normal qu'ils en fassent comme tous les clubs français sauf le PSG
mais prendre un joueur qui fait doublon sur les ailes alors qu'ils ont besoin d 'un 9 c'est débile
autant prendre un prospect mais qui occupe une place dans leur schéma de jeu
mais prendre un joueur qui fait doublon sur les ailes alors qu'ils ont besoin d 'un 9 c'est débile
autant prendre un prospect mais qui occupe une place dans leur schéma de jeu
"All the good music has already been written by people with wigs and stuff."
Frank Zappa
Frank Zappa
Même avec le recrutement de ce Goss, je crois qu'on va bien rigoler cette année en Champions League déjà en championnat, ils ont du mal alors en C1, je n'ose pas imaginer 0 point au compteur, ils ont l'habitude un vrai club de merde.
Le Cassoulet, c'est gourmet, mais ça fait péter !
Paranormal a écrit :Même avec le recrutement de ce Goss, je crois qu'on va bien rigoler cette année en Champions League déjà en championnat, ils ont du mal alors en C1, je n'ose pas imaginer 0 point au compteur, ils ont l'habitude un vrai club de merde.
la France du foot a bien rigolé, à juste titre, de nos deux dernières campagnes de C1 donc je me garderai bien d’évoquer ce sujet à ta place !
adri1 a écrit :Source of the postParanormal a écrit :Même avec le recrutement de ce Goss, je crois qu'on va bien rigoler cette année en Champions League déjà en championnat, ils ont du mal alors en C1, je n'ose pas imaginer 0 point au compteur, ils ont l'habitude un vrai club de merde.
la France du foot a bien rigolé, à juste titre, de nos deux dernières campagnes de C1 donc je me garderai bien d’évoquer ce sujet à ta place !
Pas de quoi rigoler pas de zéro au compteur et de très bons matchs comme face à l'ajax et j'en passe.
Le Cassoulet, c'est gourmet, mais ça fait péter !
Possible départ de Marc Ingla... Tiens, tiens...
Lorient : départ surprise du directeur général Fabrice Bocquet
Architecte du projet lorientais depuis cinq ans, le directeur général Fabrice Bocquet va quitter son poste dans les prochains jours.
29 septembre 2020 à 19h18
C'est un personnage influent mais méconnu de la Ligue 1. Fabrice Bocquet (*) n'aime guère goûter aux lumières médiatiques. Le temps d'une journée, le directeur général du FC Lorient va pourtant être mis sur le devant de la scène. Il a décidé de quitter ses fonctions dans les prochaines semaines. Un départ surprise pour un professionnel de 37 ans architecte du projet du club breton depuis plusieurs années. Après un premier passage de 2009 à 2011, Bocquet était en effet revenu au FCL en 2015. Depuis, alors que le président lorientais Loïc Féry gérait ses affaires à Londres où il s'occupe de son entreprise (Chenavari Investment Managers), c'est Bocquet qui dirigeait au quotidien les affaires du FCL.
(*) Joint, il n'a pas souhaité répondre à nos questions.
Son départ dont il avait fait part seulement à ses plus proches s'inscrit dans le cadre d'un nouveau cycle. Bocquet expliquait récemment à son entourage qu'il menait depuis plusieurs mois une réflexion pour entamer une nouvelle aventure professionnelle. Mais dans son esprit, impossible de laisser le club en Ligue 2 et alors que le projet de rénovation du stade n'était pas encore totalement sur les rails. Soucieux de partir dans de bonnes conditions, Bocquet a donc participé à la mise en place de l'équipe compétitive qui est remontée dans l'élite en mai dernier.
Une relation moins fluide avec Féry
Une restructuration qu'il a accompagnée d'une recomposition de la cellule de recrutement. Avec un objectif, pour le FC Lorient, 4e club le plus rentable de L1 (derrière PSG, Lyon et Nice, 1) : le pérenniser durablement dans l'élite et montrer qu'une ville « modeste » par la taille peut avoir sa place dans le top 20 français. Bocquet aurait averti Loïc Féry de ses intentions il y a plusieurs semaines. Les deux hommes, qui entretenaient depuis plusieurs mois une relation moins fluide (2) au fil notamment de désaccords sur certains dossiers de mercato, ont acté d'un départ à l'issue de ce marché estival. Un marché où Lorient a été particulièrement actif (Boisgard, Diarra, Gravillon, Chalobah, Morel, etc). Un accord de séparation a été trouvé peu avant le week-end.
