Lucky a écrit :Source of the post La france et les français n'ont aucune leçon à donner au anglais car notre pays est foutu.
Attends on va peut-être battre les eirois.
Djeunzzz a écrit :Source of the post On peut fermer le topic, merci Lucky !
La france à 2200 milliard de dette! il faut vraiment être con pour croire que le pays va s'en sortir!
Désolé^^
« Cher Lillois vous allez me manquer »José Fonte
'tain, les States ont près de 20000 miyards de dette, sont encore plus foutus que nous!
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
Djeunzzz a écrit :Source of the post Celle-là, on la garde !
Elle est pas de moi, je suis plutot fan de paint tout pourri.
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Raouliché
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Yodiscut a écrit :Source of the post J'aurais au moins appris la différence entre Royaume-Uni (Angleterre Pays de Galle Ecosse Irlande du Nord) et Grande Bretagne (idem sans l'Irlande du Nord)
Et si t'ajoutes l'Eire, ce sont les îles britanniques.
Sinon, très content de ce résultat. On verra maintenant si ils iront au bout mais à chaque fois que les peuples se prononcent sur l'Europe, la réponse est la même. Remember 2005.
#JeSuisVasseur
Il y aurait eu quelque plainte pour tromperie, bourrage d'urne ou que sais je... La demande pouvait se concevoir. Mais là, c'est juste la frustration, le refus de la défaite qui parle. C'est malheureux sans doute d'avoir du en arriver là, mais bon. Au moins ça a le mérite de forcer les gouvernants à se remettre au boulot sur le sujet Europe.
Si à chaque fois qu'un perdant demande à rejouer le match, on ne va plus s'en sortir.
c'était chirac juppe mais on s'en foutDjeunzzz a écrit :Source of the post Le referendum de Cameron, ça rappelle la dissolution de Chirac/Villepin en 1997.
Les réactions des Anglais cités dans cet article, ça rappelle celles de ceux qui ont voté Taubira en 2002.
en plus dans la vdn du jour
c/c...
Discours de 1963. Le général de Gaulle avait dit non à l’Angleterre dans l’Europe. À l’époque, les Britanniques demandaient des dérogations et des exceptions. De Gaulle avait vu clair. D’ailleurs, je vous invite à (ré)écouter le discours qu’il a prononcé lors d’une conférence de presse le 14 janvier 1963, des arguments qui sont toujours d’actualité.
B. C.
http://fresques.ina.fr/de-gaulle/fiche- ... -1963.html
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
La leçon à tirer de tout cela est que l'Union Européenne ne marche pas. Si son role était bien clair, le peuple ne le remettrai pas sans cesse en question.
Quand on évoque l'UE, on pense avant tout à l'influence néo libérale de l'austerité économique qui épuise le peuple ainsi que la sensation perpétuelle d'être dirigés par des lobbys puissants (cf les décisions prises au sujet des pesticides, de la malbouffe, de l'agriculture ultra productiviste, de la loi elkohmri...)
Cette UE, c'est l'UE El komhri, c'est à dire l'UE de la flexibilité sans la sécurité. Normal donc, que le peuple la rejette.
Nul doute qu'en France, elle est remis en question aussi. Les gens veulent retrouver leur souveraineté nationale, et ils ont raison.
L'UE doit changer radicalement, sinon elle est vouée à être rejetée partout
Quand on évoque l'UE, on pense avant tout à l'influence néo libérale de l'austerité économique qui épuise le peuple ainsi que la sensation perpétuelle d'être dirigés par des lobbys puissants (cf les décisions prises au sujet des pesticides, de la malbouffe, de l'agriculture ultra productiviste, de la loi elkohmri...)
Cette UE, c'est l'UE El komhri, c'est à dire l'UE de la flexibilité sans la sécurité. Normal donc, que le peuple la rejette.
Nul doute qu'en France, elle est remis en question aussi. Les gens veulent retrouver leur souveraineté nationale, et ils ont raison.
