RÉFORME DE LA LIGUE DES CHAMPIONS : RÉUNION CAPITALE CE MERCREDI AU SIÈGE DE L'UEFA
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Par La rédaction avec AFP
Mis à jour le 08/05/2019 à 10h46 – Publié le 07/05/2019 à 11h44
Après le rassemblement des ligues nationales et 250 clubs européens, dont 20 français ce mardi à Madrid, se déroule aujourd'hui un réunion cruciale mercredi à l'UEFA.
Ce mercredi matin, une réunion au plus haut niveau est prévue à Nyon, en Suisse, entre le Comité exécutif de l'UEFA, dont son président Aleksander Ceferin, et la direction d'European Leagues, pour une «discussion générale sur l'avenir du football professionnel en Europe».
Le rassemblement de mardi, à Madrid, était une veillée d'armes pour les ligues et les clubs les plus modestes, qui espèrent sans doute parvenir à une position commune à défendre ensuite devant l'UEFA. En particulier, l'un des thèmes de discussion programmés à Madrid est intitulé «Une ligue fermée de facto pour les clubs d'élite» : tel est le scénario que, selon plusieurs médias, l'Association européenne des clubs de football (ECA) et son président Andrea Agnelli (Juventus Turin) souhaiteraient voir adopter à partir de 2024.Selon la presse, le projet permettrait aux six premières équipes au sein de quatre poules de huit d'être directement qualifiées pour l'édition suivante, indépendamment de leur classement en championnat. Ce qui en pratique favoriserait les géants continentaux et réduirait l'aléa sportif
Ces informations ont suscité un tollé auprès des clubs les plus modestes, mais aussi des Ligues organisatrices des championnats nationaux qui craignent de voir leurs compétitions dévaluées, surtout si la réforme empiète sur les épreuves domestiques en incluant des matches européens à jouer le week-end. Certaines figures du football mondial ont également critiqué l'esprit du projet, à l'image du Français Zinédine Zidane, pourtant entraîneur du Real Madrid, club comptant le plus de revenus au monde et le plus de titres en C1 (13 trophées). «Pour ceux qui sont (petits), c'est certainement beaucoup plus compliqué de pouvoir jouer la Ligue des champions» a fait valoir Zidane. «Vivre un moment comme celui-là, pour ceux qui ne la jouent pas régulièrement, ou qui la jouent une fois dans une vie, c'est magnifique.» Le FC Barcelone, l'autre géant du football espagnol, s'est dit pour sa part opposé aux matches européens le week-end, tout en soutenant une réforme de la C1 visant à développer la compétition.
En Allemagne, Karl-Heinz Rummenigge et Hans-Joachim Watzke, patrons respectifs du Bayern Munich et du Borussia Dortmund, ont avoué que la réforme ne leur plaisait guère, mais qu'ils étaient prêts à des «compromis» puisqu'elle semble désormais inévitable.Le président de la Ligue allemande (DFB) Christian Seifert est pour sa part opposé à cette réforme, et très combattif. Il estime notamment que les matches européens le week-end sont «une ligne rouge» à ne pas franchir, sous peine de recours en justice. Sur les 900 clubs européens conviés mardi, quelque 150 clubs ont confirmé leur présence à Madrid, a déclaré à l'AFP une source proche de l'organisation.