(1) : en termes de résultat net annuel.
(2) : Fabrice Bocquet nous a fait savoir ce mardi soir qu'il entretenait toujours une relation de « pleine confiance » avec Loïc Féry. « En témoigne la sérénité autour de mon départ », a-t-il ajouté.
Fabrice Bocquet, qui était parvenu à développer un réseau important parmi les agents français, pourrait assurer une période de transition avec son successeur. Le futur ex-DG du FC Lorient laissait entendre ces dernières semaines qu'il n'avait pas fixé son avenir mais qu'il n'écartait pas de rester dans le milieu du football.
Dans un communiqué, le FC Lorient a annoncé la nomination de Stéphane Gravereaux au poste de directeur général délégué. Il était membre du conseil d'administration depuis cinq ans.
Lorient : départ surprise du directeur général Fabrice Bocquet
Architecte du projet lorientais depuis cinq ans, le directeur général Fabrice Bocquet va quitter son poste dans les prochains jours.
29 septembre 2020 à 19h18
C'est un personnage influent mais méconnu de la Ligue 1. Fabrice Bocquet (*) n'aime guère goûter aux lumières médiatiques. Le temps d'une journée, le directeur général du FC Lorient va pourtant être mis sur le devant de la scène. Il a décidé de quitter ses fonctions dans les prochaines semaines. Un départ surprise pour un professionnel de 37 ans architecte du projet du club breton depuis plusieurs années. Après un premier passage de 2009 à 2011, Bocquet était en effet revenu au FCL en 2015. Depuis, alors que le président lorientais Loïc Féry gérait ses affaires à Londres où il s'occupe de son entreprise (Chenavari Investment Managers), c'est Bocquet qui dirigeait au quotidien les affaires du FCL.
(*) Joint, il n'a pas souhaité répondre à nos questions.
Son départ dont il avait fait part seulement à ses plus proches s'inscrit dans le cadre d'un nouveau cycle. Bocquet expliquait récemment à son entourage qu'il menait depuis plusieurs mois une réflexion pour entamer une nouvelle aventure professionnelle. Mais dans son esprit, impossible de laisser le club en Ligue 2 et alors que le projet de rénovation du stade n'était pas encore totalement sur les rails. Soucieux de partir dans de bonnes conditions, Bocquet a donc participé à la mise en place de l'équipe compétitive qui est remontée dans l'élite en mai dernier.
Une relation moins fluide avec Féry
Une restructuration qu'il a accompagnée d'une recomposition de la cellule de recrutement. Avec un objectif, pour le FC Lorient, 4e club le plus rentable de L1 (derrière PSG, Lyon et Nice, 1) : le pérenniser durablement dans l'élite et montrer qu'une ville « modeste » par la taille peut avoir sa place dans le top 20 français. Bocquet aurait averti Loïc Féry de ses intentions il y a plusieurs semaines. Les deux hommes, qui entretenaient depuis plusieurs mois une relation moins fluide (2) au fil notamment de désaccords sur certains dossiers de mercato, ont acté d'un départ à l'issue de ce marché estival. Un marché où Lorient a été particulièrement actif (Boisgard, Diarra, Gravillon, Chalobah, Morel, etc). Un accord de séparation a été trouvé peu avant le week-end.
(1) : en termes de résultat net annuel.
(2) : Fabrice Bocquet nous a fait savoir ce mardi soir qu'il entretenait toujours une relation de « pleine confiance » avec Loïc Féry. « En témoigne la sérénité autour de mon départ », a-t-il ajouté.
Fabrice Bocquet, qui était parvenu à développer un réseau important parmi les agents français, pourrait assurer une période de transition avec son successeur. Le futur ex-DG du FC Lorient laissait entendre ces dernières semaines qu'il n'avait pas fixé son avenir mais qu'il n'écartait pas de rester dans le milieu du football.
Dans un communiqué, le FC Lorient a annoncé la nomination de Stéphane Gravereaux au poste de directeur général délégué. Il était membre du conseil d'administration depuis cinq ans.
