dirk a écrit :Source of the post Quand j'ai commencé à suivre le LOSC, la 6ème place avec Jacques Santini c'était l'exploit
Depuis le passage en D2 (salvateur, sportivement, structurellement et pour les mentalités), c'est quand même pas mal du tout
On perd le match à domicile contre Nancy qui vient se sauver de la relégation et on perd donc notre 5ème place synonyme de qualification pour l'Europe.
On a la 6ème, la place du con, et comble de l'ironie, cette place constitue le plus beau classement de ces sombres années des 80 90
ça c'est Losc...
dirk a écrit :Source of the post Quand j'ai commencé à suivre le LOSC, la 6ème place avec Jacques Santini c'était l'exploit
Depuis le passage en D2 (salvateur, sportivement, structurellement et pour les mentalités), c'est quand même pas mal du tout
J'ai commencé en 1954, imagine un peu les tempêtes que j'ai traversées... mais que de plaisir aussi, que le LOSC m'a offert !
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
lenormal a écrit :Source of the postdirk a écrit :Source of the post Quand j'ai commencé à suivre le LOSC, la 6ème place avec Jacques Santini c'était l'exploit
Depuis le passage en D2 (salvateur, sportivement, structurellement et pour les mentalités), c'est quand même pas mal du tout
J'ai commencé en 1954, imagine un peu les tempêtes que j'ai traversées... mais que de plaisir aussi, que le LOSC m'a offert !
Ah oui mais là c’est pas du jeu Lenormal.
Avoir connu les crampons en peau biche et les poteaux en fémur de mammouth c’est un exploit ! :-)
" Patience les gars. Un transfert c est pas négocier un kilo de merguez... "
Zaz - 3 août 2023 à 18h23
Zaz - 3 août 2023 à 18h23
... et les ballons en cuir, avec des "lacets" (pour la fermeture de la vessie à l'intérieur) que, si tu faisais une tête dessus, tu t'en rappelais pour un bout de temps.
Et par temps de pluie, ces ballons, c'était presque des medecine balls ! *
* et aujourd'hui, on me dit que les gardiens doivent repousser les ballons parce qu'on ne peut pas les arrêter, nos valeureux gardiens de l'après-guerre doivent en faire des bonds dans leur dernière demeure !!!
Et par temps de pluie, ces ballons, c'était presque des medecine balls ! *
* et aujourd'hui, on me dit que les gardiens doivent repousser les ballons parce qu'on ne peut pas les arrêter, nos valeureux gardiens de l'après-guerre doivent en faire des bonds dans leur dernière demeure !!!
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
J'oubliais, pour les crampons, en cuir itou, ils étaient composés de rondelles de cuir superposées et maintenus sur leur support, par des pointes, ce qui fait qu'après usure du cuir, les pointes étaient très agressives, heureusement que les équimentiers n'ont pas donné ce type de crampons à des Domenech, Di Meco, Rool and Co !
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
J'ai commencé le foot en "poussins" comme on disait à l'époque. Le ballon le plus commun en club, c'était le modèle anglais "Wembley 66". Comme dit par m'sieur Lenormal, tant que le temps était sec, le.ballon était très lourd mais quand il pleuvait, ça devenait un parpaing et une tête était d'un risque incroyable : se prendre les lacets du parpaing en plein front t'écorchait parfois au sang.
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
La situation financière du LOSC fait que le club est comme une bouteille percée qu'il faut toujours remplir pour éviter qu'elle se retrouve vide, d'ou l'importance d'obtenir des résultats parce que même en ne faisant rien on perd de l'argent à cause de raisons financières que je ne comprends pas, n'ayant aucune compétence dans le domaine.
Mais contrairement à des clubs comme Rennes ou Marseille qui peuvent juste demander à l'actionnaire de remettre au pot à chaque saison, nous on doit être quasi auto suffisant parce qu'a part les 40M quand ils ont racheté le club j'ai pas le souvenir d'avoir vu Merlyn investir. En ce sens pour rester compétitif on doit jouer la compétition qui rapporte le plus, sinon on aura peu de moyens pour construire l'effectif et la marge d'erreur sera minime. Ce que peu de gens semblent comprendre c'est qu'on est en surperformance constante et ce malgré nos 15 qualifications européennes au 21ème siecle, dès qu'on se repose sur nos lauriers et qu'on se contente de la jouer safe, on est punis, que ce soit à la fin de l'ère Seydoux ou quand on a pris Gourvennec.
De plus au niveau des instances tout semble indiquer la volonté des dirigeants de mettre en place un groupe d'européens qui dicteraient leur volonté aux autres, si on venait à céder notre place au pire moment, ce serait extrêmement difficile de s'y raccrocher.
Mais contrairement à des clubs comme Rennes ou Marseille qui peuvent juste demander à l'actionnaire de remettre au pot à chaque saison, nous on doit être quasi auto suffisant parce qu'a part les 40M quand ils ont racheté le club j'ai pas le souvenir d'avoir vu Merlyn investir. En ce sens pour rester compétitif on doit jouer la compétition qui rapporte le plus, sinon on aura peu de moyens pour construire l'effectif et la marge d'erreur sera minime. Ce que peu de gens semblent comprendre c'est qu'on est en surperformance constante et ce malgré nos 15 qualifications européennes au 21ème siecle, dès qu'on se repose sur nos lauriers et qu'on se contente de la jouer safe, on est punis, que ce soit à la fin de l'ère Seydoux ou quand on a pris Gourvennec.