Dans un entretien accordé à l'Equipe, Didier Quillot, directeur exécutif de la LFP s'inquiète des conséquences que pourrait avoir ce projet : «Ce projet est dangereux pour trois raisons. Il alourdirait significativement le calendrier. Il y aurait en effet quatorze matches au lieu de six en phase de groupes. Un joueur international qui irait en finale de Ligue des champions pourrait jouer entre 70 et 80 matches sur une saison. Les clubs qualifiés pour les 8es de finale de la C 1 et qui participeraient à la L 1, à la Coupe de France et à la Coupe de la Ligue disputeraient deux rencontres par semaine entre août 2024 et juin 2025. Évidemment, ces clubs auraient des équipes A et B, la première en C 1, la seconde en Championnat. Nous avons besoin de l'équipe A du PSG, pas de la B. Il existe un autre risque, pour les sélections nationales celui-là, car il est prévu de réduire le nombre de semaines pour les sélections. Et enfin, il y a un risque pour la survie des Coupes nationales». Du côté des clubs, le PSG est pour cette réforme, dans le Parisien Victoriano Melero expliquait que : «Sur le principe, c’est un projet intéressant pour le PSG car créateur de richesses pour l’ensemble du football». Ils ne seront donc pas présents ce mardi à Madrid pour la réunion. L'autre poids lourd du football français, l'Olympique Lyonnais ne se prononce pas encore. Un membre de l'organisation lyonnaise participera à réunion, mais Jean-Michel Aulas n'a pas encore pris de décisions, il «attend de s'informer». Noël Le Graët sera lui ce mercredi à Nyon pour rappeler l'opposition ferme du football français face à ce projet.
Le quotidien italien Gazzetta dello Sport a rapporté que tous les clubs de Serie A seraient présents à l'exception... des plus gros: Juventus, Inter, AC Milan et AS Roma. Agnelli sera présent, mais en tant que président de l'ECA, pas de la Juve. Signe que l'ECA a peut-être senti venir une fronde, elle a elle-même convoqué une réunion des clubs les 6 et 7 juin à Malte.Dans un courrier envoyé à ses 232 membres, Andrea Agnelli a écrit regretter qu'une «grande quantité de spéculations incorrectes et de rumeurs soient apparues dans les médias.» Le président de la Juventus Turin assure dans le même courrier qu'«aucune proposition concrète» n'a été adoptée et il «recommandait» aux clubs membres de l'ECA de ne pas se rendre à Madrid. La réplique d'European Leagues a été immédiate: «Nos clubs membres sont assez grands pour se faire leur propre jugement sans recevoir d'ordre du président de l'ECA» a écrit son président Lars-Christer Olsson dans un courrier aux airs de réplique. Signe que le bras de fer au sommet du football européen est lancé.
AA
Par La rédaction avec AFP
Mis à jour le 08/05/2019 à 10h46 – Publié le 07/05/2019 à 11h44
Après le rassemblement des ligues nationales et 250 clubs européens, dont 20 français ce mardi à Madrid, se déroule aujourd'hui un réunion cruciale mercredi à l'UEFA.
Ce mercredi matin, une réunion au plus haut niveau est prévue à Nyon, en Suisse, entre le Comité exécutif de l'UEFA, dont son président Aleksander Ceferin, et la direction d'European Leagues, pour une «discussion générale sur l'avenir du football professionnel en Europe».
Le rassemblement de mardi, à Madrid, était une veillée d'armes pour les ligues et les clubs les plus modestes, qui espèrent sans doute parvenir à une position commune à défendre ensuite devant l'UEFA. En particulier, l'un des thèmes de discussion programmés à Madrid est intitulé «Une ligue fermée de facto pour les clubs d'élite» : tel est le scénario que, selon plusieurs médias, l'Association européenne des clubs de football (ECA) et son président Andrea Agnelli (Juventus Turin) souhaiteraient voir adopter à partir de 2024.Selon la presse, le projet permettrait aux six premières équipes au sein de quatre poules de huit d'être directement qualifiées pour l'édition suivante, indépendamment de leur classement en championnat. Ce qui en pratique favoriserait les géants continentaux et réduirait l'aléa sportif
Ces informations ont suscité un tollé auprès des clubs les plus modestes, mais aussi des Ligues organisatrices des championnats nationaux qui craignent de voir leurs compétitions dévaluées, surtout si la réforme empiète sur les épreuves domestiques en incluant des matches européens à jouer le week-end. Certaines figures du football mondial ont également critiqué l'esprit du projet, à l'image du Français Zinédine Zidane, pourtant entraîneur du Real Madrid, club comptant le plus de revenus au monde et le plus de titres en C1 (13 trophées). «Pour ceux qui sont (petits), c'est certainement beaucoup plus compliqué de pouvoir jouer la Ligue des champions» a fait valoir Zidane. «Vivre un moment comme celui-là, pour ceux qui ne la jouent pas régulièrement, ou qui la jouent une fois dans une vie, c'est magnifique.» Le FC Barcelone, l'autre géant du football espagnol, s'est dit pour sa part opposé aux matches européens le week-end, tout en soutenant une réforme de la C1 visant à développer la compétition.
