On annonce de la pluie dès samedi mais sans doute après les qualifications, en soirée. Ça devrait surtout empirer dimanche avec pas mal de pluie, temps orageux.
![Image](https://cdn-1.motorsport.com/images/amp/254O7lQ0/s800/les-horaires-du-grand-prix-de-.webp)
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"Yusuf est de retour. Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la Création."
Il paraît que certaines Ducati dont celles de Bagnaia roulent avec des pneus moins gonflés que ce que prévoit le règlement pour avoir plus de grip.
Extrait de Auto moto :
En effet, la Desmosedici GP22 du vainqueur n’aurait pas évolué avec une pression de pneu avant suffisamment élevée lors de cette course. Un fait important pour la performance. D’autant plus avec le niveau extrêmement relevé du MotoGP, actuellement.
Bagnaia, hors de la fenêtre légale de pression du pneu avant à Jerez ?
Le pneu avant est en effet l’un des éléments les plus importants d’une moto. Les pressions sont calculées pour être réglées à des niveaux extrêmement précis. Elles doivent également respecter certaines règles de sécurité. Une pression trop basse peut en effet entraîner une défaillance. Une règle que l’on retrouve également en F1, championnat avec un unique manufacturier pneumatique (Pirelli). Pour les slicks en MotoGP, la limite minimum est fixée à 1,9 bar (27,6psi) à l’avant, 1,7 bar (24,6psi) à l’arrière par Michelin.
Or, en Andalousie, Francesco Bagnaia aurait parcouru l’entièreté de la course avec une pression trop basse dans le pneu avant. Situation quasi-similaire pour Jorge Martin (Ducati Pramac), qui aurait eu la bonne pression durant un tour seulement. Ils ne sont pas les seuls, puisqu’Alex Rins aurait aussi eu une pression trop basse à l’avant durant 11 boucles. De même pour Andrea Dovizioso, sur le pneu arrière, cette fois.
Ces deux derniers ne sont toutefois pas pénalisables. En effet, le règlement stipule que la bonne pression doit être respectée durant la moitié de la course (soit 12 tours à Jerez). Alors, serait-ce une erreur, pour Bagnaia et Martin ? À première vue, cela est possible, mais les révélations de Mat Oxley ne s’arrêtent pas là.
En effet, ce dernier révèle aussi que selon un gentlemen’s agreement, un accord informel, la MSMA (association des constructeurs) et Michelin ne divulgueraient ou ne sanctionneraient pas ces violations du règlement.
Ces fraudes au règlement existeraient donc depuis un certain temps. Il est impossible de revenir sur les résultats entérinés depuis l’arrivée de Michelin en MotoGP (en 2016). L’ingénieur ayant transmis ces documents souhaite en revanche « que l’accord disparaisse et que les règles soient appliquées correctement, comme elles le sont partout ailleurs. Dans un championnat comme le MotoGP, vous ne pouvez pas avoir des équipes violant les règles et s’en sortant comme ça.
Les Rouges ont bien évidemment réagi à ces accusations, en convoquant une conférence de presse. Gigi Dall’Igna, patron de l’équipe, a déclaré que « ces valeurs (de pression des pneus) ne prouvent pas une infraction, car la méthode de mesure est incorrecte ». « Pour le moment, les constructeurs utilisent des capteurs différents, donc leur précision est différente.
L’Italien a également promis que tout le monde aura « le même type de capteurs en 2023 ». Avant de profiter de cette conférence pour soulever ce sujet de la triche : « La méthode avec laquelle les données sont collectées n’est pas blindée. Cela permet à n’importe qui de les corriger. Ducati ne le fait pas, mais il est possible (…) de modifier ces données. »
Nul doute que l’affaire sera évoquée dans les jours à venir, lors du Grand Prix de France au Mans (13-15 mai).»
