéfaction. Voire leur colère froide. «Si c’est le cas, c’est triste, avance Gérard Lopez, 4e de Ligue 1 avec le LOSC. Je suis proche du gouvernement anglais qui utilise le football pour donner à voir aux gens. Peut-être qu’on ne met pas le football au même niveau que dans les autres pays. Dans ce cas, on va toujours nager à contre-courant des autres.» Taquin, Waldemar Kita relance auprès des journalistes : «Donnez-nous des noms de personnes qui pensent ou disent cela, vous avez plus d’informations que nous sur ce sujet.»
Un mercato franco-français en juin ?
Avec le retour du football en Allemagne depuis le 16 mai, puis celui attendu des Espagnols le 11 juin, des Anglais six jours plus tard et enfin des Italiens, durement touchés pendant la crise, le 20 juin prochain, les trois acolytes craignent pour la compétitivité du football français à bien des égards. «Les clubs sont les plus lésés, mais le football français dans sa globalité l’est, abonde Gérard Lopez. Cette résultante me fait mal, mais quand vous êtes tout seul dans votre coin, vous ne pouvez ouvrir votre gueule derrière. Cette décision prouve aujourd’hui que notre football n’est pas au niveau des autres.» Bernard Caiazzo rebondit et pense aussi à court terme, notamment sur le mercato, avec une proposition en tête. «On aimerait démarrer un marché des transferts franco-français au mois de juin, pour rééquilibrer les comptes. Puis se caler sur les autres championnats étrangers, de façon à ne pas être une nouvelle fois écarté.»
«Même Aulas, en privé, ne croit pas à une reprise de la saison»
Bernard Caiazzo, président du conseil de surveillance de Saint-Etienne
En guise de conclusion, le trio de présidents a tenu à lancer un message au gouvernement. Avec une seule idée en tête : le retour sur les terrains pour aborder le prochain exercice dans les meilleures conditions possibles. «Reprendre la saison, c’est trop tard car il faut six semaines de préparation, même Jean-Michel Aulas n'y croit pas en privé, atteste Bernard Caiazzo. Aujourd’hui, la question est ‘Qu’est-ce qui va se passer en juin ?’.» Waldemar Kita conclut : «On ne demande rien d’autre que de reprendre notre activité, comme tout le monde. Avec des entraînements collectifs, des matches amicaux en juillet et des supporters dans les stades en août. La situation sanitaire a drastiquement évolué, on doit le faire aussi.»
https://sport24.lefigaro.fr/football/li ... nt-1003442
Au cours d'une conférence de presse ce lundi, trois présidents de Ligue 1 ont tenu un discours offensif quant à la décision du gouvernement d'arrêter la saison de championnat en raison de la crise du Covid-19.
Les langues se délient. Si la saison de Ligue 1 est définitivement entérinée – en dépit du baroud d’honneur quotidien de Jean-Michel Aulas - les rancoeurs restent vives et tenaces. Au cours d’une conférence de presse ce lundi de Première Ligue, le syndicat des grands clubs français, Bernard Caiazzo (Saint-Etienne), Gérard Lopez (Lille) et Waldemar Kita (Nantes) ont tenu à délivrer leur vérité. Et notamment une : le gouvernement français, par l’intermédiaire du président de la République Emmanuel Macron et de son Premier ministre, Edouard Philippe, est responsable de la décision d’arrêter l’exercice 2019-2020 en France en raison du Covid-19. Personne d'autre. Un choix fort non digéré aujourd’hui par les trois présidents, encore plus avec la reprise du foot déjà acté en Allemagne et en passe de l’être en Angleterre, Espagne et Italie.
Peut-être qu’on ne met pas le football au même niveau que dans les autres pays
Gérard Lopez, président du LOSC
«Avant le 28 avril (date de l’allocution d’Edouard Philippe à l’Assemblée nationale), on commençait à regarder comment reprendre, on était tous sur le pont, plante le président du conseil de surveillance de l’ASSE. Tout le monde se préparait à reprendre et le 28 avril. Quelle ne fut pas notre surprise d'entendre le Premier ministre dire que "la saison 2019-2020 ne pourra [ait] pas reprendre". Est-ce qu'il y a eu concertation avec les autres pays ? Non. Est-ce qu'il y a eu concertation avec les grands clubs de football ? Non. Moi je peux dire au nom de Première Ligue qu'il n'y a eu aucune concertation avec nous.» Gérard Lopez précise non sans une pointe de dépit et de fatalisme : «On a été invité (7/8 présidents de L1) à la consultation le lendemain de la décision par le Ministère des sports… On nous a mis devant le fait accompli.» Sentiment d’impuissance partagé par son homologue nantais. «C’est là-dessus qu’on est pas très bon (lobbying) et il faut qu’on s’améliore. La communication est tellement importante dans le monde d’aujourd’hui.»