En Allemagne, Karl-Heinz Rummenigge et Hans-Joachim Watzke, patrons respectifs du Bayern Munich et du Borussia Dortmund, ont avoué que la réforme ne leur plaisait guère, mais qu'ils étaient prêts à des «compromis» puisqu'elle semble désormais inévitable.Le président de la Ligue allemande (DFB) Christian Seifert est pour sa part opposé à cette réforme, et très combattif. Il estime notamment que les matches européens le week-end sont «une ligne rouge» à ne pas franchir, sous peine de recours en justice. Sur les 900 clubs européens conviés mardi, quelque 150 clubs ont confirmé leur présence à Madrid, a déclaré à l'AFP une source proche de l'organisation.
Dans un entretien accordé à l'Equipe, Didier Quillot, directeur exécutif de la LFP s'inquiète des conséquences que pourrait avoir ce projet : «Ce projet est dangereux pour trois raisons. Il alourdirait significativement le calendrier. Il y aurait en effet quatorze matches au lieu de six en phase de groupes. Un joueur international qui irait en finale de Ligue des champions pourrait jouer entre 70 et 80 matches sur une saison. Les clubs qualifiés pour les 8es de finale de la C 1 et qui participeraient à la L 1, à la Coupe de France et à la Coupe de la Ligue disputeraient deux rencontres par semaine entre août 2024 et juin 2025. Évidemment, ces clubs auraient des équipes A et B, la première en C 1, la seconde en Championnat. Nous avons besoin de l'équipe A du PSG, pas de la B. Il existe un autre risque, pour les sélections nationales celui-là, car il est prévu de réduire le nombre de semaines pour les sélections. Et enfin, il y a un risque pour la survie des Coupes nationales». Du côté des clubs, le PSG est pour cette réforme, dans le Parisien Victoriano Melero expliquait que : «Sur le principe, c’est un projet intéressant pour le PSG car créateur de richesses pour l’ensemble du football». Ils ne seront donc pas présents ce mardi à Madrid pour la réunion. L'autre poids lourd du football français, l'Olympique Lyonnais ne se prononce pas encore. Un membre de l'organisation lyonnaise participera à réunion, mais Jean-Michel Aulas n'a pas encore pris de décisions, il «attend de s'informer». Noël Le Graët sera lui ce mercredi à Nyon pour rappeler l'opposition ferme du football français face à ce projet.
Le quotidien italien Gazzetta dello Sport a rapporté que tous les clubs de Serie A seraient présents à l'exception... des plus gros: Juventus, Inter, AC Milan et AS Roma. Agnelli sera présent, mais en tant que président de l'ECA, pas de la Juve. Signe que l'ECA a peut-être senti venir une fronde, elle a elle-même convoqué une réunion des clubs les 6 et 7 juin à Malte.Dans un courrier envoyé à ses 232 membres, Andrea Agnelli a écrit regretter qu'une «grande quantité de spéculations incorrectes et de rumeurs soient apparues dans les médias.» Le président de la Juventus Turin assure dans le même courrier qu'«aucune proposition concrète» n'a été adoptée et il «recommandait» aux clubs membres de l'ECA de ne pas se rendre à Madrid. La réplique d'European Leagues a été immédiate: «Nos clubs membres sont assez grands pour se faire leur propre jugement sans recevoir d'ordre du président de l'ECA» a écrit son président Lars-Christer Olsson dans un courrier aux airs de réplique. Signe que le bras de fer au sommet du football européen est lancé.
