Paris SG-Bayern, les compos
Paris Saint-Germain : Navas - Kehrer, Thiago Silva (c), Kimpembe, Bernat - Herrera, Marquinhos, Paredes - Di Maria, Neymar, Mbappé.
Bayern Munich : Neuer (c) - Kimmich, Boateng, Alaba, Davies - Thiago, Goretzka - Gnabry, Müller, Coman - Lewandowski.
C'est le grand jour pour le Paris Saint-Germain ! Pour la première fois de son histoire, le champion de France va disputer une finale de la Ligue des Champions et a l'occasion de devenir le second club tricolore, après l'Olympique de Marseille en 1993, à remporter cette compétition. Ce dimanche (21h sur TF1 et RMC Sport 1), le PSG va ainsi défier le Bayern Munich au Stade de la Luz à Lisbonne.
Pour cette rencontre, l'entraîneur parisien Thomas Tuchel dispose de son groupe au complet. Cependant, des incertitudes planaient concernant les présences de Navas, bien titulaire, et de Verratti, remplaçant. Pour le reste, le technicien allemand ne réserve aucune surprise dans son onze de départ avec la confiance maintenue au trio offensif composé de Mbappé, Neymar et Di Maria. De son côté, le coach munichois Hans-Dieter Flick peut aussi compter sur l'intégralité de son groupe. Touché musculairement contre Lyon (3-0) en demi-finale, Boateng tient bien sa place en défense. Récemment de retour de blessure, Pavard, pas encore à 100%, débute sur le banc. A noter que Coman a été préféré à Perisic. Voici la composition des deux équipes.
Paris Saint-Germain : Navas - Kehrer, Thiago Silva (c), Kimpembe, Bernat - Herrera, Marquinhos, Paredes - Di Maria, Neymar, Mbappé.
Bayern Munich : Neuer (c) - Kimmich, Boateng, Alaba, Davies - Thiago, Goretzka - Gnabry, Müller, Coman - Lewandowski.
Football: Idrissa Gueye et Benjamin Pavard, formés au LOSC et en finale de la Ligue des champions
Idrissa Gueye et Benjamin Pavard pourraient être titulaires l’un contre l’autre ce soir en finale de la Ligue des champions, après avoir été partenaires en 2015. Formés tous les deux au LOSC, Jean-Michel Vandamme se souvient de leur arrivée…
Olivier Fosseux | 22/08/2020
Jean-Michel Vandamme a vu arriver Benjamin Pavard et Idrissa Gueye rejoindre le LOSC. PHOTO PIB - VDNPQR
« Il n‘y a rien de plus gratifiant pour un directeur de centre et ses formateurs. Ça veut dire qu’on a bien bossé quand même. » Jean-Michel Vandamme est particulièrement fier de voir que Benjamin Pavard (Bayern Munich) et Idrissa Gueye (PSG) vont s’affronter ce dimanche soir pour leur première finale de Ligue des champions. L’ancien DG adjoint du LOSC se souvient de leur arrivée au centre de formation. Les deux itinéraires pour rejoindre Luchin sont cependant différents.
Pavard a été repéré lors d’une journée de détection et portera le maillot des Dogues dès l’âge de 8 ans (2005). « Mon père en était gaga. Il y a cette photo de jeunes avec Martin (Terrier) où il le prend dans les bras. Il l’autorise au départ à faire un entraînement avec le LOSC, deux avec Jeumont, son premier club, et un match avec le LOSC le week-end avant qu’il ne nous rejoigne définitivement. Au départ, Benjamin est tout simplement époustouflant. Jusqu’à 13 ou 14 ans, il rayonne. Ensuite comme dans toute formation, il a connu des moments plus difficiles », raconte l’ancien dirigeant des Dogues. « Je ne vais pas mentir. Quand je vois le petit Pavard arriver, je ne peux pas dire qu’il va réussir cette carrière-là. En revanche, je peux affirmer que le Pavard âgé de 19 ans avait le couteau entre les dents, prêt à tout manger. C’est ce qui fait la différence entre un bon joueur et un très grand professionnel. Il était prêt à tout pour réussir. »
Idrissa Gueye arrive plus tard au LOSC car il a 17 ans quand il effectue une tournée avec l’Institut Diambars (2007). On est sur un autre cas de figure. À l’époque, les responsables nordistes cherchaient des profils de joueurs d’avenir qu’ils ne possédaient pas pour les former. Lors d’une tournée des Diambars, Jean-Michel Vandamme remarque Pape Souaré et Idrissa Gueye. Il veut les revoir et emmène les deux jeunes Sénégalais au tournoi de Croix. Vandamme invite aussi Claude Puel, l’entraîneur du LOSC à l’époque. « Il me fallait un appui pour convaincre Michel Seydoux d’investir 600 000 euros pour les deux. Et on a réussi. », raconte-t-il avant de s’enflammer pour celui qui porte désormais les couleurs du PSG. « Tout de suite, on a vu qu’Idrissa était une machine à récupérer des ballons avec cette capacité de se projeter vers l’avant. Il n’est peut-être pas flashy mais c’est cent pour cent qualité garantie. Il met le bleu de chauffe derrière Neymar. C’est le joueur indispensable à Paris. »
https://www.lavoixdunord.fr/854872/arti ... nale-de-la
Idrissa Gueye et Benjamin Pavard pourraient être titulaires l’un contre l’autre ce soir en finale de la Ligue des champions, après avoir été partenaires en 2015. Formés tous les deux au LOSC, Jean-Michel Vandamme se souvient de leur arrivée…
Olivier Fosseux | 22/08/2020
Jean-Michel Vandamme a vu arriver Benjamin Pavard et Idrissa Gueye rejoindre le LOSC. PHOTO PIB - VDNPQR
« Il n‘y a rien de plus gratifiant pour un directeur de centre et ses formateurs. Ça veut dire qu’on a bien bossé quand même. » Jean-Michel Vandamme est particulièrement fier de voir que Benjamin Pavard (Bayern Munich) et Idrissa Gueye (PSG) vont s’affronter ce dimanche soir pour leur première finale de Ligue des champions. L’ancien DG adjoint du LOSC se souvient de leur arrivée au centre de formation. Les deux itinéraires pour rejoindre Luchin sont cependant différents.
