Casim' a écrit :Source of the post J'en ai trouvé deux.
Patrick Battiston (Saint-Etienne, Bordeaux et Monaco) et Bernard Gardon (Nantes, Monaco, Saint-Etienne).
Ben Arfa n'est pas comptabilisé.
Ca tombe bien, puisqu'il n'a absolument pas contribué aux titres remportés par le PSG et par l'OM.
Celui de l'OL, un poil plus.
Jeanne Massa a écrit :Source of the postCasim' a écrit :Source of the post J'en ai trouvé deux.
Patrick Battiston (Saint-Etienne, Bordeaux et Monaco) et Bernard Gardon (Nantes, Monaco, Saint-Etienne).
Ben Arfa n'est pas comptabilisé.
Ca tombe bien, puisqu'il n'a absolument pas contribué aux titres remportés par le PSG et par l'OM.
Celui de l'OL, un poil plus.
À Lyon il n’est bien impliqué (30 matchs de championnat notamment) que dans 1 titre sur les 4 remportés. À l’OM en revanche l’année du titre il participe à 29 matchs de ligue 1 (3+3) et 40 matchs TCC, donc de là a dire qu’il n’a absolument pas contribué au titre de Marseille…
D’ailleurs pas impliqué dans le titre parisien mais il ramasse quand même sa seule coupe de France (5 matchs, 3 buts, 4 passes décisives).
En outre, 2 coupes de la Ligue et 5 trophée des champions.
Bon et sinon des joueurs qui ont fait l’OL, le PSG, et l’OM, c’est pas légion non plus !
Bab a écrit :Source of the postJeanne Massa a écrit :Source of the postCasim' a écrit :Source of the post J'en ai trouvé deux.
Patrick Battiston (Saint-Etienne, Bordeaux et Monaco) et Bernard Gardon (Nantes, Monaco, Saint-Etienne).
Ben Arfa n'est pas comptabilisé.
Ca tombe bien, puisqu'il n'a absolument pas contribué aux titres remportés par le PSG et par l'OM.
Celui de l'OL, un poil plus.
À Lyon il n’est bien impliqué (30 matchs de championnat notamment) que dans 1 titre sur les 4 remportés. À l’OM en revanche l’année du titre il participe à 29 matchs de ligue 1 (3+3) et 40 matchs TCC, donc de là a dire qu’il n’a absolument pas contribué au titre de Marseille…
D’ailleurs pas impliqué dans le titre parisien mais il ramasse quand même sa seule coupe de France (5 matchs, 3 buts, 4 passes décisives).
En outre, 2 coupes de la Ligue et 5 trophée des champions.
Bon et sinon des joueurs qui ont fait l’OL, le PSG, et l’OM, c’est pas légion non plus !
Le titre de l'OM, c'est 2009-2010. Et sincerement, hormis quelques exploits dont il a le secret tout les 36 du mois (après 55 dribbles ratés dans un meme match, j'exagère à peine).
Et à la mi-saison, l'OM n'est pas absolument pas devant au classement, c'est encore Bordeaux qui domine avant que Blanc annonce son départ pour l'EDF, et que par conséquent le FCGB s'écroule totalement.
Et sur la seconde partie de saison, Ben Arfa va disparaitre. L'attaque c'etait Brandao en pointe, avec Niang, Valbuena et Lucho derrière, puis M'Bia et Doudou Cissé en demi-defensif.
Dageek confirmera mieux que moi, tout de meme.
Mais clairement, c'est pas trop lui qui fait gagner l'OM.
Ceci explique peut être celà
La vie de Hatem Ben Arfa est un roman mais puisque les caméras le suivent partout depuis le début, elle sera l’objet, quand il prendra sa retraite, d’un film, réalisé par Bruno Sevaistre, l’auteur, déjà, du fameux documentaire «À la Clairefontaine», où le plus talentueux des joueurs français de sa génération a été mis sous le feu des projecteurs pour la première fois en 2002. Celui chargé de monter les images et de faire le tri dans cette vie de footballeur hors norme va avoir du boulot.
Depuis son plus jeune âge, Ben Arfa est au centre de l’attention médiatique, pour son talent d’abord et pour sa faculté à le dilapider ensuite. Cette saison à Hull City, où il est prêté par Newcastle, le milieu offensif gaucher a tenté une énième fois de renouer le fil de sa carrière. Encore raté. Une carrière marquée par les renaissances spectaculaires, les rechutes brutales et… une rupture familiale.
Quand tout a commencé, Karim, son père, et Sonia, sa mère, étaient pourtant très présents à ses côtés. Jusqu’à intervenir dans des domaines ne faisant pas vraiment partie de leurs compétences. Un jour de match en mars 2005, la semaine de l’anniversaire de Ben Arfa (né le 7 mars 1987), la maman appelle son agent de l’époque, Frédéric Guerra. Il est 19 heures et la rencontre débute à 21 heures. «Pourquoi Hatem est sur le banc ? tonne-t-elle. Tu vas appeler Paul Le Guen tout de suite et lui dire que ce qu’il fait, c’est du racisme. Bergougnoux était titulaire, lui, en janvier, le jour de son anniversaire.» Evidemment, l’agent n’a jamais appelé l’entraîneur lyonnais.