Modifié en dernier par eljano le mer. 8 mai 2019 23:23, modifié 1 fois.
On a le droit de parler de dopage ou pas ?
Chais plus qui demandait les stats de km parcourus suite à OL-LOSC dimanche, apparemment ces stats ne sont pas disponibles en L1, mais communiquées en LdC.
Pour Liverpool-Barça hier, et si j'ai tout bien compris, ils annonçaient un chiffre record de 113 km parcourus par l'effectif de Liverpool durant la rencontre alors qu'un "gros gros match" plafonne à 106 habituellement.
Chais plus qui demandait les stats de km parcourus suite à OL-LOSC dimanche, apparemment ces stats ne sont pas disponibles en L1, mais communiquées en LdC.
Pour Liverpool-Barça hier, et si j'ai tout bien compris, ils annonçaient un chiffre record de 113 km parcourus par l'effectif de Liverpool durant la rencontre alors qu'un "gros gros match" plafonne à 106 habituellement.
#JeSuisVasseur
Djeunzzz a écrit :On a le droit de parler de dopage ou pas ?
Chais plus qui demandait les stats de km parcourus suite à OL-LOSC dimanche, apparemment ces stats ne sont pas disponibles en L1, mais communiquées en LdC.
Pour Liverpool-Barça hier, et si j'ai tout bien compris, ils annonçaient un chiffre record de 113 km parcourus par l'effectif de Liverpool durant la rencontre alors qu'un "gros gros match" plafonne à 106 habituellement.
Quand y'a une carotte au bout, les mecs doivent courir davantage, j'vois qu'ça. Ce serait intéressant de connaître les stats d'un guingamp-dijon.
C'est fou comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.
Boris Vian
Boris Vian
J'avoue qu'un "cruyffico" Ajax/Barcelone ça aurait eu plus de gueule!
Lucky a écrit :Source of the post Go Liverpoule
djeunzz a dit :
chais plus qui demandait les stats de km parcourus suite à OL-LOSC dimanche, apparemment ces stats ne sont pas disponibles en L1, mais communiquées en LdC.
Pour Liverpool-Barça hier, et si j'ai tout bien compris, ils annonçaient un chiffre record de 113 km parcourus par l'effectif de Liverpool durant la rencontre alors qu'un "gros gros match" plafonne à 106 habituellement.
........
tout le monde sait que les poules courent pour pondre.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
eljano a écrit :Source of the post RÉFORME DE LA LIGUE DES CHAMPIONS : RÉUNION CAPITALE CE MERCREDI AU SIÈGE DE L'UEFA
AA
Par La rédaction avec AFP
Mis à jour le 08/05/2019 à 10h46 – Publié le 07/05/2019 à 11h44
Après le rassemblement des ligues nationales et 250 clubs européens, dont 20 français ce mardi à Madrid, se déroule aujourd'hui un réunion cruciale mercredi à l'UEFA.
Ce mercredi matin, une réunion au plus haut niveau est prévue à Nyon, en Suisse, entre le Comité exécutif de l'UEFA, dont son président Aleksander Ceferin, et la direction d'European Leagues, pour une «discussion générale sur l'avenir du football professionnel en Europe».