L'UE doit changer radicalement, sinon elle est vouée à être rejetée partout
"Le système ne choisit pas les meilleurs, il choisit les plus conformes, c'est dangereux" AJ
Tiens mon bon james , vu que tu es féru d'histoire politique , bien avant ton général , il y en avait un autre qui s'était exprimé sur le sujet européen , Mendes France en 1957 ... mais tu as du passer à côté à l'époque , occupé que tu étais à guerroyer dans les aurès ( j'ai une bonne mémoire )
À la fin de son discours, Mendès France souligne le cœur du désaccord : ce projet de marché commun, résume-t-il, « est basé sur le libéralisme classique du XIXe siècle, selon lequel la concurrence pure et simple règle tous les problèmes ». Autrement dit, un libéralisme économique qui ruine tout libéralisme politique, imposant la loi d’airain de la concurrence à la vie sociale, au détriment des solidarités collectives et des libertés individuelles.
« L’abdication d’une démocratie peut prendre deux formes, conclut Mendès France, soit le recours à une dictature interne par la remise de tous les pouvoirs à un homme providentiel, soit la délégation de ces pouvoirs à une autorité extérieure, laquelle, au nom de la technique, exercera en réalité la puissance politique, car au nom d’une saine économie on en vient aisément à dicter une politique monétaire, budgétaire, sociale, finalement “une politique”, au sens le plus large du mot, nationale et internationale. »
« Dire cela, ajoutait Pierre Mendès France, ce n’est pas être hostile à l’édification de l’Europe, mais c’est ne pas vouloir que l’entreprise se traduise, demain, par une déception terrible pour notre pays, après un grand et bel espoir, par le sentiment qu’il en serait la victime et, tout d’abord, ses éléments déjà les plus défavorisés. »
Faute de l’avoir écouté, nous vivons aujourd’hui ces temps de « déception terrible » prédits par Mendès France.
À la fin de son discours, Mendès France souligne le cœur du désaccord : ce projet de marché commun, résume-t-il, « est basé sur le libéralisme classique du XIXe siècle, selon lequel la concurrence pure et simple règle tous les problèmes ». Autrement dit, un libéralisme économique qui ruine tout libéralisme politique, imposant la loi d’airain de la concurrence à la vie sociale, au détriment des solidarités collectives et des libertés individuelles.
« L’abdication d’une démocratie peut prendre deux formes, conclut Mendès France, soit le recours à une dictature interne par la remise de tous les pouvoirs à un homme providentiel, soit la délégation de ces pouvoirs à une autorité extérieure, laquelle, au nom de la technique, exercera en réalité la puissance politique, car au nom d’une saine économie on en vient aisément à dicter une politique monétaire, budgétaire, sociale, finalement “une politique”, au sens le plus large du mot, nationale et internationale. »
« Dire cela, ajoutait Pierre Mendès France, ce n’est pas être hostile à l’édification de l’Europe, mais c’est ne pas vouloir que l’entreprise se traduise, demain, par une déception terrible pour notre pays, après un grand et bel espoir, par le sentiment qu’il en serait la victime et, tout d’abord, ses éléments déjà les plus défavorisés. »
Faute de l’avoir écouté, nous vivons aujourd’hui ces temps de « déception terrible » prédits par Mendès France.
tout au plus un conseil, sûrement pas une initiative ( dévolue au president de la république)
edit
j'ai loupé lz quote mais je reponds à dageek pour de villepin/juppé.
edit
j'ai loupé lz quote mais je reponds à dageek pour de villepin/juppé.
Modifié en dernier par james le sam. 25 juin 2016 12:27, modifié 1 fois.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Normal que beaucoup rejettent l'UE. Cette dernière manque de leadership et est dirigée par des commissaires technocrates hyper payés non élus. L'UE s'occupe de dossiers nationaux à la limite de l'ingérence (comme la chasse à la palombe, l'élevage des huitres, les ours dans les Pyrénées ...) qui ne la regardent pas et ne fait rien pour régler les gros problèmes comme l'immigration, les réfugiés, la défense,l'emploi, la fiscalité.
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