Quand son père menace son conseiller
Presque dix ans après, l’ancien gamin de l’INF Clairefontaine s’est émancipé avec fracas de cette tutelle parfois envahissante, en coupant les ponts d’abord avec son père puis avec sa mère. «Mon père ne m’a jamais dit je t’aime, expliquait le joueur dans nos colonnes en 2012. Il m’a manqué de la générosité dans ma vie (…). Il a reproduit un schéma et j’essaie de le casser pour moi. Car je dois avancer.» Deux ans après ces propos, le bénéfice sur sa carrière ne saute pas aux yeux. Les parents ont fini par se séparer. La maman est partie vivre en Tunisie. Le papa, lui, habite toujours à Châtenay-Malabry, en banlieue parisienne, et il a le plus grand mal aujourd’hui encore à avoir des nouvelles de son fils, même par téléphone.
«Je lui passe le bonjour», a lancé le joueur par écran interposé, dans un entretien à Sport Confidentiel sur L’Equipe 21, il y a quelques semaines. Plus que contre son fils, le père garde une rancune tenace envers Michel Ouazine, l’ancien voisin devenu conseiller du joueur, responsable, à ses yeux, d’avoir brisé la famille en mettant sous sa coupe son enfant, pour un intérêt purement financier. Le père Ben Arfa a essayé plusieurs fois de régler ce différend à sa manière. En 2012, il avait agressé physiquement l’agent devant le siège de la FFF à Paris, aux cris de «Tu m’as volé mon fils !», face à des journalistes ébahis.
La vie de Hatem Ben Arfa est un roman mais puisque les caméras le suivent partout depuis le début, elle sera l’objet, quand il prendra sa retraite, d’un film, réalisé par Bruno Sevaistre, l’auteur, déjà, du fameux documentaire «À la Clairefontaine», où le plus talentueux des joueurs français de sa génération a été mis sous le feu des projecteurs pour la première fois en 2002. Celui chargé de monter les images et de faire le tri dans cette vie de footballeur hors norme va avoir du boulot.
Depuis son plus jeune âge, Ben Arfa est au centre de l’attention médiatique, pour son talent d’abord et pour sa faculté à le dilapider ensuite. Cette saison à Hull City, où il est prêté par Newcastle, le milieu offensif gaucher a tenté une énième fois de renouer le fil de sa carrière. Encore raté. Une carrière marquée par les renaissances spectaculaires, les rechutes brutales et… une rupture familiale.
Quand tout a commencé, Karim, son père, et Sonia, sa mère, étaient pourtant très présents à ses côtés. Jusqu’à intervenir dans des domaines ne faisant pas vraiment partie de leurs compétences. Un jour de match en mars 2005, la semaine de l’anniversaire de Ben Arfa (né le 7 mars 1987), la maman appelle son agent de l’époque, Frédéric Guerra. Il est 19 heures et la rencontre débute à 21 heures. «Pourquoi Hatem est sur le banc ? tonne-t-elle. Tu vas appeler Paul Le Guen tout de suite et lui dire que ce qu’il fait, c’est du racisme. Bergougnoux était titulaire, lui, en janvier, le jour de son anniversaire.» Evidemment, l’agent n’a jamais appelé l’entraîneur lyonnais.
Quand son père menace son conseiller
Presque dix ans après, l’ancien gamin de l’INF Clairefontaine s’est émancipé avec fracas de cette tutelle parfois envahissante, en coupant les ponts d’abord avec son père puis avec sa mère. «Mon père ne m’a jamais dit je t’aime, expliquait le joueur dans nos colonnes en 2012. Il m’a manqué de la générosité dans ma vie (…). Il a reproduit un schéma et j’essaie de le casser pour moi. Car je dois avancer.» Deux ans après ces propos, le bénéfice sur sa carrière ne saute pas aux yeux. Les parents ont fini par se séparer. La maman est partie vivre en Tunisie. Le papa, lui, habite toujours à Châtenay-Malabry, en banlieue parisienne, et il a le plus grand mal aujourd’hui encore à avoir des nouvelles de son fils, même par téléphone.
«Je lui passe le bonjour», a lancé le joueur par écran interposé, dans un entretien à Sport Confidentiel sur L’Equipe 21, il y a quelques semaines. Plus que contre son fils, le père garde une rancune tenace envers Michel Ouazine, l’ancien voisin devenu conseiller du joueur, responsable, à ses yeux, d’avoir brisé la famille en mettant sous sa coupe son enfant, pour un intérêt purement financier. Le père Ben Arfa a essayé plusieurs fois de régler ce différend à sa manière. En 2012, il avait agressé physiquement l’agent devant le siège de la FFF à Paris, aux cris de «Tu m’as volé mon fils !», face à des journalistes ébahis.
Le Belge a écrit :Source of the post Armand a été filmé et n'a pas regretter ses paroles.
Je te nique ta mère sale bâtard...
oui on est d'accord pour Armand il a craqué le sac mais je pense que Ben Arfa c 'est parce qu'il a remis en cause son coach de manière inappropriée ... on lui reproche ça surtout non?
Le Belge a écrit :Source of the post Armand a été filmé et n'a pas regretter ses paroles.
Je te nique ta mère sale bâtard...
Bientôt on va lire qu'armand a initié Ben Arfa dans les grossièretés...
Jooo a écrit :Source of the postLe Belge a écrit :Source of the post Armand a été filmé et n'a pas regretter ses paroles.
Je te nique ta mère sale bâtard...
Bientôt on va lire qu'armand a initié Ben Arfa dans les grossièretés...
Non ben arfa a un passif.
2 potes à letang quand même qui ont foutu la merde.
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