Extrait de Auto moto :
En effet, la Desmosedici GP22 du vainqueur n’aurait pas évolué avec une pression de pneu avant suffisamment élevée lors de cette course. Un fait important pour la performance. D’autant plus avec le niveau extrêmement relevé du MotoGP, actuellement.
Bagnaia, hors de la fenêtre légale de pression du pneu avant à Jerez ?
Le pneu avant est en effet l’un des éléments les plus importants d’une moto. Les pressions sont calculées pour être réglées à des niveaux extrêmement précis. Elles doivent également respecter certaines règles de sécurité. Une pression trop basse peut en effet entraîner une défaillance. Une règle que l’on retrouve également en F1, championnat avec un unique manufacturier pneumatique (Pirelli). Pour les slicks en MotoGP, la limite minimum est fixée à 1,9 bar (27,6psi) à l’avant, 1,7 bar (24,6psi) à l’arrière par Michelin.
Or, en Andalousie, Francesco Bagnaia aurait parcouru l’entièreté de la course avec une pression trop basse dans le pneu avant. Situation quasi-similaire pour Jorge Martin (Ducati Pramac), qui aurait eu la bonne pression durant un tour seulement. Ils ne sont pas les seuls, puisqu’Alex Rins aurait aussi eu une pression trop basse à l’avant durant 11 boucles. De même pour Andrea Dovizioso, sur le pneu arrière, cette fois.
Ces deux derniers ne sont toutefois pas pénalisables. En effet, le règlement stipule que la bonne pression doit être respectée durant la moitié de la course (soit 12 tours à Jerez). Alors, serait-ce une erreur, pour Bagnaia et Martin ? À première vue, cela est possible, mais les révélations de Mat Oxley ne s’arrêtent pas là.
En effet, ce dernier révèle aussi que selon un gentlemen’s agreement, un accord informel, la MSMA (association des constructeurs) et Michelin ne divulgueraient ou ne sanctionneraient pas ces violations du règlement.
Ces fraudes au règlement existeraient donc depuis un certain temps. Il est impossible de revenir sur les résultats entérinés depuis l’arrivée de Michelin en MotoGP (en 2016). L’ingénieur ayant transmis ces documents souhaite en revanche « que l’accord disparaisse et que les règles soient appliquées correctement, comme elles le sont partout ailleurs. Dans un championnat comme le MotoGP, vous ne pouvez pas avoir des équipes violant les règles et s’en sortant comme ça.
Les Rouges ont bien évidemment réagi à ces accusations, en convoquant une conférence de presse. Gigi Dall’Igna, patron de l’équipe, a déclaré que « ces valeurs (de pression des pneus) ne prouvent pas une infraction, car la méthode de mesure est incorrecte ». « Pour le moment, les constructeurs utilisent des capteurs différents, donc leur précision est différente.
L’Italien a également promis que tout le monde aura « le même type de capteurs en 2023 ». Avant de profiter de cette conférence pour soulever ce sujet de la triche : « La méthode avec laquelle les données sont collectées n’est pas blindée. Cela permet à n’importe qui de les corriger. Ducati ne le fait pas, mais il est possible (…) de modifier ces données. »
Nul doute que l’affaire sera évoquée dans les jours à venir, lors du Grand Prix de France au Mans (13-15 mai).»
Pole position pour Bagnaia qui reprend le record du tour, ça n'a fait que ça depuis vendredi.
Les Ducati en force au Mans avec 4 motos sur les deux premières lignes.
Bagnaia, Miller, A Espargaro, Quartararo, Bastianini, Zarco.
Seulement 0.698 secondes entre le chrono de Bagnaia et Marc Marquez qui partira 10ème.
Les Ducati en force au Mans avec 4 motos sur les deux premières lignes.
Bagnaia, Miller, A Espargaro, Quartararo, Bastianini, Zarco.
Seulement 0.698 secondes entre le chrono de Bagnaia et Marc Marquez qui partira 10ème.
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