La faute rejetée sur le gouvernement français
Sur la décision de l’arrêt de la saison en cours, validée par le Conseil d’Administration de la LFP le 30 avril dernier, Bernard Caiazzo tente de rétablir les faits. «C'est une aberration totale de dire que c'est nous qui ne voulions pas reprendre, peste-t-il avec vigueur. Personne ne se saborde, personne ne se suicide, personne dans le football n'avait envie de tuer notre économie et d'avoir 600 ou 700 millions d’euros de manques à gagner pour soi-disant protéger un classement. C'est une erreur. Ceux qui veulent vous faire comprendre une autre réalité en disant que c'est la Ligue qui a pris la décision d'arrêter, c'est entièrement faux, et il y a mille preuves pour le démontrer. On n’avait aucun moyen d’influer sur la décision gouvernementale qui a été trop rapide.»
Relancé sur la volonté du gouvernement français à l’époque, de faire du football un exemple et d’éviter d’offrir l’image de passe-droit quant à l’utilisation des tests de dépistage à un moment critique de la crise sanitaire fin avril, les présidents ne cachent pas leur stupéfaction. Voire leur colère froide. «Si c’est le cas, c’est triste, avance Gérard Lopez, 4e de Ligue 1 avec le LOSC. Je suis proche du gouvernement anglais qui utilise le football pour donner à voir aux gens. Peut-être qu’on ne met pas le football au même niveau que dans les autres pays. Dans ce cas, on va toujours nager à contre-courant des autres.» Taquin, Waldemar Kita relance auprès des journalistes : «Donnez-nous des noms de personnes qui pensent ou disent cela, vous avez plus d’informations que nous sur ce sujet.»
Un mercato franco-français en juin ?
Avec le retour du football en Allemagne depuis le 16 mai, puis celui attendu des Espagnols le 11 juin, des Anglais six jours plus tard et enfin des Italiens, durement touchés pendant la crise, le 20 juin prochain, les trois acolytes craignent pour la compétitivité du football français à bien des égards. «Les clubs sont les plus lésés, mais le football français dans sa globalité l’est, abonde Gérard Lopez. Cette résultante me fait mal, mais quand vous êtes tout seul dans votre coin, vous ne pouvez ouvrir votre gueule derrière. Cette décision prouve aujourd’hui que notre football n’est pas au niveau des autres.» Bernard Caiazzo rebondit et pense aussi à court terme, notamment sur le mercato, avec une proposition en tête. «On aimerait démarrer un marché des transferts franco-français au mois de juin, pour rééquilibrer les comptes. Puis se caler sur les autres championnats étrangers, de façon à ne pas être une nouvelle fois écarté.»
«Même Aulas, en privé, ne croit pas à une reprise de la saison»
Bernard Caiazzo, président du conseil de surveillance de Saint-Etienne
En guise de conclusion, le trio de présidents a tenu à lancer un message au gouvernement. Avec une seule idée en tête : le retour sur les terrains pour aborder le prochain exercice dans les meilleures conditions possibles. «Reprendre la saison, c’est trop tard car il faut six semaines de préparation, même Jean-Michel Aulas n'y croit pas en privé, atteste Bernard Caiazzo. Aujourd’hui, la question est ‘Qu’est-ce qui va se passer en juin ?’.» Waldemar Kita conclut : «On ne demande rien d’autre que de reprendre notre activité, comme tout le monde. Avec des entraînements collectifs, des matches amicaux en juillet et des supporters dans les stades en août. La situation sanitaire a drastiquement évolué, on doit le faire aussi.»
https://sport24.lefigaro.fr/football/li ... nt-1003442
Gallardo excellent joueur mais une des plus grande pute jamais vue sur un terrain ;-)
Un putain de joueur pour son équipe mais une petite pute pour ses adversaires... Y'en a plein des comme ça... Déjà, chez nous, d'amico et balmont... Mais c'est vrai que Gallardo, balle au pied, c'était quelque-chose...
Thx pour le journal.
Je sais pas vous mais moi ça me gave ces disputes par rapport à la fin du championnat. A toujours se comparer aux autres....
C'est drôle mais je ne suis pas plus pressé que ça que la prochaine saison démarre. J'ai économisé sur Bein et je ne m'abonnerai pas à téléfoot. C'est un des effets indésirables du covid-19 que de s'en foot du foot ?
Je sais pas vous mais moi ça me gave ces disputes par rapport à la fin du championnat. A toujours se comparer aux autres....
C'est drôle mais je ne suis pas plus pressé que ça que la prochaine saison démarre. J'ai économisé sur Bein et je ne m'abonnerai pas à téléfoot. C'est un des effets indésirables du covid-19 que de s'en foot du foot ?