Pavard a été repéré lors d’une journée de détection et portera le maillot des Dogues dès l’âge de 8 ans (2005). « Mon père en était gaga. Il y a cette photo de jeunes avec Martin (Terrier) où il le prend dans les bras. Il l’autorise au départ à faire un entraînement avec le LOSC, deux avec Jeumont, son premier club, et un match avec le LOSC le week-end avant qu’il ne nous rejoigne définitivement. Au départ, Benjamin est tout simplement époustouflant. Jusqu’à 13 ou 14 ans, il rayonne. Ensuite comme dans toute formation, il a connu des moments plus difficiles », raconte l’ancien dirigeant des Dogues. « Je ne vais pas mentir. Quand je vois le petit Pavard arriver, je ne peux pas dire qu’il va réussir cette carrière-là. En revanche, je peux affirmer que le Pavard âgé de 19 ans avait le couteau entre les dents, prêt à tout manger. C’est ce qui fait la différence entre un bon joueur et un très grand professionnel. Il était prêt à tout pour réussir. »
Idrissa Gueye arrive plus tard au LOSC car il a 17 ans quand il effectue une tournée avec l’Institut Diambars (2007). On est sur un autre cas de figure. À l’époque, les responsables nordistes cherchaient des profils de joueurs d’avenir qu’ils ne possédaient pas pour les former. Lors d’une tournée des Diambars, Jean-Michel Vandamme remarque Pape Souaré et Idrissa Gueye. Il veut les revoir et emmène les deux jeunes Sénégalais au tournoi de Croix. Vandamme invite aussi Claude Puel, l’entraîneur du LOSC à l’époque. « Il me fallait un appui pour convaincre Michel Seydoux d’investir 600 000 euros pour les deux. Et on a réussi. », raconte-t-il avant de s’enflammer pour celui qui porte désormais les couleurs du PSG. « Tout de suite, on a vu qu’Idrissa était une machine à récupérer des ballons avec cette capacité de se projeter vers l’avant. Il n’est peut-être pas flashy mais c’est cent pour cent qualité garantie. Il met le bleu de chauffe derrière Neymar. C’est le joueur indispensable à Paris. »
https://www.lavoixdunord.fr/854872/arti ... nale-de-la
Paranormal a écrit :Source of the post Faut que Paris gagne juste pour faire chier ces gros fdp de marseillais.
C'est l'argument imparable pour souhaiter une victoire du PSG, que les rats ferment enfin leur gueule avec leur trophée gagné grâce à la magouille.
Tune in, turn on, burn out in the acid rain
Nick Cave a écrit :Source of the postParanormal a écrit :Source of the post Faut que Paris gagne juste pour faire chier ces gros fdp de marseillais.
C'est l'argument imparable pour souhaiter une victoire du PSG, que les rats ferment enfin leur gueule avec leur trophée gagné grâce à la magouille.
Il y a 27 ans en plus de ça.
Le Cassoulet, c'est gourmet, mais ça fait péter !
600 000 euros pour 2 jeunes sénégalais encore en formation, c'est beaucoup d'argent. Je suis surpris d'une telle somme.
Ca doit comporter leurs salaires totaux en plus des indemnités de formation pour Diambars.
Sinon allez Peurissèssejai ! Même si de voir déjà la tronche de Hidalgo à la télé me déprime^^
Ca doit comporter leurs salaires totaux en plus des indemnités de formation pour Diambars.
Sinon allez Peurissèssejai ! Même si de voir déjà la tronche de Hidalgo à la télé me déprime^^
"Yusuf est de retour. Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la Création."