« Cher Lillois vous allez me manquer »José Fonte
Lucky a écrit :Source of the post Bon Gérard faut arrêter maintenant!
https://www.butfootballclub.fr/losc/act ... lub-439689
Maintenant faut acheter un club turc.
galerebonalair a écrit :Source of the postLucky a écrit :Source of the post Bon Gérard faut arrêter maintenant!
https://www.butfootballclub.fr/losc/act ... lub-439689
Maintenant faut acheter un club turc.
Il doit avoir plusieurs maîtresse ce mec.
« Cher Lillois vous allez me manquer »José Fonte
Paranormal a écrit :Source of the post Et si un jour on doit ce coltiner Boavista en coupe d'europe il ce passe quoi ?
C'est surtout que si le LOSC, explose en vol, et bien il pourra continuer a exercer sa passion du foot avec un club portugais.... CQFD....
Dimanche 16 mai 2021 : Burak Yilmaz : we will be champion, don't wory...we will be champion next week...
curiste a écrit :Source of the postParanormal a écrit :Source of the post Et si un jour on doit ce coltiner Boavista en coupe d'europe il ce passe quoi ?
C'est surtout que si le LOSC, explose en vol, et bien il pourra continuer a exercer sa passion du foot avec un club portugais.... CQFD....
Et c' est nous les complotistes :-)
«Boavista, c’est 20 millions d’euros investis»
Comme Paperjam l’annonçait lundi soir, Gerard Lopez a racheté un troisième club de football en Europe, Boavista, à Porto, dans lequel l’entrepreneur luxembourgeois dit avoir injecté 20 millions d’euros pour occuper le haut du tableau à court terme.
Les discussions ont mis un peu plus de temps que prévu, mais Gerard Lopez est une nouvelle fois parvenu à ses fins: racheter un club de football dans une première ligue.
>Vous ajoutez un troisième club dans votre escarcelle. Boavista Porto, c’est cher?
Gerard Lopez. – «C’est un peu comme pour tous les clubs de foot, il y a la partie rachat du capital et la partie investissement dans le club. La totalité se situe à peu près à 20 millions d’euros. On a eu un mercato assez énorme pour un club portugais: on a fait rentrer 17 jeunes joueurs. On a constitué un effectif de grande qualité, il faut encore que ça prenne, que les joueurs apprennent à se connaître. On s’attend à ce que le club joue la première moitié du tableau (le club est actuellement 14e sur 18 après trois journées).
À partir de l’année prochaine, on espère sortir des talents.
>On le sait, vous jetez toujours un coup d’œil particulier au centre de formation des clubs que vous ambitionnez de reprendre. Que disent vos analyses?
«L’effectif qui marche bien au Losc aujourd’hui est un mélange de jeunes joueurs de talent et de joueurs expérimentés, alors, on a créé un peu la même structure à Boavista. Comme tous les clubs portugais, il y a beaucoup de talents dans le centre de formation. On vient d’arriver, mais on a passé beaucoup de temps à l’analyser. Ce n’est pas cette année qu’on aura de grandes intégrations, parce qu’on est déjà dans le vif du sujet. Il faut qu’on soit compétitifs tout de suite. À partir de l’année prochaine, on espère sortir des talents.
>Est-ce que c’est de la science-fiction de dire que vous pourriez créer des passerelles, en fonction de vos objectifs, entre le Losc, Mouscron et Boavista?
«Entre les équipes, les projets sont différenciés. C’est vrai que la proximité entre Mouscron et le Losc fait que ça rend plus facile la collaboration avec les prêts, etc., parce que, géographiquement, c’est simple. Mais les trois clubs doivent vivre leurs trois vies séparément. S’il y a des choses qui doivent se faire, ça se fera. Aujourd’hui, il y a une indépendance totale de chaque club, avec comme ambition pour chacun d’entre eux de réussir leur pari sportif. Pour Mouscron, on savait que ça serait un peu plus compliqué parce qu’il y a une adaptation plus importante à faire. On va jouer cette année pour jouer dans l’élite, avec l’idée de construire assez rapidement quelque chose. Avec Boavista, on veut jouer le haut du tableau, et avec le Losc, c’est connu, on veut jouer l’Europe tous les ans.