C'est fou comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.
Boris Vian
Boris Vian
Je sais pas vous mais moi ça me gave ces disputes par rapport à la fin du championnat. A toujours se comparer aux autres....
Difficile de faire autrement quand on pense aux implications économiques et aux menaces qui pèsent sur la place des clubs français en coupe d'Europe. C'est saoulant mais je pense que c'est inéluctable.
roger a écrit :Source of the postJe sais pas vous mais moi ça me gave ces disputes par rapport à la fin du championnat. A toujours se comparer aux autres....
Difficile de faire autrement quand on pense aux implications économiques et aux menaces qui pèsent sur la place des clubs français en coupe d'Europe. C'est saoulant mais je pense que c'est inéluctable.
+1. Et finalement, Lopez a une seule phrase à retenir :
"Je ne dis pas que ceux qui ont repris on raison, mais ils ont eu l'intelligence de l'approche"
Et on parle bcp de foot, mais pareil pour le handball et les autres sports ayant suivi/anticipé la décision du foot.
Si le foot avait attendu, je pense que le hand aurait attendu aussi.
C'est juste dommage pour le Sport Français, qui est une fois encore, non prioritaire en France.
Cela se voit dans l'education nationale aussi ou les heures de sports diminuent ou sont en options dans les projets de lois etc... 2h / semaine parfois alors que c'est plus dans d'autres pays, c'est dommage.
Une grande nation de sport, ça passe aussi par là, mais c'est pas dans la mentalité française.
"En tout cas, on te l'souhaite."
On peut aussi raisonner à l'inverse et dire que le principe de précaution, en matière de santé quand même, est prioritaire en France et l'est moins en Allemagne, en Italie, etc...
Quitte à choisir, je préfère privilégier la santé. Mais je ne suis pas président de club, c'est vrai.... Lopez tenait un discours en ce sens au début du confinement.
Quitte à choisir, je préfère privilégier la santé. Mais je ne suis pas président de club, c'est vrai.... Lopez tenait un discours en ce sens au début du confinement.
C'est fou comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.
Boris Vian
Boris Vian
Je pense qu'il y a autant de cas différent qu'il y a de pays.
L'Allemagne a été moins touchée et son fédéralisme donne forcément plus de poids au régions, lesquelles sont logiquement plus sensible à l'état de leurs clubs locaux qu'un état très centralisé comme la France.
Pour l'Espagne, l'Italie et l'Angleterre, il est évident que le poids économique du football a nécessairement pesé sur la décision
L'Allemagne a été moins touchée et son fédéralisme donne forcément plus de poids au régions, lesquelles sont logiquement plus sensible à l'état de leurs clubs locaux qu'un état très centralisé comme la France.
Pour l'Espagne, l'Italie et l'Angleterre, il est évident que le poids économique du football a nécessairement pesé sur la décision
Damnant quod non intelligunt
On peut aussi raisonner à l'inverse et dire que le principe de précaution, en matière de santé quand même, est prioritaire en France et l'est moins en Allemagne, en Italie, etc...
A partir du moment où tu autorises les restaurants et bars à rouvrir, les mariages, le travail et les transports en commun, même avec des masques, qui ne sont pas non plus l'alpha et l'oméga de la protection, quand tu vois comment les gens les utilisent, je ne vois pas en quoi des matchs de foot à huis clos poserait un problème sanitaire plus important. D'autant que le foot professionnel a des moyens médicaux bien plus poussés que beaucoup d'entreprises.
Pour moi, l'un des soucis est que les sports ont été considérés uniquement comme des loisirs dont on peut se passer-- on ne va crever de pas voir de foot pendant 6 mois, on est d'accord-- mais l'aspect économique et la concurrence internationale spécifique aux sports pro, notamment le foot, ont été totalement négligés. Cela dit, je ne suis pas sur que les clubs de rugby, hand ou basket soient mieux lotis, même si leurs moyens sont moins importants.
LudwigVon a écrit :Source of the post On peut aussi raisonner à l'inverse et dire que le principe de précaution, en matière de santé quand même, est prioritaire en France et l'est moins en Allemagne, en Italie, etc...
Quitte à choisir, je préfère privilégier la santé. Mais je ne suis pas président de club, c'est vrai.... Lopez tenait un discours en ce sens au début du confinement.
Yep, Lopez ne dit rien d'autres que "La santé" d'abord, mais juste que "Santé d'abord" + patientons qq semaines avant de sonner la fin du championnat n'était pas incompatible.
Les ALL = stade à huis clos + tests des joueurs régulièrement et quarantine direct si positif semble, à posteriori en tout cas, une solution qui marche.
Mais effectivement le poid du sport et du foot français n'est pas prioritaire contrairement aux autres pays.
"En tout cas, on te l'souhaite."
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