zaz a écrit :Source of the post Si défaite demain. La crise ne sera pas loin... C est indeniable.
Tu radotes mon cher zaz
gblosc a écrit :Source of the postzaz a écrit :Source of the post Si défaite demain. La crise ne sera pas loin... C est indeniable.
Tu radotes mon cher zaz
Bab a écrit :Source of the postLe Belge a écrit :Un 4231 avec ben arfa j'espère.
A droite ou à gauche du banc ?
En tout cas face à son club formateur il serait bien capable de faire une grosse partie.
Namtok a écrit :Source of the post Yilmaz blessé ? Écarté ?
Joël Domenighetti a écrit :48 matches sans marquer, toujours titulaire : le paradoxe Bamba
Le milieu offensif de Lille, qui n'a plus marqué depuis 48 matches toutes compétitions confondues, est resté titulaire avec ses deux derniers entraîneurs. Qui s'en expliquent.
Jonathan Bamba entame ce dimanche soir son quarante-neuvième match sans avoir marqué depuis le 17 janvier 2021 (2-1 contre Reims). Avec seulement trois passes décisives à son actif cette saison, le milieu offensif de 25 ans a pourtant enchaîné 24 titularisations en 26 rencontres, n'en manquant que six sur blessure (cuisse, surtout en septembre) pour une suspension (à Wolfsburg, 3-1, 8 décembre) et une absence du groupe à Monaco (2-2, 19 novembre).
« Il travaille énormément pour l'équipe, se justifie son entraîneur Jocelyn Gourvennec. Dans nos deux lignes de quatre, c'est une garantie. Il ne fait pas d'erreurs, perd rarement le ballon, se repositionne bien et déclenche le pressing impactant à bon escient. »
« C'est un joueur qui m'assurait l'équilibre, renchérit Christophe Galtier, prédécesseur de Gourvennec, et il me semblait indispensable, notamment avec Nicolas Pépé (en 2018-2019, Bamba avait inscrit 14 buts toutes compétitions confondues pour 7 la saison passée du titre, où il a donné 11 passes décisives). »
Observer l'introverti Lillois sur le côté gauche est simple. Très puissant physiquement, Bamba semble indispensable dans le combat défensif, d'autant qu'il ne baisse pas d'intensité pendant 90 minutes. Sa vitesse et ses percussions créent des brèches. Mais, à l'approche de la surface, sa gestuelle se fige, sans première intention : crochet du pied gauche pour se remettre sur son pied fort, le droit, et donner en retrait.
« Ses statistiques ne sont pas suffisantes, il en a conscience, admet Gourvennec, mais, du fait de sa contribution collective et de son positionnement, il est difficile de lui reprocher quoi que ce soit. »
« Il te crée quand même du danger, ajoute Galtier. Après, il pèche dans la finition. Sur sa frappe, d'abord, car il est sur son pied gauche. Je le dis avec beaucoup d'humilité, je ne suis pas arrivé à le convaincre à évoluer côté droit. Il a pris ses habitudes en faux pied. Ce n'est qu'un problème mental. À droite, il fera des différences, donnera des passes décisives et fera des appels en profondeur pour se retrouver face au but sur son pied droit. »
Cette année, Gourvennec l'a titularisé à droite à Montpellier (1-0, 12 février), puis utilisé sur ce flanc seize minutes en fin de match contre Paris (1-5, 6 février) et les vingt dernières à Marseille (1-1, 16 janvier). Il lui maintient sa confiance devant le latéral gauche. « J'espère un déclic car il l'a déjà fait, insiste son coach. Il continuera à évoluer sur les deux côtés. Je n'ai pas senti de réticence chez lui. »
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