>Récemment, on parlait aussi beaucoup de vous pour devenir le couturier des finances de la ligue française de football. Où en êtes-vous sur ce sujet-là?
«Il y a eu des élections, avec un changement de présidence de la Ligue, de directeur général et de conseil d’administration. Le Losc, comme tous les autres clubs, est un client de la Ligue, et on doit absolument laisser travailler les instances de la Ligue. Je suis à disposition s’il faut donner un coup de main sur un sujet ou un autre. Mon rôle, et celui des autres présidents, est d’être un peu en retrait pour faire en sorte que la Ligue fasse respecter les contrats en vigueur.»
https://paperjam.lu/article/boavista-c-est-20-millions-eur
Comme Paperjam l’annonçait lundi soir, Gerard Lopez a racheté un troisième club de football en Europe, Boavista, à Porto, dans lequel l’entrepreneur luxembourgeois dit avoir injecté 20 millions d’euros pour occuper le haut du tableau à court terme.
Les discussions ont mis un peu plus de temps que prévu, mais Gerard Lopez est une nouvelle fois parvenu à ses fins: racheter un club de football dans une première ligue.
>Vous ajoutez un troisième club dans votre escarcelle. Boavista Porto, c’est cher?
Gerard Lopez. – «C’est un peu comme pour tous les clubs de foot, il y a la partie rachat du capital et la partie investissement dans le club. La totalité se situe à peu près à 20 millions d’euros. On a eu un mercato assez énorme pour un club portugais: on a fait rentrer 17 jeunes joueurs. On a constitué un effectif de grande qualité, il faut encore que ça prenne, que les joueurs apprennent à se connaître. On s’attend à ce que le club joue la première moitié du tableau (le club est actuellement 14e sur 18 après trois journées).
À partir de l’année prochaine, on espère sortir des talents.
>On le sait, vous jetez toujours un coup d’œil particulier au centre de formation des clubs que vous ambitionnez de reprendre. Que disent vos analyses?
«L’effectif qui marche bien au Losc aujourd’hui est un mélange de jeunes joueurs de talent et de joueurs expérimentés, alors, on a créé un peu la même structure à Boavista. Comme tous les clubs portugais, il y a beaucoup de talents dans le centre de formation. On vient d’arriver, mais on a passé beaucoup de temps à l’analyser. Ce n’est pas cette année qu’on aura de grandes intégrations, parce qu’on est déjà dans le vif du sujet. Il faut qu’on soit compétitifs tout de suite. À partir de l’année prochaine, on espère sortir des talents.
>Est-ce que c’est de la science-fiction de dire que vous pourriez créer des passerelles, en fonction de vos objectifs, entre le Losc, Mouscron et Boavista?
«Entre les équipes, les projets sont différenciés. C’est vrai que la proximité entre Mouscron et le Losc fait que ça rend plus facile la collaboration avec les prêts, etc., parce que, géographiquement, c’est simple. Mais les trois clubs doivent vivre leurs trois vies séparément. S’il y a des choses qui doivent se faire, ça se fera. Aujourd’hui, il y a une indépendance totale de chaque club, avec comme ambition pour chacun d’entre eux de réussir leur pari sportif. Pour Mouscron, on savait que ça serait un peu plus compliqué parce qu’il y a une adaptation plus importante à faire. On va jouer cette année pour jouer dans l’élite, avec l’idée de construire assez rapidement quelque chose. Avec Boavista, on veut jouer le haut du tableau, et avec le Losc, c’est connu, on veut jouer l’Europe tous les ans.
>Récemment, on parlait aussi beaucoup de vous pour devenir le couturier des finances de la ligue française de football. Où en êtes-vous sur ce sujet-là?
«Il y a eu des élections, avec un changement de présidence de la Ligue, de directeur général et de conseil d’administration. Le Losc, comme tous les autres clubs, est un client de la Ligue, et on doit absolument laisser travailler les instances de la Ligue. Je suis à disposition s’il faut donner un coup de main sur un sujet ou un autre. Mon rôle, et celui des autres présidents, est d’être un peu en retrait pour faire en sorte que la Ligue fasse respecter les contrats en vigueur.»
https://paperjam.lu/article/boavista-c-est-20-millions-eur
"Yusuf est de retour. Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la Création."
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