De plus au niveau des instances tout semble indiquer la volonté des dirigeants de mettre en place un groupe d'européens qui dicteraient leur volonté aux autres, si on venait à céder notre place au pire moment, ce serait extrêmement difficile de s'y raccrocher.
dodger a écrit :Source of the post J'ai commencé le foot en "poussins" comme on disait à l'époque. Le ballon le plus commun en club, c'était le modèle anglais "Wembley 66". Comme dit par m'sieur Lenormal, tant que le temps était sec, le.ballon était très lourd mais quand il pleuvait, ça devenait un parpaing et une tête était d'un risque incroyable : se prendre les lacets du parpaing en plein front t'écorchait parfois au sang.
Quand j'étais pupilles début 70's, on avait quand même déjà des ballons à damier blanc et noir quand on jouait en club.
Par contre, comme on ne jouait pas que sur de l'herbe (Et encore moins du gazon... ;-) ) et qu'entre potes, on jouait souvent sur du bitume, la peinture des panneaux blancs et noirs disparaissait vite, et on se retrouvait assez rapidement avec un ballon en croute de cuir, qui effectivement à la première pluie se gorgeait d'eau.
Un coup de boule là-dedans sur un dégagement qui t'arrivait dessus (A condition que le gars ait réussi à lever le ballon), tu étais à moitié estourbi. On ne parlait pas de protocole commotion, mais la dure-mère mangeait salement...
Un détail pour les vieux Lillois, quand tu crevais un ballon (Genre une pointe qui passait juste au niveau de la couture entre 2 pentagones), sur certains ballons, tu pouvais retirer la vessie, et aller en chercher une de rechange à "La Hutte" rue Léon Gambetta, là où j'ai d'ailleurs acheté mes tous premiers crampons.
Exactement, ceux-là, mais en vissés.
pour moi, début poussin/pupille fin des 70, effectivement ballons en cuir noir et blanc, mais je me rappelle aussi de ballons qui semblaient être proches d'une enveloppe plastique, et qui étaient très durs !! et qui fusaient à vitesse grand v quand on jouait sur du stabilisé
quand je vois les ballons de maintenant et les terrains synthétiques... pas étonnant que des U13 aient des frappes de mule !
quand je vois les ballons de maintenant et les terrains synthétiques... pas étonnant que des U13 aient des frappes de mule !
PO a écrit :Source of the post Un coup de boule là-dedans sur un dégagement qui t'arrivait dessus (A condition que le gars ait réussi à lever le ballon), tu étais à moitié estourbi. On ne parlait pas de protocole commotion, mais la dure-mère mangeait salement...
Me suis pris une reprise de volée à 4m sur le haut du crane, suis tombé comme une feuille morte, me suis réveillé sur le bord de la touche (je ne sais pas au bout de combien de temps), mon entraineur m'a demandé si ça allait, et je suis retourné à mon poste...
PO a écrit :Source of the post Quand j'étais pupilles début 70's, on avait quand même déjà des ballons à damier blanc et noir quand on jouait en club.
Je l'ai découvert en benjamins, une révolution tant qu'il était blanc et noir, pareil qu'un Wembley les ficelles en moins quand le blanc et noir avait été râpé !
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
lenormal a écrit :J'oubliais, pour les crampons, en cuir itou, ils étaient composés de rondelles de cuir superposées et maintenus sur leur support, par des pointes, ce qui fait qu'après usure du cuir, les pointes étaient très agressives, heureusement que les équimentiers n'ont pas donné ce type de crampons à des Domenech, Di Meco, Rool and Co !
Lol
" Patience les gars. Un transfert c est pas négocier un kilo de merguez... "
Zaz - 3 août 2023 à 18h23
Zaz - 3 août 2023 à 18h23
Djeunzzz a écrit :Source of the postPO a écrit :Source of the post Un coup de boule là-dedans sur un dégagement qui t'arrivait dessus (A condition que le gars ait réussi à lever le ballon), tu étais à moitié estourbi. On ne parlait pas de protocole commotion, mais la dure-mère mangeait salement...
Me suis pris une reprise de volée à 4m sur le haut du crane, suis tombé comme une feuille morte, me suis réveillé sur le bord de la touche (je ne sais pas au bout de combien de temps), mon entraineur m'a demandé si ça allait, et je suis retourné à mon poste...
La même en plein hiver. Je défends sur un corner, je me prends le ballon derrière la tête sur la reprise de volée d'un adversaire. Groggy 10mn ouis retour sur le terrain. On m'a dit que j'avais sauvé le but (on a perdu 5.1 quand même). J'etais surtout au mauvais endroit au mauvais moment :-)
C'est fou comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.
Boris Vian
Boris Vian
Calamar a écrit :Source of the post c'est comme aller pisser juste après s'être mis du Dolpic sur les cuisses !
J'en ai tellement mis que je me massais sévère et un jour, je suis monté un peu trop haut des cuisses, ouille, ouille, ouille, ma *ouille ! *
PS : rassurez-vous, j'ai bien le nombre, mais je me massais avec les 2 mains sur la même cuisse, de l'autre côté, j'ai fait gaffe :-)
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
lenormal a écrit :Source of the postdirk a écrit :Source of the post Quand j'ai commencé à suivre le LOSC, la 6ème place avec Jacques Santini c'était l'exploit
Depuis le passage en D2 (salvateur, sportivement, structurellement et pour les mentalités), c'est quand même pas mal du tout
J'ai commencé en 1954, imagine un peu les tempêtes que j'ai traversées... mais que de plaisir aussi, que le LOSC m'a offert !
j'imagine.... j'imagine le choc de 2011 aussi :)
perso, j'ai complétement mordu dès mon premier match à GJ... un soir de coupe en 85, contre Bordeaux (y a pire comme première)