Le rassemblement de mardi, à Madrid, était une veillée d'armes pour les ligues et les clubs les plus modestes, qui espèrent sans doute parvenir à une position commune à défendre ensuite devant l'UEFA. En particulier, l'un des thèmes de discussion programmés à Madrid est intitulé «Une ligue fermée de facto pour les clubs d'élite» : tel est le scénario que, selon plusieurs médias, l'Association européenne des clubs de football (ECA) et son président Andrea Agnelli (Juventus Turin) souhaiteraient voir adopter à partir de 2024.Selon la presse, le projet permettrait aux six premières équipes au sein de quatre poules de huit d'être directement qualifiées pour l'édition suivante, indépendamment de leur classement en championnat. Ce qui en pratique favoriserait les géants continentaux et réduirait l'aléa sportif
Ces informations ont suscité un tollé auprès des clubs les plus modestes, mais aussi des Ligues organisatrices des championnats nationaux qui craignent de voir leurs compétitions dévaluées, surtout si la réforme empiète sur les épreuves domestiques en incluant des matches européens à jouer le week-end. Certaines figures du football mondial ont également critiqué l'esprit du projet, à l'image du Français Zinédine Zidane, pourtant entraîneur du Real Madrid, club comptant le plus de revenus au monde et le plus de titres en C1 (13 trophées). «Pour ceux qui sont (petits), c'est certainement beaucoup plus compliqué de pouvoir jouer la Ligue des champions» a fait valoir Zidane. «Vivre un moment comme celui-là, pour ceux qui ne la jouent pas régulièrement, ou qui la jouent une fois dans une vie, c'est magnifique.» Le FC Barcelone, l'autre géant du football espagnol, s'est dit pour sa part opposé aux matches européens le week-end, tout en soutenant une réforme de la C1 visant à développer la compétition.
En Allemagne, Karl-Heinz Rummenigge et Hans-Joachim Watzke, patrons respectifs du Bayern Munich et du Borussia Dortmund, ont avoué que la réforme ne leur plaisait guère, mais qu'ils étaient prêts à des «compromis» puisqu'elle semble désormais inévitable.Le président de la Ligue allemande (DFB) Christian Seifert est pour sa part opposé à cette réforme, et très combattif. Il estime notamment que les matches européens le week-end sont «une ligne rouge» à ne pas franchir, sous peine de recours en justice. Sur les 900 clubs européens conviés mardi, quelque 150 clubs ont confirmé leur présence à Madrid, a déclaré à l'AFP une source proche de l'organisation.
Dans un entretien accordé à l'Equipe, Didier Quillot, directeur exécutif de la LFP s'inquiète des conséquences que pourrait avoir ce projet : «Ce projet est dangereux pour trois raisons. Il alourdirait significativement le calendrier. Il y aurait en effet quatorze matches au lieu de six en phase de groupes. Un joueur international qui irait en finale de Ligue des champions pourrait jouer entre 70 et 80 matches sur une saison. Les clubs qualifiés pour les 8es de finale de la C 1 et qui participeraient à la L 1, à la Coupe de France et à la Coupe de la Ligue disputeraient deux rencontres par semaine entre août 2024 et juin 2025. Évidemment, ces clubs auraient des équipes A et B, la première en C 1, la seconde en Championnat. Nous avons besoin de l'équipe A du PSG, pas de la B. Il existe un autre risque, pour les sélections nationales celui-là, car il est prévu de réduire le nombre de semaines pour les sélections. Et enfin, il y a un risque pour la survie des Coupes nationales». Du côté des clubs, le PSG est pour cette réforme, dans le Parisien Victoriano Melero expliquait que : «Sur le principe, c’est un projet intéressant pour le PSG car créateur de richesses pour l’ensemble du football». Ils ne seront donc pas présents ce mardi à Madrid pour la réunion. L'autre poids lourd du football français, l'Olympique Lyonnais ne se prononce pas encore. Un membre de l'organisation lyonnaise participera à réunion, mais Jean-Michel Aulas n'a pas encore pris de décisions, il «attend de s'informer». Noël Le Graët sera lui ce mercredi à Nyon pour rappeler l'opposition ferme du football français face à ce projet.
Le quotidien italien Gazzetta dello Sport a rapporté que tous les clubs de Serie A seraient présents à l'exception... des plus gros: Juventus, Inter, AC Milan et AS Roma. Agnelli sera présent, mais en tant que président de l'ECA, pas de la Juve. Signe que l'ECA a peut-être senti venir une fronde, elle a elle-même convoqué une réunion des clubs les 6 et 7 juin à Malte.Dans un courrier envoyé à ses 232 membres, Andrea Agnelli a écrit regretter qu'une «grande quantité de spéculations incorrectes et de rumeurs soient apparues dans les médias.» Le président de la Juventus Turin assure dans le même courrier qu'«aucune proposition concrète» n'a été adoptée et il «recommandait» aux clubs membres de l'ECA de ne pas se rendre à Madrid. La réplique d'European Leagues a été immédiate: «Nos clubs membres sont assez grands pour se faire leur propre jugement sans recevoir d'ordre du président de l'ECA» a écrit son président Lars-Christer Olsson dans un courrier aux airs de réplique. Signe que le bras de fer au sommet du football européen est lancé.
Tain' mais les mecs osent vraiment présenter un tel projet ?
Y'a vraiment une chance que ça se fasse ? C'est la mort du foot cette merde.
Oui...
Des championnats nationaux surtout, car ils parlent de matchs le weekend, donc ça veut dire équipe A et équipe B.
La mort des équipes nationales aussi à plus ou moins longue échéance.
La mondialisation fera son œuvre.
Les p'tits gars de Bousbecque ou de Rodez qui sont sup'du Baressa ou de Machessetaire ne sont que les prémices de la grande révolution.
Des championnats nationaux surtout, car ils parlent de matchs le weekend, donc ça veut dire équipe A et équipe B.
La mort des équipes nationales aussi à plus ou moins longue échéance.
La mondialisation fera son œuvre.
Les p'tits gars de Bousbecque ou de Rodez qui sont sup'du Baressa ou de Machessetaire ne sont que les prémices de la grande révolution.
"Aulas n'a pas encore pris sa décision" ... Tu m'étonnes !
Les deux dernières journées de champions league pèseront-ils un peu ? à moins que ne pas voir le barça en finale commence à irriter l'UEFA.
Les deux derniers matchs mais surtout celui de mardi n'était pas un "gros gros match" mais un "gros gros gros match" ... cela pourrait expliquer les 7 km.
Les deux dernières journées de champions league pèseront-ils un peu ? à moins que ne pas voir le barça en finale commence à irriter l'UEFA.
LudwigVon a écrit :Djeunzzz a écrit :On a le droit de parler de dopage ou pas ?
Chais plus qui demandait les stats de km parcourus suite à OL-LOSC dimanche, apparemment ces stats ne sont pas disponibles en L1, mais communiquées en LdC.
Pour Liverpool-Barça hier, et si j'ai tout bien compris, ils annonçaient un chiffre record de 113 km parcourus par l'effectif de Liverpool durant la rencontre alors qu'un "gros gros match" plafonne à 106 habituellement.
Quand y'a une carotte au bout, les mecs doivent courir davantage, j'vois qu'ça. Ce serait intéressant de connaître les stats d'un guingamp-dijon.
Les deux derniers matchs mais surtout celui de mardi n'était pas un "gros gros match" mais un "gros gros gros match" ... cela pourrait expliquer les 7 km.
" Patience les gars. Un transfert c est pas négocier un kilo de merguez... "
Zaz - 3 août 2023 à 18h23
Zaz - 3 août 2023 à 18h23
Djeunzzz a écrit :On a le droit de parler de dopage ou pas ?
Chais plus qui demandait les stats de km parcourus suite à OL-LOSC dimanche, apparemment ces stats ne sont pas disponibles en L1, mais communiquées en LdC.
Pour Liverpool-Barça hier, et si j'ai tout bien compris, ils annonçaient un chiffre record de 113 km parcourus par l'effectif de Liverpool durant la rencontre alors qu'un "gros gros match" plafonne à 106 habituellement.
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